Boutures
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- Graine de timide
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Boutures
Bonjour à tous,
J'ai pas mal de boutures dans des godets. Et je me posais la question si il fallait que je les laisses dehors ou que je les mettent en hors gel ? Et si j'enterre les godets dans la terre ?
Merci d'avance
J'ai pas mal de boutures dans des godets. Et je me posais la question si il fallait que je les laisses dehors ou que je les mettent en hors gel ? Et si j'enterre les godets dans la terre ?
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- fleur de Pivoine
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Re: Boutures
Coucou
tout dépend de la région et du type de boutures
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Saison 2015 chez Fleur de pivoine
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Re: Boutures
Des boutures de quoi ?
- cybe33
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Re: Boutures
de quelles boutures ?
- Pochtroi
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Re: Boutures
Bonjour, ça va être le moment de bouturer pour agrémenter nos jardins de futurs arbres.
Mais je comprends mal, certaines essences se bouturent très facilement, d'autres refusent ce type de multiplication. Quand je pose la question à quelqu'un pour une espèce, la réponse lui semble toujours évidente.
Alors y a-t-il une règle, quelque chose à savoir pour, quand un arbre me plait dans la nature (sans toujours savoir de quoi il s'agit exactement), décider si je peux le bouturer, s'il est préérable de récupérer sa semence ou s'il serait plus simple d'acheter le même chez le pépiniériste ?
Mais je comprends mal, certaines essences se bouturent très facilement, d'autres refusent ce type de multiplication. Quand je pose la question à quelqu'un pour une espèce, la réponse lui semble toujours évidente.
Alors y a-t-il une règle, quelque chose à savoir pour, quand un arbre me plait dans la nature (sans toujours savoir de quoi il s'agit exactement), décider si je peux le bouturer, s'il est préérable de récupérer sa semence ou s'il serait plus simple d'acheter le même chez le pépiniériste ?
- Marcus
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Re: Boutures
Bonjour,
Suivant les variétés je peux avoir excellent résultat comme des résultats très médiocre.
Donc je multiplie les époques, les quantités et les techniques pour augmenter mes chances.
je commence généralement en aout pour finir avant les gelées et je fais trois type de bouture pour chaque variété (simple, crosse, talon)
Suivant les variétés je peux avoir excellent résultat comme des résultats très médiocre.
Donc je multiplie les époques, les quantités et les techniques pour augmenter mes chances.
je commence généralement en aout pour finir avant les gelées et je fais trois type de bouture pour chaque variété (simple, crosse, talon)
Il vaut mieux se taire et passer pour un con plutôt que de parler et de ne laisser aucun doute sur le sujet. P.Desproges
Un peu de chez moi
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- Léontine
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Re: Boutures
Rien d'évident hélas. Les plantes disposent de méristème (cellules indifférenciées capables de devenir n'importe quel organe de la plante) dans leurs bourgeons, mais plus ou moins. Et certaines sont capables de dé-différencier leurs cellules (en quelque sorte refabriquer du méristème à partir de cellules différenciées) ce qui leur permet d'assurer d'autres fonctions : par exemple, un cal cicatriciel (là où on a coupé la bouture), va se dé-différencier pour se re-différencier et produire des racines. Il y a même des plantes très « douées » comme les Saint-Paulia qui sont capables de se reproduire à partir d'une feuille, sans le moindre bourgeon. Pour d'autres, c'est la bouture de racine, qui marche bien. J'explique ça en très gros avec mes mots, j'espère que les botanistes ne vont pas trop hurler de rirePochtroi a écrit :Bonjour, ça va être le moment de bouturer pour agrémenter nos jardins de futurs arbres.
Mais je comprends mal, certaines essences se bouturent très facilement, d'autres refusent ce type de multiplication. Quand je pose la question à quelqu'un pour une espèce, la réponse lui semble toujours évidente.
Alors y a-t-il une règle, quelque chose à savoir pour, quand un arbre me plait dans la nature (sans toujours savoir de quoi il s'agit exactement), décider si je peux le bouturer, s'il est préérable de récupérer sa semence ou s'il serait plus simple d'acheter le même chez le pépiniériste ?
