Salut
J'ai lu la page
http://www.cactus-sante.com/LES_CACTUS/ ... naire.html et en voilà deux extraits.
Le cereus peruvianus, cactus d'Amérique Centrale du Sud à démontré à plusieurs reprises qu'il corrige les modifications entraînées par les radiations électromagnétiques. Les grands spécimens de l'authentique cactus »Candélabre » des déserts mexicains s'élogent à plus de 15 mètres de hauteur sur les alentours des réseaux appelés Hartmann. Ces murs verticaux de radiations qui surgissent de la terre.
Ce bénéfice végétal rétablit les modifications de l'atmosphère qui sont provoquées par la contamination électromagnétique.
[...]
La mesure réalisée par le biomètre de Bovis (physicien français qui à formulé ses mesures en Anstrons, une longitude d'onde de 10 millionièmes de millimètres) nous révèle que lorsque par exemple dans un local sain il y'à une vibration de 8000 unités Bovis, dès que le téléviseur ou l'écran d'ordinateur se connecte , la valeur tombe à 3000 unités. De ce fait nous perdons de l'énergie ( la vibration normale d'une personne est de 6500 unités Bovis) La mise en place du cactus rétablit donc l'équilibre à 8000 unités Bovis.
Dans le style "suite humoristique de mots à consonance scientifique" (parsemée ici de références à des organismes sérieux comme l'OMS), je préfère Pierre Dac et le
Biglotron, là c'est du grand art.
Le grand Pierre Dac a écrit :
Dernier-né de la technique expérimentale d'expression scientifique d'avant-garde, le Biglotron est un extraordinaire appareil de synthèse dont la conception révolutionnaire bouleverse de fond en comble toutes les lois communément admises, tant dans le domaine de la physique thermonucléaire que dans celui de la gynécologie dans l'espace.
Entièrement réalisé en matière agnostique, autrement dit, pour éclairer le profane, en roubélure de plastronium salygovalent, il se présente sous la forme néo-classique d'un tripottsolipède rectangle, c'est-à-dire d'un ictère octopolygonal à incidence ipso-facto-verso-rectométrique.
Tel qu'il est, le Biglotron se compose, ou plus exactement se décompose en trois circuits principaux dont deux secondaires et un complémentaire et dont voici, par ordre d'entrée en action, le processus fonctionnel de sa posologie fondamentale :
Tout d'abord, dans le premier circuit, on distingue le Clebstroïde qui, isolé du P.X. de l'intrmudon par une armature en fignabulose ignifuge, agit, par capillarité médullaire, sur le fiduseur de télédéconométrie différée, lequel, en vertu du phénomène d'osmose ondulatoire érigé en principe par le célèbre physicien Jean-Marie Meszke-Lavoulvoule, catalyse en quelque sorte, le Schpoutzmühl de dérivation qui, par voie de conséquence, se trouve entraîné par le brigmuch michazérospiroïdal en direction de la zone d'influence de la boustife de relevailles dont le tuyau d'argougnaphonie spéculaire libère un certain volume de Laplaxmol, lequel, comme chacun le sait, n'est autre qu'un combiné de smimuphre à l'état pur et de trouduchium filtrant sulsiforé.
Dans le deuxième circuit, le même mouvement s'opère, mais en sens inverse ; il est donc inutile d'en parler, même à voix basse, d'autant que c'est dans son troisième circuit que se trouvent étroitement conjugués les éléments majeurs de vérité parmi lesquels le schptzmocl rotatif à crémaillère alternative dont le rôle de générateur permanent d'énergie est prépondérant puisque par le simple truchement de son induit de giclée, il polypophéripotéise littéralement le filtre à moléculbutant, lequel, en dernière analyse, détermine l'angle orbiculaire et synochoïdal du foutaisiogognomètre à spirale introputréfactionnelle.
C'est à ce moment que se déclenche - sauf les dimanches et jours de fêtes - le bobinaromètre de diversion qui, par le seul jeu de ses trois Pétassapiflon et de ses deux Poufiassatarif active l'alimentation pruritaire de l'eczématofil de rupture, ce qui permet d'assurer la selfsaturation plurilatérale de l'hufnuf à tête chercheuse et d'empêcher, par ailleurs, la formation de cristaux de niortiflore de barzanoufle sur les parois tubulaires des pepsoïdaux caltinomalfoireux, c'est-à-dire de neutraliser le calcifrage, le redoutable calcifrage, toujours à craindre à cette période par suite du passage du flagdazmühl dans le calcif du propentaire de nartification.
Parallélement enfin, le flugdug - le flugdug métranoclapsoïdique, naturellement - autrement ça n'aurait aucun sens - le flugdug donc, prenant appui sur la muffée d'allergie du connecteur à rustine de distorsion hémorroïdo-statique, canalise, d'une part, l'afflux des particules hypodméfessaloïdes et de l'autre, le reflux indexé des molécules hypersonfrocoïdaux, d'où élimination positive de toute interférence parasitaire puisque l'ensemble de la vélomation des circuits est, en dernier ressort, simultanément contrôlé par l"amplificateur de roupane et par l'utilisation rationnelle, dans la bélure paphamotrice de la force extra-phalzaroïdique, laquelle comme nul ne l'ignore, est proportionnelle au carré des ondes talerdinconcentriques.
Tel est, dans ses lignes essentielles, le Biglotron, que les plus hautes autorités internationales s'accordent à reconnaître comme la plus étonnate découverte de notre temps et qui, dans un avenir d'autant plus proche qu'il sera moins éloigné, est appelé non seulement à servir à tout, ce qui est la moindre des choses, mais encore et surtout à n'importe quoi, y compris tout ce qui en découle, sans préjudice du reste et de tout ce qui s'ensuit.
Si un végétal peut absorber des produits volatiles comme les divers solvants contenus dans un ordinateur ou une tv qui chauffent et émettent donc dans l'air des molécules diverses (dont celles contenues dans les produits retardant le feu) jamais un cactus posé à côté d'un écran ne pourra en absorber les ondes, sinon, on ne verrait rien à l'écran !
On a aussi
ce texte.
Lionnel
Et pardon pour ceux qui n'aiment pas l'humour, mon message est long.