Au jardin, forum de jardinage

Bonjour @ tous !

Il y a deux jours de celà, j'ai traité biologiquement mes rosiers contre une attaque massive de pucerons et de chenilles défoliatrices... Mais maintenant, il me faut les traiter contre la maladie des tâches noires qui consiste en un autre type de traitement. Quelle période de temps dois-je respecter avant de passer au traitement suivant sur les rosiers ?
D'avance, merci beaucoup à tous !

Il n'est pas, en général, utile de traiter contre cette maladie, qui n'attaque normalement pas gravement les rosiers.
En tous cas dans aucun de nos jardins jamais je n'ai eu besoin de traiter.

On traite souvent parce que ça fait moche/pas propre, ce qui n'est pas la même chose, car d'un point de vue lutte bio c'est un contre sens.

Merci ailees, mais les rosiers étants chétifs et de plus atteints également de la rouille, j'ai un traitement qui soigne également de ce genre de maladie, pour l'instant, ils n'ont pas encore de l'oïdium.
Comme je tiens beaucoup à ces rosiers, je ne voudrait pas que la rouille ait raison d'eux, aussi voulais-je effectivement faire un traitement curatif....

là je me pose quand même une question : ils sont chétifs, ils ont plein de pucerons, la rouille et les taches noires.
Je ne sais pas où tu es (mets ta ville dans ton profil STP), ni quel genre de terrain et de climat tu as, mais tes rosiers semblent exactement dans le type de terrain qui ne leur convient point, car cet ensemble de symptômes est bien la garantie qu'il y a qqchose qui ne va absolument pas et bien sûr aucun traitement ne permet de modifier ça.
Donc, toujours d'un point de bue écologique et raisonnant comme je le ferais ici, je me demanderais si c'est bien la culture la mieux adaptée ? pour le moins, ce ne sont pas les bons rosiers ; alors il faudrait plutôt chercher les rosiers qui vont bien plutôt que de faire de l'acharnement thérapeutique. Qu'il faudra renouveler et encore renouveler, ça semble clair.
Tiens, ici, nous n'avons plus aucune rosier buisson à grosse fleurs, ils n'ont pas supporté le climat : en revanche, les rosiers lianes sont magnifiques.

bonsoir à tous .Je suis du meme avis que Ailees tes rosiers n'ont soit pas assez de soleil ;soit un sol trop humide ;soit une terre trop acide;car pour avoir autant de problèmes il faut qu'ils soient bien malheureux N'y a t il aucune possibilité de les changer de place?T tu ne nous dis pas dans quel beau coin de france tu habitesJe ne traite jamais mes rosiers sauf dans le courrant de l'hiver ou je passe de la bouillie bordelaise pour tuer tous les germes et sauf l'année de la plantation je ne les arrose que deux ou trois fois dans l'été .Pour les pucerons et les chenilles:mes amies les mésanges se chargent de nourrir leur progéniture avec et ils se portent à merveille

Bonsoir @ tous !
Pour répondre à vos questions, et bien je suis en Auvergne, à 15 minutes de Vichy....
Le problème est que ces rosiers ont été déménagés de la Région Parisienne, où il y avait de la terre bien noire, au Nord Puy de Dome donc, où la première année, alors que chacun effectuait une bonne reprise, (le tout ayant été fait dans les règles de l'art....), ils se sont trouvés terrassés par des insectes qui creusaient des galeries au centre de leur bois, là où il est le plus tendre.... Ensuite, les inévitables attaques de chenilles de pucerons ont eu plus ou moins raison de leur vigueur d'antan et désormais, ils ont ces tâches noires, la rouille, et les feuilles déformées et certains perdent leurs boutons .... Je cherche donc un moyen de soigner ces symptômes par quelque moyebn que ce soit.....
D'avance, merci beaucoup @ tous !

c'est la premiere année que je mets de la bouillie bor.; à mes rosiers car l'an passé ils avaient pris la rouille et ne portaient plus de feuilles fin aout c'était vraiment trop moche.. la ils ont de splendids nouvelles feuilles j'espère que ça durera
les seuls qui n'ont pas été atteints curieusement sont les 3 qui sont à l'ombre

Le déménagement des rosiers dans un climat totalement différent, une terre différente est un traumatisme très violent, dont il n'est absolument pas sûr qu'ils se remettent !
Nous à Paris on avait un terrain sableux, on est arrivé dans de l'argilo calcaire, avec un climat très différent, heureusement qu'on n'avait pas transplanté grand chose, c'eût été une gageure.