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pucerons sur les rosiers...
Publié : lun. 24 sept. 2007 22:52
par slide21
J'ai vu dans une émission de M6 (je sais plus laquelle désolé) que pour éliminer les pucerons des rosiers (ce qui est mon cas)... il faut mettre une ou deux gousse d'ail dans la terre au pied du rosier...
Est ce que quelqu'un peut me confirmer cette information ou me l'infirmer ?
Merci
Publié : ven. 28 sept. 2007 23:39
par hypolimnas
Les pucerons n'aiment pas l'odeur de l'Ail,en purin ça marche tres bien,ensuite,au pied,je ne sais pas,à essayer,ça ne coute pas grand chose

Publié : sam. 29 sept. 2007 9:26
par thibaud
ça pourrais peut être fonctionner effectivement.
les jours de chaleur, l'ail dégage une odeur qui pourrait repousser les pucerons.

Publié : sam. 29 sept. 2007 17:05
par carembole
effectivement, l'ail, ils n'aiment pas. mais en infusion ou en purin, je pense que c'est plus efficace.
Sinon le savon noir ça marche aussi
Publié : lun. 01 oct. 2007 13:41
par Léontine
Tant mieux si ça marche, mais de toutes façons, dans un jardin sans chimie, les invasions de pucerons ne durent pas, surtout sur les rosiers. Et quand bien même ils s'inscrusteraient un peu, il suffit de passer la main sur les rameaux les plus atteints pour les faire tomber. On peut aussi faire ça au jet d'eau.
Publié : lun. 01 oct. 2007 15:27
par lasorcieredu35
une petite question de grande débutante !!!
comment on prépare un purin ???

Publié : lun. 01 oct. 2007 15:41
par Captain Igloo
Léontine a écrit :Tant mieux si ça marche, mais de toutes façons, dans un jardin sans chimie, les invasions de pucerons ne durent pas, surtout sur les rosiers..
Ah? tu es certaine?

celà infirmerait beaucoup d'histoires que nous rapportent l'Histoire et surtout les Anciens...
J'ai dans ma bibilio des bouquins de fin des années 1800... sans pesticides à l"époque... et pourtant , comme la Terre qui tourne , les pucerons étaient bien là.....

Publié : lun. 01 oct. 2007 17:07
par appius
lasorcieredu35 a écrit :une petite question de grande débutante !!!
comment on prépare un purin ???

avec l'ail, on ne fait pas à proprement parler un purin, mais plutôt une macération huileuse.
100 gr haché dans 2 cuillères à soupe d'huile pendant 12 heures
filtrer en ajoutant un litre d'eau ( de pluie de préférence)
attendre une semaine.
pulvériser dilué à 5% contre pucerons et acariens.
Plus rapide (mais est-ce aussi efficace?) :
décoctions de fleurs de tanaisie (facile à trouver en ce moment dans les champs en friche, penser à en mettre de coté pour l'an prochain)
elà infirmerait beaucoup d'histoires que nous rapportent l'Histoire et surtout les Anciens...
J'ai dans ma bibilio des bouquins de fin des années 1800... sans pesticides à l"époque... et pourtant , comme la Terre qui tourne , les pucerons étaient bien là.....
A l'origine, chacun à son prédateur sur cette planète.
Dans un jardin assez grand avec, très important, une grande variétés de plantes qui sont autant de nichoirs possibles, des pucerons présents chaque année (qui ne sont jamais éradiqués), et des voisins pas trop nerveux sur la gâchette à pesticides, on est assuré d'avoir toujours des prédateurs pour ses pucerons. On ne traite alors que les plants trop menacés.
Evidemment que les pucerons étaient toujours là à l'époque de tes bouquins. sinon, comment leur prédateurs auraient survécus??
BIO-LOGIQUE , captain, BIO-LOGIQUE!
Publié : lun. 01 oct. 2007 18:57
par Léontine
Captain Igloo a écrit :Ah? tu es certaine?

celà infirmerait beaucoup d'histoires que nous rapportent l'Histoire et surtout les Anciens...
C'est ce que j'ai constaté non seulement dans mes jardins successifs, mais chez ceux d'ami(e)s qui ne traitent jamais eux non plus.
Captain Igloo a écrit :J'ai dans ma bibilio des bouquins de fin des années 1800... sans pesticides à l"époque... et pourtant , comme la Terre qui tourne , les pucerons étaient bien là.....