Savoir s'il est préférable de prendre un semis ou une bouture est une question compliquée car elle ne met pas seulement en jeu la capacité de reproduction végétative (bouture, drageon, greffon...) mais aussi le « risque » d'hybridation des plantes. Pour tout ce qui est des arbres fruitiers horticoles (genre pommier, cerisier...), malheureusement il faut acheter : non seulement ces plantes sont capables de s'hybrider, mais la plupart des variétés horticoles ont été propagées à partir d'un individu unique et ne sont pas forcément fixées. Ce n'est pas le cas par exemple des petites pêches blanches, dont on peut facilement semer les noyaux.
Pour les cultivars (plantes obtenues par les horticulteurs), certains peuvent être stables et fidèles de semis, mais ce n'est pas la règle, donc la reproduction végétative est plus sûre. Certains hybrides sont stériles ou ne seront pas fidèles de semis (tendance à se régénérer - et non à dégénérer, comme on entend souvent dire - et à revenir au type botanique).
Il existe même des plantes comme les hortensias ou les viornes boules de neige qui sont des monstruosités botaniques puisqu'elles ne produisent que des simulacres de fleurs (des bractées) et non des fleurs, donc pas de graines.
Par contre, chez les plantes comme les tomates qui sont pratiquement autogames (les fleurs s'autofécondent) et dont les variétés fixées sont nombreuses (variétés anciennes), la reproduction par graine est pratiquement toujours fidèle à l'original, comme le savent tous les jardiniers (un peu moins avec les variétés à fleurs doubles dont le pistil est plus exposé au pollen des autres tomates). D'autres plantes horticoles seront fidèles de semis à condition qu'on leur apporte un pollen de la même variété qu'elles et qu'on les protège des autres pollens.
Pour les plantes botaniques (non trafiquées, sauvages, etc.), et bien ça dépend de leur tendance à s'hybrider plus ou moins ! Privilégier les semis est une manière de favoriser la diversité génétique d'une population de plantes, mais on peut bien sûr avoir des surprises s'il y a différentes espèces dans le secteur et si la plante s'hybride facilement.
Dans la nature, une plante qui ne serait reproduite que par voie végétative aurait, généralement, des chances de survie limitées, car tous les individus sont génétiquement identiques et donc peu capables de s'adapter à des changements écologiques. Il peut même y avoir un genre d'épuisement, comme un texte qui pâlirait de photocopie en photocopie. Par exemple, dans le cas de l'élodée du Canada qui a envahi les cours d'eau de France pendant très longtemps : elle n'est plus aujourd'hui une menace car il n'y avait que des individus mâles et il n'y a jamais eu de reproduction sexuée de cette plante dans nos rivières. Caulerpa taxifolia semble prendre le même chemin, encore les causes de sa régression ne soient pas complètement élucidées.
Enfin bon, je sors un peu du jardin, là.
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Re: Boutures
He bien Léontine, avec toutes tes explications, si on a pas la fibre reproductive, on ne l'aura jamais....
Je bouture tout le temps avec tout ce qui tombe sous la main, et certaines années tout réussit et d'autres rien, nada, comme l'année dernière, cette année un peu mieux.....
Je bouture tout le temps avec tout ce qui tombe sous la main, et certaines années tout réussit et d'autres rien, nada, comme l'année dernière, cette année un peu mieux.....
Nicole
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- Graine de timide
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Re: Boutures
Bonsoir,
Il s'agit de boutures d'hortensias, de mélisses, de cotonéasters, de vignes, de viburnums, de sauges, de lavandes.
Il s'agit de boutures d'hortensias, de mélisses, de cotonéasters, de vignes, de viburnums, de sauges, de lavandes.
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- Graine de timide
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Re: Boutures
Bonsoir,
J'ai fait 20ans de multiplication en pépinière (boutures et greffes), je vais pouvoir te répondre.
Pour faire simple, ce qui est important c'est d'adapter le milieu (sol et atmosphère) avec le matériel végétal, dans ton cas ce sont des boutures.
Plus ton matériel végétal est tendre (bouture herbacée) plus il aura besoin d'hygrométrie, un peu de chaleur mais pas de soleil direct. A l'inverse, si tu faits des boutures de bois secs donc l'hiver, cela demande beaucoup moins de soins. Il y a moins de risque dans ce cas-là, mais ça dépend des plantes.
Il n'y a pas de règles biologique en matière de multiplication. Tel ou tel plante à son mode de multiplication. Cela s'apprend sur le tas.
Pour répondre à ta question:
l'hortensia: bouture
la mélisse: bouture mais j'essaierai par division de touffe et marcottage.
