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Le prix d'un olivier ?
Publié : dim. 20 août 2006 14:57
par bateson
Salut a tous,
Je cherche a acheter un bel olivier centenaire (un joli cadeau que je me fais

) mais voila je me heurte a des prix aussi différents que variés.
Ca va de 250 à 700€ pour des oliviers que je trouve similaire. Tous sont énormément taillés, ce que je trouve dommage : un tronc épais et puis un petit bouquet... Est ce qu'ils repartent bien ???
Sinon je suppose que je choisis le moins cher... Mais pourquoi de telles différences de prix ?
Publié : dim. 20 août 2006 15:09
par Tibelge
700 euros pour un olivier centenaire? Je crois que ce dont tu parles, ce sont des arbres de quelques années, prélevés, dont la reprise a été effectuée en pépinière, et qu'on revend ensuite.
Je ne connais pas le prix d'un olivier centenaire mais je ne serais pas surpris qu'on puisse atteindre voire dépasser 4000-5000 euros, voire bien davantage, sans parler de la transplantation.
Publié : dim. 20 août 2006 15:13
par CMike
J'ai un qui a 120ans, je l'ai acheté 600€ et je peux dire qu'il est beau il à un beau tronc mais très feuillus.
Où je l'ai acheté il y avait des bi-centainaire : 999€ mais gros tronc et pas beaucoup de feuilles.
Voici le miens :

Publié : dim. 20 août 2006 15:14
par CMike
Tibelge a écrit :700 euros pour un olivier centenaire? Je crois que ce dont tu parles, ce sont des arbres de quelques années, prélevés, dont la reprise a été effectuée en pépinière, et qu'on revend ensuite.
Je ne connais pas le prix d'un olivier centenaire mais je ne serais pas surpris qu'on puisse atteindre voire dépasser 4000-5000 euros, voire bien davantage, sans parler de la transplantation.
Jamais ! Entre 500 et 700 pour un centénaire !
Publié : dim. 20 août 2006 15:31
par Tibelge
J'ai googlé et effectivement, les prix sont plus bas que ce que j'imaginais!
Mais ces oliviers qu'on vend sous l'appellation "oliviers centenaires" le sont-ils vraiment?
Sinon, je me demande comment arriver à des prix si bas? Parce que le prix de n'importe quel arbre adulte est de très loin supérieur!
Si quelqu'un a l'explication, je suis preneur.
Publié : dim. 20 août 2006 16:04
par ailees
Tibelge a écrit :Si quelqu'un a l'explication, je suis preneur.
les oliviers élevés correctement en pépinière par de bons professionnels, ne sont pas centenaires en général, en revanche ils sont correctements faits .. cf
Oisif.
donc arrachage n'importe où ; si tu l'as payé trois centimes ou pas loin à un paysan au fin fond de l'Espagne ou de la Calabre, tu peux faire quand même un bon bénéfice... même si tu en perds les 2/3 au passage.
oui, c'est un peu scandaleux, peut-être même beaucoup, surtout en termes d'écologie et de respect de la nature, mais bon, la plupart des gens ne sont pas au courant, et une autre partie s'en foutent totalement puisque ça leur fait plaisir.
Publié : dim. 20 août 2006 16:25
par Tibelge
ailees, purée c'est quand même grave hein... A voir les arbres proposés ici et là, tout découpés déplumés, je m'en doutais un petit peu mais sans y croire vraiment.
En plus, ça a l'air d'être la grande mode, ça semble être en vente partout!
Je me demande quelle est la longévité de ces trucs... Ptêt qu'Oisif pourra nous en dire plus, c'est son rayon les oliviers
Publié : dim. 20 août 2006 16:31
par Tibelge
D'ailleurs, pour en revenir au sujet, voici ce que propose Oisif sur son site en grande taille :
http://www.mon-olivier-de-provence.com/ ... ieure.html
Publié : dim. 20 août 2006 16:47
par ailees
Tibelge a écrit :ailees, purée c'est quand même grave hein... A voir les arbres proposés ici et là, tout découpés déplumés, je m'en doutais un petit peu mais sans y croire vraiment.
mais en termes d'écologie c'est quoi "grave" ?
mettre des oliviers arrachés ailleurs c'est pas grave ; arroser le gazon c'est pas grave, etc.
où commence la limite ?
bon, allez, je dirais même : où commence la réflexion ? la plupart des gens s'en foutent, totalement.