Sûr qu'ils étaient là, mais leurs prédateurs aussi.
Quoique, puisque tu sembles versé en histoire, tu dois savoir qu'on utilise depuis le XVIe siècle des pesticides à base d'arsenic (et ça ne s'est pas arrangé par la suite, cf le site) :
http://www.docteurdoc.fr/article.php3?id_article=19
Publié : mar. 02 oct. 2007 9:50
par capucined'Alsace
Je confirme ce que dit Léontine , les pucerons je ne lutte jamais contre non plus , et ça reste très limité , ce n'est jamais une invasion.
J'ai une bordure de capucines , au printemps il y avait quelques feuilles couvertes de pucerons , quand les feuilles sont trop moches à force d'etre sucées , je les enlève mais sinon je fais rien .
Eh bien de tout l'été , j'en avais plus un seul , nickel !
La nature se débrouille très bien toute seule .
Mais là , je parle d'un petit jardin d'ornement , pas de cultures qui seraient mon gagne-pain , je comprends bien que pour les agriculteurs , les choses sont beaucoup plus compliquées
Pourtant certaines choses me choquent : quand je vois par exemple que dans le champs derrière chez moi , cinq années de suite on plante du maïs abreuvé à coup de je ne sais quoi!
Que reste -il de vie dans cette terre ?
Ou que tous les bosquets disparaissent les uns après les autres pour que surtout ça ne gène pas le sacro saint maïs , mais est ce qu'ils réfléchissent aux conséquences , au vent qui augmente d'année en année , à l'érosion etc...
Avant ,les paysans étaient les" conservateurs du patrimoine " de la campagne , maintenant , c'est à se demander pour certains si l'amour de leur terre existe encore
Je ne veux pas généraliser ni juger , je comprends leurs difficultés mais la prise de conscience devient urgente , c'est l'affaire de tous et les choses doivent changer (mais d'ici que les vrais décisionnaires bougent ...)
Publié : mar. 02 oct. 2007 11:09
par Captain Igloo
Léontine a écrit :Captain Igloo a écrit :Ah? tu es certaine?

celà infirmerait beaucoup d'histoires que nous rapportent l'Histoire et surtout les Anciens...
C'est ce que j'ai constaté non seulement dans mes jardins successifs, mais chez ceux d'ami(e)s qui ne traitent jamais eux non plus.
Captain Igloo a écrit :J'ai dans ma bibilio des bouquins de fin des années 1800... sans pesticides à l"époque... et pourtant , comme la Terre qui tourne , les pucerons étaient bien là.....

Sûr qu'ils étaient là, mais leurs prédateurs aussi.
Quoique, puisque tu sembles versé en histoire, tu dois savoir qu'on utilise depuis le XVIe siècle des pesticides à base d'arsenic (et ça ne s'est pas arrangé par la suite, cf le site) :
http://www.docteurdoc.fr/article.php3?id_article=19
Bonjour Léontine
Ce n'est pas tout à fait ce que tu disais dans le message qui me faisait réagir
Bien sûr qu'il y avait déjà des "pesticides".... mais à une échelle très modeste. La bouillie bordelaise est utilisée depuis très longtemps. Et pourtant les prédateurs existaient... les cultures étaient on ne peut plus bio.
Bref, tout ce que je veux dire c'est qu'il convient de rester LOGIQUE

