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Re: Petites misères dues au désherbage de ces "sauvages"

Publié : ven. 14 juin 2019 21:21
par esox10
Bonne idée d'avoir remonté ce sujet. :top:

Re: Petites misères dues au désherbage de ces "sauvages"

Publié : sam. 15 juin 2019 9:20
par colibri87
esox10 a écrit : ven. 14 juin 2019 21:21 Bonne idée d'avoir remonté ce sujet. :top:
Surtout en ce moment où, la méteo aidant, l'herbe atteint des hauteurs :oh: et envahi tout :devil:

Re: Petites misères dues au désherbage de ces "sauvages"

Publié : lun. 26 août 2019 13:33
par TOMATE1
BONJOUR à TOUTES & TOUS ! :welcome:

Un érysipèle ou érésipèle (du grec « peau rouge »), est une infection de la peau due à une bactérie, le streptocoque ou le staphylocoque. Il se présente comme une zone inflammatoire de la peau, le plus souvent au niveau d'un membre inférieur, et associée à une fièvre. En principe, le diagnostic ne nécessite pas d'examen complémentaire, et le traitement consiste à administrer un antibiotique. Les complications de l'érysipèle sont rares avec le traitement, et peuvent être secondaires à l'extension de l'infection.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Érysipèle

Il y a qq semaines un collègue à moi a fait une chute à moto sur des gravillons. il s'est retrouvé avec de l'érysipèle (jambes gonflées) 6 mois de traitement ! sans se lever !

Re: Petites misères dues au désherbage de ces "sauvages"

Publié : lun. 26 août 2019 13:33
par TOMATE1
Les herbicides à base de glyphosate détruisent-ils les cellules cancéreuses et n’ont-ils « aucune toxicité significative » pour l’homme ? Une autre étude dit « oui », mais qu'est-ce que cela signifie ?


26 Août 2019
par Seppi
Cameron English*


Alors que le géant de la biotechnologie Bayer se bat contre des milliers de poursuites fondées sur l'allégation que son herbicide Roundup cause le cancer, plusieurs études publiées au cours des six dernières années suggèrent que le glyphosate, la matière active de l’herbicide tant décrié, pourrait en fait empêcher la croissance des cellules cancéreuses.

Un article publié le 24 juin dans le Journal of Environmental Science and Health, Partie B est la quatrième étude de ce type depuis 2013 à suggérer que le Roundup pourrait avoir des propriétés anticancéreuses. Les auteurs ont indiqué que les co-formulants – des substances qui améliorent l'efficacité du principe actif – du glyphosate inhibaient la croissance des cellules cancéreuses du foie, des poumons et des cellules nerveuses, tandis que le glyphosate était relativement inoffensif:

« Les herbicides à base de glyphosate sont des pesticides à large spectre largement utilisés dans le monde [...] mais récemment, il y a eu une controverse persistante concernant leur cancérogénicité [...]. Les données obtenues ont montré que tous les produits de formulation éthoxylés testés et leurs mélanges avec la substance active déclarée, le glyphosate sel d'isopropylamine (GP), avaient un effet inhibiteur significatif sur la prolifération cellulaire, tandis que la substance active déclarée ne présentait aucune toxicité significative. »

Si le Roundup ou l’un de ses ingrédients s’avérait un traitement efficace contre le cancer, ce serait un revirement spectaculaire dans la bataille juridique en cours contre Bayer. Mais ce n’est pas encore la conclusion à tirer de cet article. Les quatre études existantes sont très préliminaires. Trois d'entre elles, y compris l'article du 24 juin, sont des études in vitro ou en culture de cellules, qui consistent à tremper les cellules dans des produits chimiques pour voir ce qui se passe, un moyen notoirement peu fiable pour mesurer la toxicité dans le monde réel.

Attention aux cueilleurs de cerises

Bien que cette nouvelle étude ajoute au corpus de preuves rassemblées par 15 agences de régulation et des experts indépendants du monde entier et montrant que le glyphosate ne provoque probablement pas de cancer, il convient de souligner un point plus important. En mai 2019, Genetic Literacy Project faisait rapport sur les trois articles précédents suggérant que le glyphosate pourrait potentiellement devenir un traitement du cancer, car nous voulions illustrer la raison pour laquelle le picorage d'études pour étayer des opinions préconçues est si problématique.

