carnivore
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l-quino
- Fruit de la jacasse
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- Inscription : ven. 22 avr. 2005 18:39
- Localisation : Tournai Belgique
Les considération sur la minéralisation de l'eau et les effets sur les plantes, et notament les carences induites et intoxications qu'elle peut entrainer non rien avoir avec des croyances populaires.
On peut mesurer des taux assez précis certains sels minéraux, qui, présents en quantité dépassant ces seuils, induisent des effet graves, à court, moyen ou long terme.
Ca n'a n'a rien avoir avec des croyances. Vraiment pas.
Idem pour les carences "directes" c-à-dire non induite par la présence en excès d'un autre éléments. C'est établis et précis.
C'est précisement sur ces mesures que les producteurs se basent pour optimiser les cultures de pointe, c'est à dire les cultures de plantes ornementales en serres, là ou un max de paramètres sont maitrisés.
Après ça, à notre échelle tout est question de tolérance et aussi de chance. Pas la peine d'installer un labo dans son arrière cuisine pour optimiser l'arrosage de nos Monstera. Mais si tu veux cultiver des Disa par ex, qui est un genre d'orchidées africaines TRES sensible à la présence de sels dissous, ou des carnivores, qui ont le même genre de sensibilité, c'est autre chose. Alors là, je ne conteste pas ton expérience, ton eau, pour un tas de raisons connues et inconnues, ton eau convient puisque tu en fais l'expérience. (Mais tu ne dis pas sur quel type de plante.) Mais pour des raisons tout aussi connues ou inconnues, elle pourrait bien ne pas convenir du tout. Ca pourrait même arriver de façon très imprévisible.
Donc, perso, je pense que pour des plantes qu'on sait sensibles, voir très sensibles (ce qui est le sujet qui nous préoccupe ici) il y a une inconnue qui équivaut à un risque avec lequel il n'est peut-être pas indispensable de jouer dans ce cas, ou alors il faut le savoir et en endoser la responsabilité au cas ou des soucis devaient survenir des suite de cette pratique.
On peut mesurer des taux assez précis certains sels minéraux, qui, présents en quantité dépassant ces seuils, induisent des effet graves, à court, moyen ou long terme.
Ca n'a n'a rien avoir avec des croyances. Vraiment pas.
Idem pour les carences "directes" c-à-dire non induite par la présence en excès d'un autre éléments. C'est établis et précis.
C'est précisement sur ces mesures que les producteurs se basent pour optimiser les cultures de pointe, c'est à dire les cultures de plantes ornementales en serres, là ou un max de paramètres sont maitrisés.
Après ça, à notre échelle tout est question de tolérance et aussi de chance. Pas la peine d'installer un labo dans son arrière cuisine pour optimiser l'arrosage de nos Monstera. Mais si tu veux cultiver des Disa par ex, qui est un genre d'orchidées africaines TRES sensible à la présence de sels dissous, ou des carnivores, qui ont le même genre de sensibilité, c'est autre chose. Alors là, je ne conteste pas ton expérience, ton eau, pour un tas de raisons connues et inconnues, ton eau convient puisque tu en fais l'expérience. (Mais tu ne dis pas sur quel type de plante.) Mais pour des raisons tout aussi connues ou inconnues, elle pourrait bien ne pas convenir du tout. Ca pourrait même arriver de façon très imprévisible.
Donc, perso, je pense que pour des plantes qu'on sait sensibles, voir très sensibles (ce qui est le sujet qui nous préoccupe ici) il y a une inconnue qui équivaut à un risque avec lequel il n'est peut-être pas indispensable de jouer dans ce cas, ou alors il faut le savoir et en endoser la responsabilité au cas ou des soucis devaient survenir des suite de cette pratique.
Ludo