(merci Appius de me le rappeler

) et de ne pas idéaliser plus que de raison.
Dois-je le rappeler? je cultive bio. Et c'est aussi pourquoi on ne doit pas verser dans l'angélisme, mais rester réaliste et logique
Pour en revenir à cette année "horribilis"... Polo qui est un pro de la profession a parlé à de nombreuses reprises de la culture des pdt cette année.Et oui, il convenait de traiter plus que d'habitude ou de ne rien récolter. Que ce soit en bio ou en traditionnelle.
Publié : mar. 02 oct. 2007 11:24
par Léontine
Captain Igloo a écrit :
Dois-je le rappeler? je cultive bio. Et c'est aussi pourquoi on ne doit pas verser dans l'angélisme, mais rester réaliste et logique
Pour en revenir à cette année "horribilis"... Polo qui est un pro de la profession a parlé à de nombreuses reprises de la culture des pdt cette année.Et oui, il convenait de traiter plus que d'habitude ou de ne rien récolter. Que ce soit en bio ou en traditionnelle.
Ben tu sais, c'est cette année qu'on a fait la plus belle récolte de pommes de terre, et ce, avec juste un passage de bb très dilué... et dont, a posteriori, je vois qu'on aurait pu se passer : le mildiou, quand il s'est décidé à apparaître, l'a fait en gros quand on a attaqué la récolte, alors que les tomates étaient bouffées par le mildiou depuis bien longtemps.
Puisque tu es en bio, je pense que tu es d'accord avec moi : plus on traite, plus il faut traiter, moins on traite, moins il faut traiter. Il m'est arrivé exceptionnellement d'intervenir à la roténone sur un Elaeagnus multiflora récemment planté sur lequel s'étaient rués une tripotée de pucerons. Avec le recul, je me dis qu'un traitement au savon aurait fait pareil et moins toxique. Sur des rosiers, sincèrement, je n'ai jamais vu de cas qui nécessite autre chose qu'un coup de jet d'eau, qu'un essuyage à la main, ou, le plus souvent, rien du tout.
Publié : mar. 02 oct. 2007 11:46
par appius
A propos de puceron, j'ai vu une colonie entière disparaître en quelques jours, vraisemblablement bouffée la nuit par des perce-oreilles...
A propos de tomates, je sais pas ou vous en êtes, mais les miennes ont survécu à la 2me vague de la fin aout. Plus d'une semaine de pluies continues qui empêchaient de pulvériser quoique ce soit. Le mildiou a fini par réapparaitre partout, mais à force de tisanes et macérations, je l'ai contenu et je n'ai perdu aucun pied (mon voisin à d'abord tout bleuit puis finalement tout arraché 3 jours après!). J'ai perdu des tomates (de une ou deux à 50% selon les pieds) mais plus de mildiou et je récolte les survivantes doucement en ce moment (pas extraordinaires d'ailleurs, trop de flotte, pas assez de soleil).
Publié : mar. 02 oct. 2007 12:57
par Léontine
appius a écrit :A propos de tomates, je sais pas ou vous en êtes, mais les miennes ont survécu à la 2me vague de la fin aout. Plus d'une semaine de pluies continues qui empêchaient de pulvériser quoique ce soit. Le mildiou a fini par réapparaitre partout, mais à force de tisanes et macérations, je l'ai contenu et je n'ai perdu aucun pied (mon voisin à d'abord tout bleuit puis finalement tout arraché 3 jours après!). J'ai perdu des tomates (de une ou deux à 50% selon les pieds) mais plus de mildiou et je récolte les survivantes doucement en ce moment (pas extraordinaires d'ailleurs, trop de flotte, pas assez de soleil).
Pas mal du tout ! Ici on a eu pas mal de tomates en juillet-août, mais elles se conservaient mal et on en a jeté. Parmi les grosses tomates, les Ananas orange ont bien tenu le choc et quelques cornues ont survécu. Mais au total, seules les petites tomates-poires ('Red Pear') ont produit à profusion. Même les Tigerella, plutôt solides et prolifiques, n'ont pas fait de miracles. A l'heure actuelle, il ne reste que des tomates-poires, et que ça.
Publié : mar. 02 oct. 2007 13:31
par Captain Igloo
Moins on traite et moins il faut traiter et inversément? ben, c'est une démonstration plutôt bizarre
Si je ne traite pas et que je n'ai rien... on peut toujours dire que si on avait traiter ce serait pire