« Citer sélectivement des études peut aboutir à des conclusions erronées. C’est pourquoi les scientifiques [...] insistent sur l’évaluation de toutes les recherches disponibles [...]. Mais si vous voulez montrer que le glyphosate est dangereux, malgré une montagne de preuves contraires, picorer est une approche utile. »

La même leçon s'applique à cette nouvelle étude. Si nous voulions argumenter sans réserve que certains ingrédients du Roundup tuent les cellules cancéreuses alors que le glyphosate ne pose aucun danger pour la santé humaine, nous pourrions le faire. Mais ce serait une conclusion exagérée et pas la seule interprétation possible. Les auteurs de l'étude sont allés dans la direction opposée, en fait. Ils ont intitulé leur article : « Evaluation of the cytotoxic effects of glyphosate herbicides in human liver, lung, and nerve » (évaluation des effets cytotoxiques des herbicides à base de glyphosate sur le foie, les poumons et les nerfs humains) et ont émis l'hypothèse que le Roundup était peut-être toxique en raison de ses divers « formulants et formulations », et non du glyphosate lui-même.

Tirer la conclusion, que le Roundup cause ou guérit le cancer, sur la base de cette étude dépasse les données réelles recueillies par les chercheurs. La biologiste Mary Mangan a expliqué pourquoi dans un courriel au GLP :

« La plupart des cellules en culture sont d'origine tumorale, car elles doivent se multiplier de manière constante dans une boîte. Les cellules normales s'arrêtent à un moment donné. Vous ne pouvez pas les convaincre de se développer suffisamment pour pouvoir continuer à tester des choses. Et la source des cellules – tumeur du foie, du cerveau, peu importe –, c’est simplement la source. Dans la boîte, elles pourraient encore avoir certaines caractéristiques du tissu d'origine (certains gènes activés ou désactivés). Mais elles ne doivent pas être confondues avec un comportement du foie ou du cerveau.

La culture de cellules est un système artificiel. C'est utile [...] mais vous devez savoir que [les cellules] sont déjà perturbées pour qu'elles soient en multiplication indéfinie. Vous connaissez les limitations. Le titre de cet article a GRANDEMENT exagéré ce que signifient des cellules dans une boîte. »

Pour renforcer leur assaut contre le Roundup, des activistes ont mis en doute la sécurité des ingrédients de l'herbicide autres que le glyphosate. Selon le site Web populaire Natural News, fondé par le militant anti-OGM Mike Adams, « le glyphosate est souvent mélangé à […] des agents chimiques qui augmentent le pouvoir destructeur du glyphosate ». Mais l’Environmental Protection Agency et des scientifiques indépendants disent le contraire. Après avoir évalué toutes les preuves disponibles, ces experts ont conclu que les co-formulants du Roundup ne présentaient pas de risque pour la santé humaine.

La prochaine fois que quelqu'un affirmera que la substance chimique X pourrait causer ou guérir la maladie Y, assurez-vous que son argument ne repose pas sur des expériences in vitro préliminaires ou incomplètes. Ce type d’études peut être informatif, mais c’est généralement le début d’une enquête scientifique sérieuse – et non la fin.

_____________

* Cameron J. English est le responsable de la génétique agricole et des projets spéciaux du GLP. Il co-anime le podcast Biotech Facts and Fallacies. Suivez-le sur Twitter @camjenglish

Source : https://geneticliteracyproject.org/2019 ... s-it-mean/

https://geneticliteracyproject.org/biot ... n-english/

http://seppi.over-blog.com/2019/08/les- ... ur-l-homme

Re: Petites misères dues au désherbage de ces "sauvages"

Publié : lun. 26 août 2019 14:15
par Nicole37n
Qui a parlé d'érysipèle ?

La "rue" provoque une brûlure instantanément quand elle est endurcie et au soleil, certes sur une peau sensible..
Avec cloque genre brûlure 2e degré avec douleur intense, et pas de fièvre ou autre.

Il faut parler de ce que l'on connait.