Au jardin, forum de jardinage

Bonjour,
Une poule est venue faire ses 10 poussins dans mon jardin. Je vais garder les poussins mais je ne sais au bout de combien de temps je peux lui retirer ?
Quel est le temps de sevrage des poussins ?

Merci de votre réponse.

Jeff

Un poussin peut survivre seul dès les premiers jours (sauf conditions particulières de froid par exemple) Cependant, il a des choses à apprendre avec sa maman même si il peut les apprendre tout seul... c'est tout de même mieux de les laisser plusieurs semaines Il y a aussi des poules qui gardent leurs petits plus longtemps que d'autres.
Mais pourquoi veux-tu lui retirer puisque tu veux les garder?

J'ai répondu comme John, mais dans l'autre post......

Il n'y a pas de "sevrage" chez les poules. Les poussins sont aptes à se débrouiller seuls dès la naissance. Mais bien sur ils ne se porteront que mieu si ils ont l'occasion d'apprendre quelques astuces auprès de leur mère. Dès que les premières plumes sont visibles au niveau des ailes ils peuvent être considérés comme totalement indépendants. Mais les capturer est une autre histoire! Le mieu est de leur donner envie de rester volontairement chez toi.

tient j'ai trouvé ça ! si ça peut t'aider :
http://www.gammvert.fr/pdf/guide_poule.pdf

Quel autre post? Si je l'avais vu... zou à la poubelle!

en ce moment ça caille alors faudrait surtout pas les retirer de la mere et penser a leur donner du granulé de démarrage
cette couvé est tardive je trouve!!

J'ai eu une poule qui couvait et élevait en plein hiver, de façon régulière.
Très curieux de voir une couvée se balader sur la neige !
Elle n'en a jamais perdu aucun. Une "super poule" en somme

Exact, ici à la ferme, il y a des couvées pendant Noël Seuls les tous premiers jours sont délicats il faut aussi se méfier des "corbeaux" quand les poussins sont encore très petits

Le père, un tout petit SeaBrigth anglais, était assez intolérant avec les corneilles. Impressionnant de le voir charger ailes ouvertes dès qu'une corneille s'approchait un peu du jardin. Les chats subissaient le même sort. Leur surprise était inversement proportionnelle à la taille de l'assaillant (de la taille d'un gros pigeon pour ceux qui ne visualisent pas la bête) et directement proportionnelle à sa hargne.