Bonjour à toutes et à tous,
Dimanche 17 février, Wivine écrit :
« L’humanité (qualité) ne peut pas être considérée à l’échelle d'une cellule puisque c'est un concept global et surtout qui se manifeste de manière inconditionnelle.. Il n'y a pas de dimension, c'est ou ce n'est pas.. »
Ma réponse :
Si on considère la cellule, soit comme une cellule émettrice, soit comme une cellule réceptrice, combien d’individus ''cellulaires'' faut il pour que la dite ''humanité'' au sens de qualité et/ou d'ailleurs aussi au sens de communauté, soit perceptible ou constituée ?
On le voit ici, qu'il s'agisse de matière concrète ou de ressenti, la question, (paradoxalement conduite de façon réductrice), reste la même..
« Je pense donc je suis »
Déplaçons la problématique sur le plan de la physique...
Soit une molécule d'eau : H2O
Il en faut au moins sept d'entre elles pour que celles-ci se comportent comme l'eau, l'eau comme on la connaît...
Allons plus loin, dans l’espace temps et la brane..
Je cite (non, rien de tout ce qui est ici, n'a été piqué sur Internet, toute la documentation est à la maison ou dans les émissions d’Étienne Klein, autres B.B.C., etc.) :
« La théorie des cordes prévoit que l'univers soit une ''brane'' flottant dans un espace de dimension spatiotemporelle supérieure.. Sur une telle brane, qui serait secouée brusquement, la dimension du temps, se plierait jusqu'à devenir une dimension spatiale »
P 42, ''Pour la science'' ; numéro Collector de Novembre 2018-janvier 2019
Ne s’agit il pas d'une description assez convaincante de nos émotions, surtout quand celles-ci deviennent partagées et vibrent à l'unisson... ??
Le son d'un instrument, par exemple..
Pour te répondre, je vais aller chercher une autre image...
Tu es passée ici poser une affirmation monolithique… (Du moins, s’agissant de ton premier passage)… Celle-ci, comme la plupart des autres interventions, notamment sur ''coup de gueule'', constituent comme un alignement énigmatique de dolmens.. Il n'y a plus qu'à tondre la pelouse entre chaque pierre, de peur que la mauvaise herbe ne repousse…
(Entre temps, Voisine a répondu puis tu as apporté une autre direction.. )
Je te retourne la question :
« Qu’entends tu par '''dimension'' d'une part, et par ''inconditionnelle, d'autre part ? »
à plus,
Ci-joint un dessin édité en d'autres temps... Mais toujours d'actualité..
D'ailleurs, celui-ci aurait fort bien pu être un contemporain des balbutiements des premiers langages.. (Entendre longtemps avant Internet) ….