Bonjour Marcol
je vais apporter mon avis suite à ton propos:
"D'où vient cette peur de composter les feuilles de TOUS les arbres ?
Avant que les jardiniers se mettent à les brûler, les feuilles tombaient au sol et se compostaient naturellement. Idem pour les tiges de PdT et de tomates."
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justement, la nature ne fait pas la distinction....
Pour faire bref:
j'ai entendu plusieurs choses qui semblent se confirmer à l'usage:
les spores de mildiou et autres .. , seraient suffisamment légers pour remonter du sol à la faveur d'air chaud,
d'où les mesures préventives comme:
écarter les rosiers grimpants du mur de soutien d'environ 30 cm..
aérer au maximum les végétations,
etc..
savoir que ces oïdiums etc. bénéficient des contraste de températures chaud froids entre jour et nuit..
et donc brûler les feuilles malades pour diminuer les chances de reproduction
à moins de les compacter et de compter sur le coup de feu, c'est à dire faire des tas de compostage suffisamment gros pour obtenir à l'intérieur du tas une température suffisamment élever pendant une durée suffisante pour détruire le maximum de germes..
70 ° dit on
Encore une chose:
la nature vit un équilibre (climax) entre le climat, les plantes les animaux (etc.) à un endroit donné
Or
notre culture et nos jardins vont à l'encontre de cet équilibre . on chamboule tout.
à qui profite le crime.
Les maladies sont plus promptes à attaquer que la pousse d'un arbre ou l'obtention d'une récolte..
le terreau est donc un filtre d'une année sur l'autre
à plus
Daniel