Le cotoneaster: bouture d'hiver
la vigne: greffage
le viburnum: selon la variété.
la sauge: bouture mais j'essaierai par marcottage
la lavande: selon la variété.
J'ai répondu comme si tu avais peu de moyens matériels pour multiplier.
J'ai fait 20ans de multiplication en pépinière (boutures et greffes), je vais pouvoir te répondre.
Pour faire simple, ce qui est important c'est d'adapter le milieu (sol et atmosphère) avec le matériel végétal, dans ton cas ce sont des boutures.
Plus ton matériel végétal est tendre (bouture herbacée) plus il aura besoin d'hygrométrie, un peu de chaleur mais pas de soleil direct. A l'inverse, si tu faits des boutures de bois secs donc l'hiver, cela demande beaucoup moins de soins. Il y a moins de risque dans ce cas-là, mais ça dépend des plantes.
Il n'y a pas de règles biologique en matière de multiplication. Tel ou tel plante à son mode de multiplication. Cela s'apprend sur le tas.
Pour répondre à ta question:
l'hortensia: bouture
la mélisse: bouture mais j'essaierai par division de touffe et marcottage.
Le cotoneaster: bouture d'hiver
la vigne: greffage
le viburnum: selon la variété.
la sauge: bouture mais j'essaierai par marcottage
la lavande: selon la variété.
J'ai répondu comme si tu avais peu de moyens matériels pour multiplier.
- Pochtroi
- Graine de timide
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Re: Boutures
Merci bcp pour vos réponses.
Sur mon terrain (pour le moment c'est un champ), j'essaie de faire un petit coin de "sous-bois".
Le bouleau me plairait bien esthétiquement, pensez-vous que je puisse en faire partir (en bouturant régulièrement dès que l'eau reviendra et jusqu'à la fin de l'hiver) directement en pleine terre (très argileuse, moins d'1cm de terre végétale) ?
Je m'éloigne du sujet de phoenix mais j'ai entendu que le bouleau avait un fort pouvoir allergisant. Sachant que ma "forêt" sera à environ 250m de mon lieu de vie et que je suis asthmatique dans certaines conditions (en ville ou compagnie de rongeurs), pensez-vous que ce soit une mauvaise idée ou que rien à voir
?
Dernière question : je considère le bouturage comme une sorte de clonage. Du coup, quand je glane le long des routes, je privilégie les arbres que je trouve jolis.
Ai-je raison ou est-ce que la bouture, si elle réussi ne ressemblera en rien à son "géniteur" (vents, exposition, terre différents) ?
Merci infiniment pour vos réponses expérimentées, au petit novice que je suis...
Sur mon terrain (pour le moment c'est un champ), j'essaie de faire un petit coin de "sous-bois".
Le bouleau me plairait bien esthétiquement, pensez-vous que je puisse en faire partir (en bouturant régulièrement dès que l'eau reviendra et jusqu'à la fin de l'hiver) directement en pleine terre (très argileuse, moins d'1cm de terre végétale) ?
Je m'éloigne du sujet de phoenix mais j'ai entendu que le bouleau avait un fort pouvoir allergisant. Sachant que ma "forêt" sera à environ 250m de mon lieu de vie et que je suis asthmatique dans certaines conditions (en ville ou compagnie de rongeurs), pensez-vous que ce soit une mauvaise idée ou que rien à voir
?
Dernière question : je considère le bouturage comme une sorte de clonage. Du coup, quand je glane le long des routes, je privilégie les arbres que je trouve jolis.
Ai-je raison ou est-ce que la bouture, si elle réussi ne ressemblera en rien à son "géniteur" (vents, exposition, terre différents) ?
Merci infiniment pour vos réponses expérimentées, au petit novice que je suis...
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- Graine de timide
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Re: Boutures
Bonjour Allen,
Merci pour ta réponse.
Merci pour ta réponse.
- Léontine
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Re: Boutures
L'hortensia, assez facile (j'en ai déjà fait, mais j'avoue que je ne me souviens pas bien comment, ça devait être du style directement dans une plate-bande, en automne). La mélisse se ressème « de peur », ça ne me viendrait pas à l'idée de la bouturer. Cotoneaster, plus ou moins pareil, ça se ressème assez bien selon les espèces. Mais tu me fais penser que je devrais tenter de bouturer mon 'Rothschildianus'.phoenix 38 a écrit :Bonsoir,
Il s'agit de boutures d'hortensias, de mélisses, de cotonéasters, de vignes, de viburnums, de sauges, de lavandes.