Tiens, un agronome ici m'a dit : mais qu'importe qu'on arrose le maïs en plein jour, puisqu'il y a de l'eau dans les barrages ?
c'est difficile de lui faire comprendre que c'est avec ce genre de raisonnement que la mer d'Aral est morte (presque). Pourtant l'eau de ces barrages, elle est enlevée à la destination, hein ?
La réponse : "ça na rien à voir". ben, justement, je ne suis pas sûr que ça n'ait rien à voir, je crois qu'on est bien sur le thème "après moi le déluge", je prend mon plaisir à court terme et les conséquences je m'en fous.
C'est une attitude de consommateur non responsable, très très répandue, tu as raison, mais est-ce bien une excuse pour en faire autant ?
quiant à la longévité, Oisif lui-même a déjà expliqué que dans ce genre d'arrachage vous n'avez aucune garantie, bien sûr, mais le vendeur s'en tape. Qui lui ferra un procès dans 5 ans ou 10 ?
Publié : dim. 20 août 2006 17:18
par mogador
ailees a écrit :Tibelge a écrit :ailees, purée c'est quand même grave hein... A voir les arbres proposés ici et là, tout découpés déplumés, je m'en doutais un petit peu mais sans y croire vraiment.
Tiens, un agronome ici m'a dit : mais qu'importe qu'on arrose le maïs en plein jour, puisqu'il y a de l'eau dans les barrages ?
c'est difficile de lui faire comprendre que c'est avec ce genre de raisonnement que la mer d'Aral est morte (presque).
Bon, la mer d´Aral c´est encore autre chose. Les soviétiques ont complètement dévié l´Amou Daria et le Syr Daria, les 2 fleuves qui alimentaient cette mer, dans le désert ouzbèque pour des plantations de cotons hypergourmandes en eau, tout cela associé à un climat extrêmement aride, chaud et ensoleillé.
Même si ton cas du maïs peut parfois être abérrant, cela n´a rien avoir avec les bêtises qu´on peu faire les Soviétiques.
Pour les oliviers, je ne suis pas un ami de ces pratiques, mais il faudrait savoir qu´en Espagne, 1. producteur d´huile d´olive mondial, on est à la surproduction; On reconvertit donc à grande échelle des oliveraies en plantations de tomates sous serre, d´agrumes, de fraises, de melons etc.. il y a trop d´oliviers, donc que faire avec? Jusqu´à une époque récente (avant que le boom de l´olivier ne débute en Europe) ces oliviers arrachés furent tout simplement coupés, sciés et leur bois transformé en saladiers, assiettes etc. ou utilisé à d´autres fins. Moi je préfère que l´on donne à ces oliviers une 2. carrièreces et qu´ils finissent dans un jardin parisien, danois ou polonais qu´en saladier ou figurine pour touristes.
C´est dommage pour le paysage et pour ces arbres magnifiques, mais cela me parait encore la meilleure reconversion.
Le risque est élevé, les coûts aussi, mais c´est la seule possibilité d´avoir un gros olivier, ces pratiques étant interdites en France. Pour tout ce qui n´est pas centenaire, je conseille l´achat d´un olivier de production française, dont on connaît l´origine et la variété (cf. mes pots et ceux d´Oisif en grand nombre).
C´est le résultat d´une agriculture intensive, aujourd´hui à la surproduction.
Cela dit et je l´ai déja répèté à plusieurs reprises, je ne suis pas un partisan des vieux oliviers déterrés. Mais généraliser et penser qu´il ne s´agit que de frime sans vouloir comprendre qu´il y a des gens qui désirent s´évader et avoir leur petit bout de Toscane ou de Provence dans leur jardin, me paraît un peu osé et loin de la réalité.
Salutations
Publié : dim. 20 août 2006 17:23
par mogador
Tibelge a écrit :
Je me demande quelle est la longévité de ces trucs... Ptêt qu'Oisif pourra nous en dire plus, c'est son rayon les oliviers
Bonjour,
Elle n´est pas toujours si réduite que cela. Il y a des cas d´oliviers plantés depuis plus de 20 ans Allemagne, en Suisse, en Autriche qui se portent bien (voir des exemples postés par mes soins avec la fonction "rechercher"). J´ai même entendu parler d´un olivier planté depuis des années dans un jardin au Danemark.
