Le trou est creusé, le collecteur, déjà monté, posé au fond : deux électrovannes, collecteur soudé avec transition laiton (écrou tournant, donc démontable), arrivée d'eau au centre, vannes d'isolement sur l'ensemble des voies. Solénoïdes démontés pour pas s’emmêler avec les fils inutiles pour l'instant.
La terre est l'ennemi de l'arrosage, donc les orifices sont bouchés au scotch orange.

- collecteur
Les amorces de tuyau sont ajoutées (ici tuyau polyéthylène de diamètre 32 "qualité 10 bar" minimum, vendu droit en barres et non en couronne), l'ensemble du collecteur réhaussé par rapport au fond.

- avec amorces de tuyau
Le regard dit "Jumbo" (marque Rain Bird) est découpé à la scie cloche et la scie à main, puis vient se positionner sur le dessus.

- avec le regard
Rebouchage, le film géotextile est remonté le long des parois. Il faut veiller à ne pas décaler le regard à vouloir reboucher trop vite. Patience vaut mieux que précipitation.
Une fois de plus, les orifices ont bouchés pour éviter la terre (ici avec des chutes de géotextile). Les canalisations des réseaux viendront se raccorder aux extrémités (avec des raccords type manchons), dans un second temps.

- regard en terre
Gravier au fond,
sous l'ensemble du collecteur (et pas autour ou pire, au dessus).

- avec le gravier
Les solénoïdes sont en place, le programmateur raccordé
avec des connexions étanches (il existe divers modèles) ; ici programmateur étanche à pile, marque Rain Bird, Bluetooth, donc les réglages se font à partir du smartphone. Zone publique, pas de 220 volts possible.
Reste à laver un peu l'intérieur au jet, pour enlever la poussière.

- regard terminé
Les principes de base sont là : un regard rigide, de bonne qualité (économiser sur le prix d'un regard reste ridicule sur le budget global d'une installation) unions démontables avant ET après les électrovannes, de la place dans le regard pour la maintenance, vannes d'isolement (une indispensable au minimum, ici trois), point de purge, géotextile et gravier, etc.