Playdoyer pour les Guêpes
Publié : sam. 12 août 2006 17:02
J'ai trouvé ceci sur Internet et j'ai trouvé que cela pouvais être utile de le partager avec vous car après lecture j'ai envie de regarder les guêpes différement
source : http://membres.lycos.fr/resister/vespa.html
Contrairement à une croyance répandue, la guêpe n'est ni agressive, ni dangereuse. En effet, elle ne pique que si elle se sent menacée. Et cette situation n'arrive que dans trois situations :
Elle est réellement en danger.
Exemple : un abruti l'aperçoit qui volait innocemment et tente de l'écraser. Évidemment, la pauvre petite bête va chercher à se défendre. En pareille situation (à la place de la guêpe), n'agiriez-vous point de même?
Elle n'est peut-être pas en danger, mais ne le sait pas.
Exemple : une guêpe est attirée par le parfum apétissant d'un individu de l'espèce humaine. Elle n'a nullement l'intention de l'agresser, mais simplement elle veut voir ce qui sent si bon, et éventuellement le léchouiller comme un bon fruit mûr gorgé de sucre. Las, le gros animal qui sent si bon a peur de la petite guêpe. Or la peur a une odeur que sent fort bien la guêpe. Et c'est là que débute un quiproquo. En effet, un animal qui a peur ou un autre qui va attaquer exhalent des parfums similaires, car ils produisent alors des substances telles que l'adrénaline. Lorsque la guêpe perçoit l'odeur de l'adrénaline, elle sait qu'elle doit se tenir sur ses gardes, car il peut s'agir d'un danger potentiel. Et si, en plus, le gros animal commence à s'agiter, à lancer de grands gestes en direction du petit, celui-ci prend peur et se croit menacé. Il pique alors pour se défendre. Fin du drame. À la place de la guêpe, n'eussiez-vous point agi de même?
La guêpe est en danger, par la faute involontaire de l'homme.
Cas typique : Totor mange des mirabelles* qu'il ramasse au pied de l'arbre qui les a portées. Il n'est pas le seul à se régaler de ces fruits délicieux, typiques de cette belle région de France qu'est la Lorraine** : comme lui, une guêpe se goinfre des fruits sucrés. Mais Totor est un étourdi. Il ne la voit pas. Et dans instant tragique, il saisit de ses énormes doigts un fruit dans lequel la petite bête s'était installée. Elle se sent soulevée et croit sa dernière heure venue. Mais elle ne mourra pas sans combattre… et pique un doigt du pauvre Totor. Qui oserait la blâmer?
Autre cas : vous avez pulvérisé dans votre jardin des pyréthrinoïdes, naturels (autorisés en agriculture bio) ou de synthèse (répandus en culture chimique), puis vous vous étonnez de l'agressivité des guêpes lorsque vous récoltez votre persil. Or ces produits attaquent le système nerveux des animaux à sang froid et les rend fous furieux avant de les tuer. Le seul responsable de cette situation, c'est vous. D'autres produits ont des effets similaires.
(...)

source : http://membres.lycos.fr/resister/vespa.html
Contrairement à une croyance répandue, la guêpe n'est ni agressive, ni dangereuse. En effet, elle ne pique que si elle se sent menacée. Et cette situation n'arrive que dans trois situations :
Elle est réellement en danger.
Exemple : un abruti l'aperçoit qui volait innocemment et tente de l'écraser. Évidemment, la pauvre petite bête va chercher à se défendre. En pareille situation (à la place de la guêpe), n'agiriez-vous point de même?
Elle n'est peut-être pas en danger, mais ne le sait pas.
Exemple : une guêpe est attirée par le parfum apétissant d'un individu de l'espèce humaine. Elle n'a nullement l'intention de l'agresser, mais simplement elle veut voir ce qui sent si bon, et éventuellement le léchouiller comme un bon fruit mûr gorgé de sucre. Las, le gros animal qui sent si bon a peur de la petite guêpe. Or la peur a une odeur que sent fort bien la guêpe. Et c'est là que débute un quiproquo. En effet, un animal qui a peur ou un autre qui va attaquer exhalent des parfums similaires, car ils produisent alors des substances telles que l'adrénaline. Lorsque la guêpe perçoit l'odeur de l'adrénaline, elle sait qu'elle doit se tenir sur ses gardes, car il peut s'agir d'un danger potentiel. Et si, en plus, le gros animal commence à s'agiter, à lancer de grands gestes en direction du petit, celui-ci prend peur et se croit menacé. Il pique alors pour se défendre. Fin du drame. À la place de la guêpe, n'eussiez-vous point agi de même?
La guêpe est en danger, par la faute involontaire de l'homme.
Cas typique : Totor mange des mirabelles* qu'il ramasse au pied de l'arbre qui les a portées. Il n'est pas le seul à se régaler de ces fruits délicieux, typiques de cette belle région de France qu'est la Lorraine** : comme lui, une guêpe se goinfre des fruits sucrés. Mais Totor est un étourdi. Il ne la voit pas. Et dans instant tragique, il saisit de ses énormes doigts un fruit dans lequel la petite bête s'était installée. Elle se sent soulevée et croit sa dernière heure venue. Mais elle ne mourra pas sans combattre… et pique un doigt du pauvre Totor. Qui oserait la blâmer?
Autre cas : vous avez pulvérisé dans votre jardin des pyréthrinoïdes, naturels (autorisés en agriculture bio) ou de synthèse (répandus en culture chimique), puis vous vous étonnez de l'agressivité des guêpes lorsque vous récoltez votre persil. Or ces produits attaquent le système nerveux des animaux à sang froid et les rend fous furieux avant de les tuer. Le seul responsable de cette situation, c'est vous. D'autres produits ont des effets similaires.
(...)