L´olivier est possible en dehors de sa zone de culture, de multiples exemples le prouvent, même s´il y a des risques. Or, ces risques peuvent être réduits en respectant quelques détails.
A+
Publié : dim. 20 août 2006 19:25
par bateson
Sans etre rabat joie je trouve que ceux en photo sont vraiment petits compte tenu de leur prix ! ceux que j'ai vu sont bien plus gros et bien moins chers.
Parfois on peut faire de bonnes affaires lorsque les promoteurs rachetent un champ et revendent les oliviers, pour s'en débarasser, a qui vient les prendre.. c'est rare, mais je perd pas espoir !
Publié : dim. 20 août 2006 19:28
par bateson
Comment savoir l'age de l'olivier ? Il semble que toutes les variétés ne poussent pas a la meme allue, ma mere a ramené un olivier de l'ile d'elbe, en 8 ans il est deja plus gros que les fameux oliviers centenaires, et pourraient etre revendu comme centenaire une fortune, a quelqu'un qui n'y connait rien !
Publié : dim. 20 août 2006 20:08
par christianne
bateson a écrit :Sans etre rabat joie je trouve que ceux en photo sont vraiment petits compte tenu de leur prix ! ceux que j'ai vu sont bien plus gros et bien moins chers.
Parfois on peut faire de bonnes affaires lorsque les promoteurs rachetent un champ et revendent les oliviers, pour s'en débarasser, a qui vient les prendre.. c'est rare, mais je perd pas espoir !
lorsque les promoteurs rachètent un champs par chez ns, ils connaissent parfaitement la valeur d'un olivier centenaire et n'ont aucun mal à s'en "débarrasser", comme tu dis, ils st réservés à l'avance!!
les oliviers de oisifs st bien racinés et les ages honnêtement indiqués, ds le sens où ça correspond à la réalité, ce qui n'est pas toujours le cas.
on a parfois des surprises à la reprise. Il y avait 3 oliviers de 25 ans sur mon terrain ms les arbres autour ayant trop poussé, ils n'avaient plus assez de soleil. J'ai dc proposé à celui qui les avaient plantés de les récupérer. Il les a arraché ds les normes (il a une oliveraie), les a plantés et soignés correctement et 1 des 3 est mort. Si certains oliviers st arrachés récemment, ils semblent en bon état pendant qq temps puis ils meurent sans "raison".
De plus un vrai professionnel ne va pas vendre n'importe quel olivier ms proposera une variété adaptée au terrain. Evidemment, si c'est juste pr faire "provençal", et si la récolte est facultative, n'importe quel sujet bien équilibré et raciné fera l'affaire

Publié : lun. 21 août 2006 7:35
par ailees
mogador a écrit :...ces pratiques étant interdites en France.
et pourquoi c'est interdit en France ? et pourquoi on accepte de laisser faire en Espagne ou en Italie des trucs interdits en France ?
Faut dire que le sud de l'Espagne qui arrache les oliviers pour créer des golfs est en plein dans l'exemple du comportement abérant de la rentabilité à court terme qui va contre la survie à moyen terme.
Que, d'une manière ou d'une autre, on encourrage ça, est totalement abérrant.
Surtout quand on voit que, en France, on remplace dans le sud les vignes par des oliviers ! (j'en ai vu plein entre Toulouse et Montpellier, j'ai été fort étonné).
Mais je sais bien que beaucoup de jardiniers se foutent totalement des discours écologiques, qu'ils considèrent comme du barratin, car
...il y a des gens qui désirent s´évader et avoir leur petit bout de Toscane ou de Provence dans leur jardin.
et qui se foutent totalement du reste, si ça leur permet, à eux, de faire ce qu'ils veulent.
est-ce acceptable ? eh bien tant que ce n'est pas interdit, hein ... il a fallut interdire totalement l'utilisation des désherbants polluant pour que les jardiniers acceptent d'arrêter de s'en servir, pusique ce n'était pas gênant (pour eux, pour leurs allées, et zut aux nappes phréatiques)
C'est pas pire que d'arroser le mais, planter des vignes, mettre du transgénique de plus en plus, élever des poules en batterie par millier et autres activités agricoles rentables à court terme..
tiens l'eau de ma source n'est même pas potable tellement elle contient de nitrates et nitrites.