et inversement etc
Ce que je veux dire en rappelant de temps à autre que je cultive bio , c'est que celà devrait signifier que l'on doit malgré tout et toujours avoir un jugement impartial. Je sais que ce n'est pas toujours facile, c'est un peu l'histoire du pêcheur qui ne veut pas avouer qu'il peut rentrer bredouille
Tu dis n'avoir jamais eu une si belle récolte de pdt? je crois que tu n'habites pas une région traditionnelle vouée à la culture de la pdt?
Pour les tomates. J'ai déjà dis que cette année pour la première fois depuis que je jardine la tomate sous verre, j'ai eu une vigoureuse attaque de mildiou. Un traitement. c'est possible que si je n'avais rien fais etc. C'est probable que que si je n'avais rien fais etc. Là on tire des plans sur la comète. Je me souviens l'année dernière, été pourri également, Evelien , une ancienne du forum, très bio,et très tomate, avait vu toute sa culture décimée. Je n'ai pas voulu prendre le risque, j'ai traité une fois. Quelques plants sont restés malades, les autres ont survécu. Maintenant, j'ai encore des tomates, mais le manque de soleil et de lumière fait aussi des ravages. C'est la fin, je vais tout arracher.
Il y a encore des plants très malades, d'autres font de nouvelles pousses indemnes.
Notre ami Aygues (je crois) nous a bien expliqué le mode de propagation du mildiou. Celà doit expliquer ceci.
Voilà mon expérience perso quant aux tomates.
Mildiou des pdt? l'attaque fut tardive et sans trop de conséquence. A noter que jusque présent je n'ai JAMAIS traité contre le mildiou des pdt et je n'avais jamais eu de dégats. Donc celà ne prouve rien.

Publié : mar. 02 oct. 2007 14:11
par lasorcieredu35
merci de ta réponse appius

Publié : mar. 02 oct. 2007 15:38
par Léontine
Captain Igloo a écrit :Moins on traite et moins il faut traiter et inversément? ben, c'est une démonstration plutôt bizarre
Si je ne traite pas et que je n'ai rien... on peut toujours dire que si on avait traiter ce serait pire

et inversement etc
Bien sûr : plus tu traites, plus tu dois traiter, et ce pour 2 raisons principales :
- tout traitement induit un déséquilibre : en flinguant les pucerons, tu as de bonnes chances de flinguer leurs prédateurs (c'est un exemple).
- traiter provoque des résistances, donc il faut des produits toujours plus costauds, c'est la fuite en avant.
Captain Igloo a écrit :Ce que je veux dire en rappelant de temps à autre que je cultive bio , c'est que celà devrait signifier que l'on doit malgré tout et toujours avoir un jugement impartial. Je sais que ce n'est pas toujours facile, c'est un peu l'histoire du pêcheur qui ne veut pas avouer qu'il peut rentrer bredouille
Ben je comprends pas : je ne me vante pas, je dis bien que cette année les tomates ont été assez minables, par exemple.
Captain Igloo a écrit :Tu dis n'avoir jamais eu une si belle récolte de pdt? je crois que tu n'habites pas une région traditionnelle vouée à la culture de la pdt?
Tout à fait, c'est une région à vignes. Toutes les autres années, il a fait trop chaud et trop sec. On a eu des pommes de terre, mais plus petites et moins.
Captain Igloo a écrit :Pour les tomates. J'ai déjà dis que cette année pour la première fois depuis que je jardine la tomate sous verre, j'ai eu une vigoureuse attaque de mildiou. Un traitement. c'est possible que si je n'avais rien fais etc. C'est probable que que si je n'avais rien fais etc. Là on tire des plans sur la comète. Je me souviens l'année dernière, été pourri également, Evelien , une ancienne du forum, très bio,et très tomate, avait vu toute sa culture décimée. Je n'ai pas voulu prendre le risque, j'ai traité une fois. Quelques plants sont restés malades, les autres ont survécu. Maintenant, j'ai encore des tomates, mais le manque de soleil et de lumière fait aussi des ravages. C'est la fin, je vais tout arracher.
Il y a encore des plants très malades, d'autres font de nouvelles pousses indemnes.
Notre ami Aygues (je crois) nous a bien expliqué le mode de propagation du mildiou. Celà doit expliquer ceci.
Voilà mon expérience perso quant aux tomates.
Habituellement, nous ne traitons jamais les tomates, et nous croulons sous la récolte (étés habituellement très secs -> pas de mildiou). Cette année, nous avons passé 2 ou 3 fois de la bb, mais je ne sais pas si le résultat aurait été différent sans traitements car la bb n'est efficace qu'en préventif et très peu en curatif.
Captain Igloo a écrit :Mildiou des pdt? l'attaque fut tardive et sans trop de conséquence. A noter que jusque présent je n'ai JAMAIS traité contre le mildiou des pdt et je n'avais jamais eu de dégats. Donc celà ne prouve rien.

