Brisure de branches de fruitiers et canicule
Publié : mar. 04 juil. 2017 16:49
Bonjour,
On sait malheureusement les conséquences des tempêtes ou de a foudre sur les arbres.
Par contre, d'après vos expériences avec des arbres fruitiers en période de canicule, avez-vous assisté (à l'exclusion évidemment des conséquences directes d'événements supplémentaires comme un vent chaud du sud très violent) à des phénomènes soudains, anormaux ou spectaculaires, en phase de floraison, concernant les branches (ou certaines branches) des arbres fruitiers, de type : torsion, fracture, brisure, déchirure ?
1/ La nappe s'abaissant en période canicule et la sécheresse ambiante prévalant, l'effort de pompage par l'arbre peut-il l'épuiser en soi au point de le fragiliser et de fragiliser ses branches ? ... ou bien est-ce toujours la combinaison de nombreux facteurs (ex : poids-air sec- gourmand trop développé et trop lourd au stade de floraison, air très sec, raréfaction extrême de l'eau) ?
2/ Dans tous les cas, comment appréhender la dynamique de l'arbre : ce qui a été perdu est-il compensable par l'arbre lui-même ?
3/ La prévention, indiquée par l'un de vous, en termes de taille et d'éclaircissement, est-elle la parade exclusive ou bien mobilisez-vous d'autres techniques ou astuces ?
Merci d'avance pour vos contributions
On sait malheureusement les conséquences des tempêtes ou de a foudre sur les arbres.
Par contre, d'après vos expériences avec des arbres fruitiers en période de canicule, avez-vous assisté (à l'exclusion évidemment des conséquences directes d'événements supplémentaires comme un vent chaud du sud très violent) à des phénomènes soudains, anormaux ou spectaculaires, en phase de floraison, concernant les branches (ou certaines branches) des arbres fruitiers, de type : torsion, fracture, brisure, déchirure ?
1/ La nappe s'abaissant en période canicule et la sécheresse ambiante prévalant, l'effort de pompage par l'arbre peut-il l'épuiser en soi au point de le fragiliser et de fragiliser ses branches ? ... ou bien est-ce toujours la combinaison de nombreux facteurs (ex : poids-air sec- gourmand trop développé et trop lourd au stade de floraison, air très sec, raréfaction extrême de l'eau) ?
2/ Dans tous les cas, comment appréhender la dynamique de l'arbre : ce qui a été perdu est-il compensable par l'arbre lui-même ?
3/ La prévention, indiquée par l'un de vous, en termes de taille et d'éclaircissement, est-elle la parade exclusive ou bien mobilisez-vous d'autres techniques ou astuces ?
Merci d'avance pour vos contributions