
Bonjour Grenouille68 et bonjour tout le monde
J’ai visité le site du BRF.
Je suis déjà conquis par ces techniques.
Mais il me faut le temps de digérer tout cela
En attendant voici quelques unes de mes pratiques.
Je possède un broyeur Bosch.
Je remarque qu’il ne broie que des branchages assez durs (Elagage des bouleaux par exemple)
J’en ai une quinzaine. .
Les résidus de la taille des haies ne passe pas et encrasse la vis sans fin.
Pour me débarrasser de ces résidus je passe dessus avec une vieille tondeuse déclassée.
Pas celle pour la pelouse (Cela va de soit).
Casque, lunettes et bottes hautement recommandées.
Opérations toujours dangereuses.
Vacarme et bruits inquiétants ,mais efficacité redoutable .
Opération très rapide.
Récupération d’un compost très fin mêlé de tonte de gazon qui s’échauffe très rapidement et se décompose très vite.
1 an quand même.
(il parait qu’il y a des composts qui se décomposent en 2 ou 3 mois)
je fabrique ainsi un compost de feuilles (beaucoup d’arbres), de tontes de gazon et de tontes de haies.
J’ai un autre tas pour le potager et les autres déchets.
Même les coupes de thuyas y passent.
Après 2 ou 3 passages (A cause des épines) je broie les coupes de rosiers.
J’ai 170 mètres de haies à tailler des 2 cotés.
Dans la région les municipalités ont interdit tout feu ouvert. (C’est une bonne chose)
Je broie ainsi sur place les fanes sèches de pomme de terre, les feuilles et tiges de haricot séchées (compostage sur place).
La lame est costaud. Elle peut couper un doigt .Endommager durablement un pied ou une main.
En usage normal une tondeuse broie assez souvent de petits silex.
Encore une fois n’utiliser qu’un matériel en fin de vie pour cette opération.
Ce serait dommage d’user prématurément une nouvelle tondeuse.
Dans ce cas autant investir dans un broyeur haut de gamme mais évidemment beaucoup plus cher.
Et j’utilise aussi les écorces de pins pour certaines plates-bandes (C’était le but de ce post , mais on est toujours dans le sujet).
J’utilise aussi et récemment de la paillette de lin .
J’emploie aussi du fumier de cheval en sac (Pas le cheval dans le sac) et de l’or brun .
Mais là ce sont plutôt des engrais.
Et de la terre de bruyères.
Chez nous le fumier est devenu très rare (De très grandes fermes mais toutes céréalières).
Ainsi je pense avoir fait le tour de ma manière de faire.
Mais je ne demande qu’à évoluer vers de nouvelles techniques pourvu qu’elles respectent l’environnement, selon la formule consacrée.
Sinon je ne vois pas ce que je viendrai faire sur ce Forum.
C’est peut-être un peu long, mais on est là pour causer tout de même.
Bonne journée à tous.