Tout à fait. En plus, nous avions choisi des Charlotte qui sont assez résistantes au mildiou.
Publié : mar. 02 oct. 2007 19:48
par carembole
Bien sûr : plus tu traites, plus tu dois traiter, et ce pour 2 raisons principales :
- tout traitement induit un déséquilibre : en flinguant les pucerons, tu as de bonnes chances de flinguer leurs prédateurs (c'est un exemple).
- traiter provoque des résistances, donc il faut des produits toujours plus costauds, c'est la fuite en avant.
completement d'accord avec le premier point.
le deuxieme cependant est une erreur. ce ne sont pas des produits plus costauds mais différents que l'on utilise lorsqu'un résistant apparait.
chaque substance active a un mode d'action bien particulier, et quand une résistance apparait, on peut toujours essayer de concertrer le merdier, ça ne fera pas avancer le schmilblik! Donc on cherche continuellement de nouvelles molécules.
J'ai visité Bayer l'an dernier, c'est fou! ils font des réactions presque au pif et puis après ils obtiennent des centaines de molécules. apres ils les testent pour l'efficacité, puis pour la toxicité (enfin, c'est en abrégé la hein, ça leur prend 10 ans pour sortir un produit alors bon).
Enfin, tout ça pour dire que l'apparition de résistants est un problème pour les agriculteurs qui traitent (eh oui, qui n'alterne pas les traitements peut se retrouver obligé de ne plus traiter du tout finalement si aucune autre molécule n'existe! ça arrive parfois) mais ce n'est pas un problème environnemental important. le problème peut éventuellement etre l'ignorance des gens qui essaient de tout bousiller quand meme en concentrant le produit (

)
Enfin quand meme, pour avoir des apparitions de résistances il faut avoir la main lourde sur le chimique... a part les champignons qui évoluent tres vite, avoir une herbe résistante par exemple, ça montre que les traitement sons non seulement fréquents mais en plus très mal réfléchis!!!
Publié : mer. 03 oct. 2007 15:21
par thibaud
Bien sûr : plus tu traites, plus tu dois traiter, et ce pour 2 raisons principales :
- tout traitement induit un déséquilibre : en flinguant les pucerons, tu as de bonnes chances de flinguer leurs prédateurs (c'est un exemple).
- traiter provoque des résistances, donc il faut des produits toujours plus costauds, c'est la fuite en avant.
oui c'est vrai!
lorsque mon père traitait avant, il y avait des pucerons sur les haricots!
on n'en a plus jamais maintenant!
par contre mon oncle qui est a font dans...........le chimique, lui en ai envahit!!
il a même arraché les pieds de haricots a cause de ça!!

Publié : mer. 03 oct. 2007 21:10
par stephp57
bonsoir,
L'ail a sans doute un effet repulsif contre les pucerons mais également sur les autres insectes. Pour ce qui est des rosiers, l'abandon de tout traitement permet de maintenir un biodiversité chez les insectes. On compte environ 18 insectes prédateurs(contre le pucerons :larve de coccinelles larve de chrysope larve de syrphe perce oreille etc) pour un insecte ravageur.Profitons des atouts de la nature et laissons faire les prédateurs. Quand vous traiter vos rosiers vous faites fuir tous les insectes et ce sont toujours les ravageurs qui reviennent en premier. C'est sans fin.Je fais l'expérience depuis 5 ans et cela fonctionne trés bien. En l'espace de 15 jours la populations de pucerons diminue de 90%.
a bientôt
Publié : jeu. 04 oct. 2007 7:48
par FAREWELL
Bonjour et bienvenue Stephp57
Ok pour votre méthode..
J'essaierais de mettre en pratique.
@+