Faudrait pas que j'essaye de faire du bio, je serais obligé d'arroser avec l'eau de la montagne noire !
Publié : lun. 21 août 2006 10:48
par Tibelge
ailees, en te lisant j'apprends à te connaître et j'aime bien ton petit côté militant :)
L'intervention de Mogador donne une autre éclairage à ces pratiques. Je ne suis pas suffisamment informé pour prendre parti, mais ce qui semble évident c'est le manque de traçabilité... Comment être certain que ces arbres proviennent bien d'une zone où ils seraient de toute façon détruits pour cause de changement de culture? C'est ça la vraie question.
Ceci dit, lorsque je vois la photo postée au début du fil, on peut tout de même être certain que cet arbre n'a pas 100 ans, peut-être 15, 20? Mais guère plus.
Et puis, comment être certain que la variété déracinée en Andalousie résiste aux hivers du nord?
Perso, je préférerais de loin acheter un olivier dont je connais la variété, et dont je suis sûr de la rusticité, par exemple chez Oisif, même s'il n'a que 30 ou 50 ans, sain et bien formé, qu'un fantôme mutilé aux origines inconnues qui risque de choper la verticillose, dont on me dit qu'il a cent ans (le bel argument!).
Voilà, merci à tous de m'avoir permis de me faire mon opinion!
Tibelge
Publié : lun. 21 août 2006 11:17
par ailees
très belle synthèse, je signe aussi.
Publié : lun. 21 août 2006 11:31
par mogador
@ailees
OK, c´est bien gentil et très "politiquement correct" d´avoir cet opinion et je la partage même.. sauf que dans ce cas cela passe un peu à côté de la réalité.
En plus, ton argumentation simplifie, généralise et ne tient pas compte de faits majeurs dans cette question et est partiellement fausse. Tu devrais donc mieux connaître le(s) contexte(s).
A) Je l´ai déja expliqué, la gros des oliveraies abandonnées et arrachées fait place à d´autres monocultures et non à des golfs. Les golfs, c´est encore autre chose, ce sont souvent des espaces boisés qui sont sacrifiés. La plupart des golfs sont dans les régions touristiques (côtières et proches des côtes, près de quelques villes touristiques à l´intérieur), mais rarement dans les régions agricoles. Cela est dû au fait que les oliveraies qui s´étendent à perte de vue dans l´intérieur du pays ne sont souvent plus rentables (surproduction en Espagne et légère surproduction mondiale). L´Espagne n´arrive plus à écouler la totalité de sa production d´huile.
B) La comparaison avec la France ne tient pas la route: tu nommes l´exemple des vignes, mais c´est éxactement la même chose: on arrache des vignes (d´ailleurs souvent détruites) pour y planter d´autres monocultures qui ont de meilleurs débouchés, en l´occurence surtout des fruitiers (pêchers, abricotiers, nectariniers, poiriers etc.) et, dans de rares cas, des oliviers. Et pourquoi? Parce que le secteur viticole en France est en crise, le vin de chez nous se vend moins bien (sauf les grands crus) et on arrache... D´ailleurs l´Afidol recommande la prudence si l´on désire planter des oliviers de production, car le marché de l´huile est très difficile, même si la France a sa (petite) place dans le secteur haut de gamme. Mais elle écoule tout juste sa production, donc pas un remplacement à grande échelle des vignes abandonnées par des oliveraies. La France veut augmenter graduellement, mais prudemment sa production, en fonction du développement du marché et de la politique communautaire et la partie n´est pas encore gagnée.
L´Espagne a fait la même erreur dans l´oléiculture que la France dans certaines régions viticoles: on a privilégié la quantité plutôt que la qualité, mais le marché n´a pas suivi: de plus en plus de consommateurs veulent du vin et de l´huile de qualité.
C) Encore une fois: cela fait une bonne dizaine d´années ou plus que l´on arrache des oliviers en Espagne, même avant que cet engouement européen n´apparaisse.. Avant, on en faisait du bois et toutes sortes d´objets. Aujourd´hui on renvend les oliviers pour lesquels il y a un marché à l´étranger. Je préfère un olivier espagnol de 50 ou 100 ans dans un jardin danois qu´en saladier.
