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Un Rhamnus ou quoi ? [Rhamnus alaternus]

Publié : lun. 14 nov. 2016 7:17
par bourru07
Bonjour,
Toujours mal à l'aise avec le genre Rhamnus.
Poussant dans les fissures des bancs calcaires de la garrigue ardéchoise, un arbuste
qui me pose toujours des problèmes.
un faux air d'Arbousier, mais pas la même écorce...
En pataugeant dans les clefs, je retombe le plus souvent sur Rhamnus alaternus.
Qui peut confirmer (ou infirmer) son identité ?
Deux photos de l'arbuste, plus, à titre de comparaison, une d'Arbutus unedo, en fleurs...

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Re: Un Rhamnus ou quoi ?

Publié : lun. 14 nov. 2016 15:37
par perebelle
bonjour Bourru!
Ben, je ne vois qu'un Arbutus unedo???
Montre nous l'écorce

Re: Un Rhamnus ou quoi ?

Publié : lun. 14 nov. 2016 17:52
par bourru07
Bonsoir Perebelle.
Me dirais-tu, que pour toi aussi, mes deux premières photos sont ambigües ?
Tu es vraiment sympa de ne pas m'écraser... :lol:
Je suis retourné prendre la photo du tronc du présumé Rhamnus : écorce lisse.
Et ne se desquamant pas en lanières, comme celle de l'arbousier.
Mais voudrais-tu dire que, en l'absence de fleurs ou de fruits, il est difficile de distinguer ces deux espèces ?
Auquel cas, je serais moins béotien que je ne pensais...
Pourtant, le bourrelet blanc sur les bords du limbe de mon sans papiers de la garrigue
me semble être original et ne jamais exister sur Arbutus unedo...

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Re: Un Rhamnus ou quoi ?

Publié : lun. 14 nov. 2016 18:21
par Flore80
Et alors ? pourquoi tu hésites ?
Tu viens de nous donner le détail qu'on ne voit pas sur les photos : le "petit bourrelet blanc" dont tu parles est un bord cartilagineux. Il est caractéristique du Rhamnus alaternus.
En plus, l'écorce est complètement différente et les feuilles de A.u. sont plus allongées.

Re: Un Rhamnus ou quoi ?

Publié : lun. 14 nov. 2016 19:03
par bourru07
Merci, Flore.
Voila deux choses plus claires :
  • 1- quasi à coup sur, c'est un alaterne.
    2- je n'y coupe pas : je vais devoir investir dans une bonne Flore..

Reste à savoir laquelle.
La grande Bonnier est bien belle, avec ses illustrations au trait et aquarelle. Mais elle coute un bras.
On dit grand bien de Flora Gallica...