Re: Guide pour un jardin plus naturel [en cours]
Publié : sam. 27 oct. 2012 14:43
Rosanna,
Très intéressante cette réponse car c'est le prototype même de la non acceptation d'un jardinage naturel dont la plante serait la reine du potager.
Tu abordes plusieurs points donc je vais te répondre a chacun d'entre eux :
Le problème c'est quand donnant toujours plus a manger provenant de l'extérieur on créé un déséquilibre obligeant continuellement à en rajouter toujours plus.
Il y a un principe essentiel dans la nature qui est que le trop est l'ennemie du mieux, ce qui amène directement a une surproduction d'élément que les plantes ne peuvent pas absorber totalement, donc pollution.
L'idéal serait dont de connaitre les besoins de plantes afin de gérer au mieux les apport sans forcement obligatoirement tenir compte des besoins toujours plus important des grouillants vers de terre.
Donc je n'ai pas que la simple vision idyllique vu à travers les différents site internet, j'ai également la vison de tous les aléas de ce type de technique.
Pour ceux, de la région, qui sont intéressé, cet agriculteur fourni un très bon amendement a ceux qui veulent lui en prendre.
Par contre, bien que nous ne soyons pas toujours d'accord, je n'ai rien a redire sur les techniques de l'oncle, emcé, appius,....
Et toi, comment est ton jardin ? a tu un jardin ?
*(deux autres attirent ma curiosité
)
Très intéressante cette réponse car c'est le prototype même de la non acceptation d'un jardinage naturel dont la plante serait la reine du potager.
Tu abordes plusieurs points donc je vais te répondre a chacun d'entre eux :
Je ne me prive de rien étant donné que jardiner est ma passion et non une contrainte .ro-zanna a écrit :Ouai, on est d'accord sur le premier point. Sauf que dans ta vision et tes pratiques tu te prives d'un autre très grand plaisir , et de ce qui remplace ton travail (--> la vie du sol),
D'après ce que j'ai lu et pu voir, les apports sont une base majeur d'un jardin naturel. D'ailleurs, quelques soit la question, il est souvent répondu qu'il faut mettre du fumier, du compost, du brf, de la paille, du crottin, etc...afin de maintenir un certain niveau de vie dans le sol.ro-zanna a écrit : que tu te casses le dos à travailler le sol (-->faut bien remplacer toutes les galeries que tu bousilles),
que tu es contraint de fertiliser NPK 1+1=2 sur sol 0 (forcément, plus tu travailles à la place de, moins y'a de fertilité naturelle),
que tu te rends esclave de tes légumes en devant faire des apports extérieurs,
et que finalement, tu prends le risque de polluer même si tu "raisonnes".
Et tu ne peux sortir de ce cercle infernal de travail/fertilisation/travail/fertilisation.
Le problème c'est quand donnant toujours plus a manger provenant de l'extérieur on créé un déséquilibre obligeant continuellement à en rajouter toujours plus.
Il y a un principe essentiel dans la nature qui est que le trop est l'ennemie du mieux, ce qui amène directement a une surproduction d'élément que les plantes ne peuvent pas absorber totalement, donc pollution.
L'idéal serait dont de connaitre les besoins de plantes afin de gérer au mieux les apport sans forcement obligatoirement tenir compte des besoins toujours plus important des grouillants vers de terre.
Je côtoies régulièrement un agriculteur qui s'est lancé dans ce type d'entreprise, en discutant je connais les bons et les mauvais coté de la CS.ro-zanna a écrit :Je veux bien te donner des liens vers les derniers RDV d'agri qui ont opté pour les techniques de conservation des sols.
Mais tu n'y crois pas! A quoi bon?
Donc je n'ai pas que la simple vision idyllique vu à travers les différents site internet, j'ai également la vison de tous les aléas de ce type de technique.
Pour ceux, de la région, qui sont intéressé, cet agriculteur fourni un très bon amendement a ceux qui veulent lui en prendre.

Tu pourras surement me rafraichir la mémoire, mais il me semble que j'ai mis en doute les résultats de deux membres*. Pour le premier j'ai les preuves de ce que j'avance et pour le second c'est l'exemple même d'un surdosage d'élément nutritif. Dans les deux cas le problème n'est pas l'erreur mais la non acceptation de l'erreur.ro-zanna a écrit :Tu n'y crois tellement pas que tu mets en doute régulièrement les résultats que les jardiniers peuvent obtenir, en fonctionnant ainsi. Tu demandes des photos pour prouver que, et quand tu as photos, c'est tout juste si tu n'accuses pas les jardiniers concernés de truquer les photos. Ou bien tu rétorques que les légumes sont "anormaux"!
Tu refuses
Par contre, bien que nous ne soyons pas toujours d'accord, je n'ai rien a redire sur les techniques de l'oncle, emcé, appius,....
Et toi, comment est ton jardin ? a tu un jardin ?
*(deux autres attirent ma curiosité