Cela dit, je ne défend pas ce business et encore moins la manière dont il est pratiqué, encore moins les méthodes parfois douteuses (souci de rentabilité). Donc je comprends que l´on ne veut pas soutenir ce secteur devenu une industrie (d´ailleurs le risque de se faire arnaquer est réel, beaucoup des oliviers dits centenaires ne sont parfois qu´une grosse branche que l´on a "bouturé" à l´aide de produits chimiques). Mais il y a des bêtes noires partout et le risque que l´on perde l´arbre est réel. Mieux vaut opter pour un abre de chez nous qui est commercialisé de manière honnête et mieux adapté au froid, même si les spécimens âgés sont presque introuvables en pépinière.
Or cela n´a rien avoir avec l´abandon et l´arrachage d´oliveraies en général qui est dû à la surproduction et à la faible rentabilité.
Salutations
Publié : lun. 21 août 2006 11:41
par mogador
Tibelge a écrit :
Et puis, comment être certain que la variété déracinée en Andalousie résiste aux hivers du nord?
Perso, je préférerais de loin acheter un olivier dont je connais la variété, et dont je suis sûr de la rusticité, par exemple chez Oisif, même s'il n'a que 30 ou 50 ans, sain et bien formé, qu'un fantôme mutilé aux origines inconnues qui risque de choper la verticillose, dont on me dit qu'il a cent ans (le bel argument!).
Voilà, merci à tous de m'avoir permis de me faire mon opinion!
Tibelge
Ça, je le signe.
Les variétés, j´en ai écrit une pléthore de posts avec Oisif dans ce forum. Il est clair que certaines variétés de Provence (ex. Aglandau) ou d´Italie du nord et centrale (ex. Frantoio, Cipressino) sont mieux adaptées à être plantées un peu plus au nord.
Les oliviers dont tu parles ne me paraissent pas centenaires. De plus, on limite à un max le volume de l´abre (et de ses racines) pour en charger le plus possible sur les camions. Un pourcentage non négligeable des arbres meurt. C´est ce que voulais dire par "pratiques douteuses" dans mon auter post ci-dessus.
Mais de toute façon l´arrachage d´oliveraies en Espagne n´est pas à arrêter et je préfère que l´on donne une deuxième carrière (d´arbre ornemental) à un olivier plutôt que de le détruire, même si cela fait gagner du frique à pas mal de monde.
A+
Re: Le prix d'un olivier ?
Publié : lun. 21 août 2006 12:24
par mogador
bateson a écrit :Salut a tous,
Je cherche a acheter un bel olivier centenaire (un joli cadeau que je me fais

) mais voila je me heurte a des prix aussi différents que variés.
Ca va de 250 à 700€ pour des oliviers que je trouve similaire. Tous sont énormément taillés, ce que je trouve dommage : un tronc épais et puis un petit bouquet... Est ce qu'ils repartent bien ???
Sinon je suppose que je choisis le moins cher... Mais pourquoi de telles différences de prix ?
Bonjour,
Au lieu d´aller voir dans une pépinière avec des arbres de qualité et d´origine parfois douteuse et de rusticité moindre, je te conseille de parcourir régulièrement les annonces sur le forum de l´afidol. Des particuliers en France qui restructurent leur olivette ou construisent sur leur terrain y vendent souvent à l´unité leurs oliviers déja plantés depuis 50 ans voir plus, souvent pour bien moins cher que les prix que tu cites.
http://www.afidol.org/forum/viewforum.php?f=9
voir aussi:
setopic_42910-olivier.html
Cdlt
Mike
Publié : lun. 21 août 2006 17:02
par Invité
zzz
Comment ça se fait
Publié : lun. 21 août 2006 17:06
par Invité
zzzzzzzz
A bateson
Publié : lun. 21 août 2006 17:10
par Invité
zzzzzzzzzzzz
Publié : lun. 21 août 2006 17:11
par christianne
[quote="ailees"][quote="mogador"]...Surtout quand on voit que, en France, on remplace dans le sud les vignes par des oliviers ! (j'en ai vu plein entre Toulouse et Montpellier, j'ai été fort étonné).
![/quote]
Les vignes st arrachées suite à la crise de la filière viticole depuis qu'on souffle souvent ds le ballon et que l'alcool est mal vu!
la plantation d'oliviers par des producteurs correspond à une réalité économique, à savoir la grosse demande sur l'huile d'olive.

Publié : lun. 21 août 2006 17:12
par Invité
zzzzzzzz