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Coccinelle septempunctata

Publié : dim. 19 juin 2005 0:57
par pcomm69
J'ai lu avec interet les échanges sur le site defendant les coccinelles indigènes (2 ou 7 pts). Le biologiste que je suis ne peut qu applaudir.

J'ai plusieurs plantes qui fleurissent régulièrement dans mon appartement depuis qques mois (bougainvillee, gardenia, strelitzia).

Des pucerons sont apparus il y a qques semaines, il m a fallu qques temps pour les identifier avec précision (Myzus persicae).

Je suis lourdement handicapé musculairement et je ne peux vaporiser les traitements classiques.

Je voudrais donc faire un elevage de coccinelles indigènes ! pour leur efficacite anti pucerons et mon plaisir de cultiver ses jolies bebetes.

Personnellement je préfère esthetiquement la coccinelle à 7 points (Coccinella septempunctata), à celle à 2 points (Adalia bipunctata).

Voici mes quatres questions :

- Pourquoi seule Adalia bipunctata est elle vendue ?

- Coccinella septempunctata a 7 pts est elle moins efficace, puisque pas commercialisee ?

- Ou puis je trouver Coccinella septempunctata sous forme d oeufs ou de larves ?

- Ou puis je acheter un plan d orge portant des pucerons des monocotyledones pour entretenir mon elevage de coccinelles sans attaquer mes dicotyledones auquelles je tiens ?

MERCI

Pierre

Publié : jeu. 23 juin 2005 8:34
par Captain Igloo
Je remonte ce sujet qui jusque présent n'a pas reçu de réponse...

Publié : mer. 13 juil. 2005 7:59
par mistra
j'ai trouvé ce forum spécialisé

http://www.insecte.org/portal.php

pose tes questions là bas, tu auras peut être plus de chance qu'ici......

j'y ai trouvé une belle histoire:

Pourquoi m'appelle t'on bête à bon Dieu ?
"Cette histoire se situe au XIème siècle.
Un parisien avait été assassiné. On soupçonna son apprenti, qui protesta de son innocence. En vain, il fut condamné à avoir le cou tranché. Il y avait grande foule pour ce triste évènement. Le bourreau leva sa hache, mais, au moment de l'abaisser, il aperçut une coccinelle sur le cou de l'apprenti. On a beau couper les têtes de père en fils, on n'en est pas moins délicat. Le bourreau saisit la coccinelle avec prudence; elle s'envola, mais revient aussitôt se poser sur le cou du condamné. Elle s'obstina. Alors, le roi Robert le Pieux, intervint. Il cria que la coccinelle accomplissait une mission divine et que c'était un miracle. Le roi gracia le condamné. Il avait raison. Quelques jours plus tard, on découvrit le vrai coupable. Aussitôt, la coccinelle fut baptisée par le peuple "beste du bon Dieu" et, depuis lors, nul n'écraserait un de ces ravissants insectes sans penser qu'il commet un sacrilège".