du sol au légume ... un tout à raisonner ?
Publié : sam. 09 févr. 2013 15:10
Bonjour à tous,
Chacun a son avis sur la manière de cultiver son jardin et c'est très bien.
Nos agriculteurs ont leur approche et lire ce qui leur est proposé comme démarche pour raisonner leurs cultures est formateur.
Ces 4 pages sur la conduite de la fertilisation d'une vigne en est un bel exemple.
Il nous suffit de remplacer "vigne" par "tomates" ou "poireaux" ... chacun verra la cruelle distance qu'il y a entre les questions que ces viticulteurs se posent et celles que nous nous posons, nous jardiniers.
On va me répondre : << C'est leur gagne pain, nous c'est notre loisir. >> OK mais ce n'est une raison pour ignorer les bonnes questions que d'autres se posent.
C'est vrai que c'est parfois compliqué
Cependant, ce n'est pas une raison pour tout simplifier et croire que le jardin va bien produire quand même et cela, tous les ans.
tableau 1 : les pertes de matières organiques ... comment "compensons" nous d'autant qu'avec nos légumes, ces pertes sont 2 fois plus importantes.
tableau 2 : les restitutions humiques ... et nous quelles restitutions faisons-nous dans nos jardins potagers ? Est-ce suffisant ?
tableau 3 : Prélèvements de la vigne en éléments fertilisants ... pour nous, ce sera "les besoins de nos légumes" ... certains hurlent au "chimique" et pourtant, que d'erreurs faisons-nous à ne pas faire la différence entre un carré de salades et les besoins d'un pied de tomates.
Bref, on y parle de Matières Organiques, d'ISB (Indice de Stabilité Biologique) et de CBM (Caractérisation Biochimique de la Matière Organique), du rapport C/N des sources d'humus et, bien sûr, des besoins de la vigne en NPK (et pas que ... Ca, Mg etc ...), ... faut suivre ...
... et c'est un papier de l'ITAB (Institut Technique de l'Agriculture Biologique) ... un gage de sérieux, quand même.
Bonne lecture
à+
Chacun a son avis sur la manière de cultiver son jardin et c'est très bien.
Nos agriculteurs ont leur approche et lire ce qui leur est proposé comme démarche pour raisonner leurs cultures est formateur.
Ces 4 pages sur la conduite de la fertilisation d'une vigne en est un bel exemple.
Il nous suffit de remplacer "vigne" par "tomates" ou "poireaux" ... chacun verra la cruelle distance qu'il y a entre les questions que ces viticulteurs se posent et celles que nous nous posons, nous jardiniers.
On va me répondre : << C'est leur gagne pain, nous c'est notre loisir. >> OK mais ce n'est une raison pour ignorer les bonnes questions que d'autres se posent.
C'est vrai que c'est parfois compliqué
Cependant, ce n'est pas une raison pour tout simplifier et croire que le jardin va bien produire quand même et cela, tous les ans.
tableau 1 : les pertes de matières organiques ... comment "compensons" nous d'autant qu'avec nos légumes, ces pertes sont 2 fois plus importantes.
tableau 2 : les restitutions humiques ... et nous quelles restitutions faisons-nous dans nos jardins potagers ? Est-ce suffisant ?
tableau 3 : Prélèvements de la vigne en éléments fertilisants ... pour nous, ce sera "les besoins de nos légumes" ... certains hurlent au "chimique" et pourtant, que d'erreurs faisons-nous à ne pas faire la différence entre un carré de salades et les besoins d'un pied de tomates.
Bref, on y parle de Matières Organiques, d'ISB (Indice de Stabilité Biologique) et de CBM (Caractérisation Biochimique de la Matière Organique), du rapport C/N des sources d'humus et, bien sûr, des besoins de la vigne en NPK (et pas que ... Ca, Mg etc ...), ... faut suivre ...
... et c'est un papier de l'ITAB (Institut Technique de l'Agriculture Biologique) ... un gage de sérieux, quand même.
Bonne lecture
à+