Histoire d'un gars, qui n'aimait pas les chats.
Lorsque j'étais petits, j'étais allergiques, et le matou familiale, était une teigne. (ça existe, surtout chez les félins).
Philosophiquement, j'étais plus proche du ma^tre et son chien. Surement, parce que, notre (nos) épagneul étaient de super chien de chasse, vivant à la maison.
Puis, j'ai connu ma compagne. Chez ses parents, il y avait 13 chattes et 3 Chats. A l'époque le simple fait, qu'un chat monte sur mois, me mettait très mal à l'aise.
Comme nous avions un appartement en ville, au Rez de chaussée, donnant sur un parc nous avons hérité d'un matou.
C'était un gros couillu tigré, avec des oreilles comme un linx. Une terreur. Il revenait, de temps en temps à la maison, pour se faire soigner, après les bagarres, parfois pour manger, et occasionnellement pour faire un câlin.
Personne, ne pouvait, l'approcher, à part ma compagne, moi, et un copain suicidaire.
Cela a été un vrai problème à la naissance de notre premier enfant. Il défendait son territoire, et pissait partout, mais n'a jamais agressé le bambin. il préférait fuire.
C'est ce chat, qui m'a réconcilié, avec les félins, à cause de son caractère et de son indépendance.
Il a disparu un jour, et depuis, nous avons eu d'autre minettes, et d'autre minets.
Je passe, les étapes.
Quand nous sommes arrivés, dans notre nouvelle maison, à la campagne, nous avons pris une petite chatte pour tenir, compagnie à notre cavalier king charles, qui n'aurait pas supporter, la solitude.
Ce pauvre chien est mort, alors que la petite Gaya, n'avait que 2 mois. Depuis, elle a un copain qui a 2 mois d'elle qui doit être un batard de chi tsu et de fox.
En conclusion :
Je n'aime toujours pas le coté calin ron ron des chats, et surtout pas pas le matin dans la chambre, quand elle frotte son cul sur mon nez ;
J'admire la malignité de la petite chatte quand elle joue avec le chiot, ou quand elle chasse, pour s'amuser ;
Je ne supportes toujours pas le coté voleur des chats ;
Je reste très chien.
Cependant, j'ai une vraie aversion, pour les personnes, qui pourraient faire souffrir ou tuer les chats.
Je crois même, que je pourrais devenir violent.
Bon c'est vrai, que dans l'assiette, sans collier, on ne fait pas la diférence, avec un lapin.