Vigne, ça se bouture ou ça rejette sans problème (Vitis, Parthenocissus, Ampelopsis). La greffe n'a aucun d'intérêt si tu ne cherches pas la production de raisin. Viburnum, j'ai jamais essayé, mais je crois que ça marche bien. Les sauges : si tu rates une bouture de sauge, c'est que tu es marabouté, en gros, c'est inratable (n'importe quand et n'importe comment, même pas besoin de terreau, la terre de jardin la plus quelconque fait l'affaire) . Les lavandes, je crois que c'est un peu plus délicat, je n'ai jamais tenté.
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Re: Boutures
Bonjour Léontine,
Dans ton message, il y a du vrai mais aussi confusion et légèreté.
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- Léontine
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Re: Boutures
Je m'en voudrais d'être lourdingue, en effet...Allen a écrit :Bonjour Léontine,
Dans ton message, il y a du vrai mais aussi confusion et légèreté.
J'aimerais quand même bien que tu expliques ce que je confonds... Quand je ne sais pas, je le dis, mais je peux aussi ressortir le Van den Heede.
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Re: Boutures
La bouture est bien du clonage, au sens ou l'individu qui va se développer à partir d'une bouture est génétiquement le même. On pourrait même (avec un léger abus de langage) dire qu'il s'agit du même individu car il n'y a même pas eut de reproduction contrairement à un vrai clonage ou l'on produit un nouvel individu (il va passer par le stade de plantule et se développer normalement ensuite).Pochtroi a écrit : Dernière question : je considère le bouturage comme une sorte de clonage. Du coup, quand je glane le long des routes, je privilégie les arbres que je trouve jolis.
Ai-je raison ou est-ce que la bouture, si elle réussi ne ressemblera en rien à son "géniteur" (vents, exposition, terre différents) ?
Par contre si par clonage tu espères trouver une plante de même taille et de même forme quand la bouture aura l'âge de la plante d'origine, la réponse est non, ça ne sera pas le cas. Trop de facteurs entre en jeu : qualité du sol, exposition au vent, à la lumière, branche éventuellement cassée ou abimée au cours de la vie de l'arbre, etc...
Mais il est vrai que les fleurs par exemple auront exactement la même couleur que la plante originale et que les fruits auront le même gout (avec la réserve bien sur que la composition du sol ne modifie pas le gout du fruit ou la couleur des fleurs).
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- Graine de timide
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Re: Boutures
Bonjour Léontine,
C'est quoi le Van den Heede ? Moi aussi, j'en ai des bouquins de multipl.,américain,anglais,hollandais,allemand, français. Ils te donnent les grandes lignes mais pas le petit truc qui fait la différence et puis ça serait trop facile.
Pour ma part, j'ai fait quasiment les meilleurs boîtes d'Europe en matière de multiplication en plante d'extérieur. Ce n'est pas de la prétention mais c'était ma passion!
Ce que je retiens, c'est que l'on connait la méthode de multiplication (bouturage, semis, greffage, in vitro, marcottage....) pour une plante malgré qu'il y a des évolutions technologiques et de savoir faire. Ensuite chacun le fait comme il le sent, il n'y a pas qu'une solution.
J'ai connu un responsable réputé dans la profession, qui disait:"il y a autant de fromages en France que de façon de multiplier"
C'est quoi le Van den Heede ? Moi aussi, j'en ai des bouquins de multipl.,américain,anglais,hollandais,allemand, français. Ils te donnent les grandes lignes mais pas le petit truc qui fait la différence et puis ça serait trop facile.
Pour ma part, j'ai fait quasiment les meilleurs boîtes d'Europe en matière de multiplication en plante d'extérieur. Ce n'est pas de la prétention mais c'était ma passion!
Ce que je retiens, c'est que l'on connait la méthode de multiplication (bouturage, semis, greffage, in vitro, marcottage....) pour une plante malgré qu'il y a des évolutions technologiques et de savoir faire. Ensuite chacun le fait comme il le sent, il n'y a pas qu'une solution.
J'ai connu un responsable réputé dans la profession, qui disait:"il y a autant de fromages en France que de façon de multiplier"
- Léontine
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Re: Boutures
C'est ce bouquin : http://www.amazon.fr/Lart-bouturer-Van- ... 2706607653 (le mien est beaucoup plus ancien).Allen a écrit :Bonjour Léontine,
C'est quoi le Van den Heede ?
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