Bonsoir Grenouille68
J'ai encore de place en place quelques beaux pieds d'ortie qui ont échappés à ma vigilance.
Mais il ne dépasserons pas les 50 cm (Trop visible)
Et quand au mourron des petits oiseaux ne le vendait-on pas aux parisiens autrefois
Je cite :
Et j'ai découvert qu'autrefois, le mouron, cette saloperie qui fait s'attraper des lumbagos à tous les jardiniers du dimanche, se vendait à la ville.
C'est joli comme nom : "marchande de mouron".
Enfin, c'était plutôt la misère pour gagner sa vie. Vendre sur le trottoir des herbes pour nourrir les petits oiseaux en appartement(*)...
Souvenir d'un époque où tout un commerce se faisait dans la rue, et où tout un chacun pouvait vendre un peu n'importe quoi.
Tiens, faudra que je pense un jour à vous parler des marchands de mèches pour fouets, des paveurs en bois et autres tondeurs de chiens...
Est-ce qu'ils se faisaient autant de mouron que nous
Ah, oui, que je vous dise : le mouron, ça pousse tellement dru qu'au siècle dernier c'était un mot d'argot pour désigner la chevelure.
D'où l'expression : se faire du mouron. C'est se faire des cheveux.
Blancs, sous entendu.
http://5mois.hautetfort.com/archive/200 ... seaux.html
L'Effort Soit Avec Vous!
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