La sève monte. Comment ???
Publié : mar. 30 août 2016 12:10
Bonjour à tous...
J'ai lu bien des explications (sans trop bien comprendre) sur la façon dont fonctionne cette pompe
biologique, incluse dans la plante, qui puise l'eau du sol et la fait passer rapidement, sous forme de sève brute, tout en haut de la plante.
Quelquefois à cent mètres, comme chez les Séquoias. 10 bars, rien que ça...
De taille bien plus modeste, mais beaucoup plus soiffard : le brugmensia (ou l'hydrangéa).
La moindre soif, il joue la tragédie. Les feuilles avachies, fripées, pendouillantes :
on le croirait près de l'agonie.
Un bon arrosoir et sept minutes après, le bouquet du sommet est à nouveau érigé.
Les feuilles plus basses restent flapies; il leur faudra un quart d'heure supplémentaire pour parader, elles aussi.
Comment s'opère cette préférence apicale ?
Dans un modèle "hydraulique de plombier", la propagation se ferait en commençant par les étages bas, puis gagnerait le sommet.
Mystérieux, ce monde végétal...

J'ai lu bien des explications (sans trop bien comprendre) sur la façon dont fonctionne cette pompe
biologique, incluse dans la plante, qui puise l'eau du sol et la fait passer rapidement, sous forme de sève brute, tout en haut de la plante.
Quelquefois à cent mètres, comme chez les Séquoias. 10 bars, rien que ça...

De taille bien plus modeste, mais beaucoup plus soiffard : le brugmensia (ou l'hydrangéa).
La moindre soif, il joue la tragédie. Les feuilles avachies, fripées, pendouillantes :
on le croirait près de l'agonie.
Un bon arrosoir et sept minutes après, le bouquet du sommet est à nouveau érigé.
Les feuilles plus basses restent flapies; il leur faudra un quart d'heure supplémentaire pour parader, elles aussi.
Comment s'opère cette préférence apicale ?
Dans un modèle "hydraulique de plombier", la propagation se ferait en commençant par les étages bas, puis gagnerait le sommet.
Mystérieux, ce monde végétal...
