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Utilisation fumier de cheval sec (+ 1an)
Publié : lun. 17 mars 2008 9:57
par Sthubert13210
Nous utilisons pour la 1er fois du fumier de cheval de + de 1 an et nous souhaitons des conseils sur son utilisation :
-Olivier sur une surface de 1,5m autour nous avons étalé 50% de fumier et 50% de composte mélangé. Est ce bien? et surtout pas execif au risque d'avoir un effet inverse?
-Massif nous avons étalé en surface toujour un mélange de composte et de fumier sur 2 à 3 cm d'épaisseur. Est-ce bien? et surtout pas execif au risque d'avoir un effet inverse?
Merci pour vos réponses.
Amicalement
Sthubert13210
Re: Utilisation fumier de cheval sec (+ 1an)
Publié : lun. 17 mars 2008 13:26
par appius
Ce fumier sec, il a été composté avant, ou c'est juste un fumier séché? on distingue encore la paille ou c'est une masse homogène ressemblant à un terreau?
Pour le massif, ça me parait correct. De toute façon, le fait de le mettre en surface protège les plantes d'éventuelles brulures en laissant le soin à la nature de l'incorporer doucement. En plus, ça fera une espèce de paillis pas inutile pour contrôler les mauvaises herbes et limiter l'évaporation cet été.
On ne sait pas combien vous en avez mis exactement à votre olivier...
Mais il me semble (à confirmer) que les oliviers ne doivent pas être beaucoup fertilisés.
Utilisation du fumier de cheval (suit)
Publié : lun. 17 mars 2008 14:49
par Sthubert13210
Merci la pour la réponse.
Le fumier a comme apparence : de la paille et quelques parties encore agglomérée. Il a été mélangé juste avant d'être étalé avec le composte. Il n'a donc pas l'aspect ou la consistance du terreau mais plutôt de la paille concassée.
Amicalement, et merci pour le retour.
Concernant les olives ils ont besoin d'engrais que l'on épand durant l'hiver et durant l'été. Le fumier selon les "spécialiste" remplace l'engrais d'hiver.
Publié : lun. 17 mars 2008 14:59
par appius
Il semble bien que ton fumier n'a été que séché, pas affiné, composté, comme il est souhaitable. Mieux vaut donc garder les racines à l'écart de son contact et laisser la nature se charger de le dégrader et de le distiller lentement aux plantes, comme elle le ferait d'un autre paillage.