POTAGER URBAIN, EXPERIENCES & SUBJECTIONS
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Re: POTAGER URBAIN, pourquoi pas
saludas,
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L'agriculture urbaine à la Havane. Rapport de mission : Ismael Hautecoeur. Du 10 Janvier au 19 février 2005. Introduction ...
rooftopgardens.ca/.../rapport%20de%20mission%20cuba%202005%20web.doc - Pages similaires
Il est question ici de la capitale, pas de cigarebiofutur a écrit :
Pour ton Havane, si tu pouvais m'indiquer un lien precis ...
Gracias

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L'agriculture urbaine à la Havane. Rapport de mission : Ismael Hautecoeur. Du 10 Janvier au 19 février 2005. Introduction ...
rooftopgardens.ca/.../rapport%20de%20mission%20cuba%202005%20web.doc - Pages similaires
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Re: POTAGER URBAIN, pourquoi pas
Gracias.Encore une fois cela vient du nouveau monde.
Faudra t'il attendre, comme d'habitude 10 ans ou 20 ans afin que l'on commence à se l'approprier ici dans ce bas vieux monde où l'on aime se gaver de mots plus que d'action.
Faudra t'il attendre, comme d'habitude 10 ans ou 20 ans afin que l'on commence à se l'approprier ici dans ce bas vieux monde où l'on aime se gaver de mots plus que d'action.
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Re: POTAGER URBAIN, EXPERIENCES & SUBJECTIONS
Potager urbain
Ne pas lire le substantif mais le verbe
Qu’elle soit d’ occident ou d’orient, en septentrion ou méridionale, la majorité vit en cités. Elle vit de plus en plus mal. Les crises économiques et immobilières amaigrissent l’emploi et libèrent de l’espace. Comment y vivre à présent dans ces cités, sans pouvoir rien.

En villes les espaces existent ou se libérent. Les terrains non constructibles d’abord. Ils sont le long des voies fluviales, ferroviaires, autoroutières, les zones inondables et pourquoi pas celles proches des aéroports rendues inhabitables à cause du bruit.
Il y a toutes les bandes et tampons entre les zones industrielles et résidentielles. Et maintenant il y a les friches industrielles. Il faut considérer tous les lots libres ou pas encore construits. Avec la crise immobilière les reports à l’édification se multiplient. Ces attentes ouvrent une utilisabilité passagère des parcelles concernées. Alors que tout en dehors la cité mange du terrain à l’agricole et au maraîchage.

Une fois l’inventaire de la ville fait, les terrains potentiels trouvés et choisis, se pose la question du comment, quel usus, de quel droit. Chercher le ou les propriétaires. Ils peuvent trouver intéressant de ne pas voir leur terrain en friche ou de pouvoir rendre service (eh oui cela peut exister) ou se donner bonne conscience à peu cher ou pouvoir trouver intérêt à une source de légumes frais et bio. Les municipalités peuvent aider, surtout qu’à présent elles se disent beaucoup de gauche.
Il y a le squat si l’accord est difficile à trouver, ou si c’est le propriétaire difficile à contacter. Les fiches cadastrales par propriétaires sont tenues mais les adresses pas toujours. Le squat aussi si c’est un spéculateur ou une SCI caché dans une république au chaud ou un administrateur-liquidateur judiciaire.

Et puis enfin il y a tout bêtement la location en précaire en black ou en white.
Mais, mais, … qui occupera ? se grouper est le mieux. Une association encore mieux. Si l’on songe à faire dans le légal et dans la durée. Statuts simples précis et clairs. Les propriétaires-bailleurs, les maires et vos membres ne sont pas tous érudits et juristes, ni beaucoup de temps pour éplucher les alinéas. Le principal, ils aiment avoir à faire à un responsable, bonne présentation et un peu de respectabilité sont l’atout gagnant. Atout cœur.
Je passerai sur le quoi potager. A droite, à gauche, ici, il y a suffisamment pour savoir et trouver des idées.
Le plus difficile. Ce sera de récolter sans se faire piller. Là, intervient le comment vous vous y êtes pris et surtout avec qui. L’intérêt de s’être groupé ou mis en association ou de faire participer le voisinage. C’ est vrai que de nos jours en Europe, en France en particulier le respect d’autrui, des choses d’autrui n’ont plus guère de sens. Le vandalisme, le vol et la rapine sont plus le sport national.
Pour contrer cela il peut y avoir la manière forte, avec quelque efficacité quoique très douteuse sur le terme. Vous pouvez même être un pro là-dedans. Mais à vrai dire si vous l’êtes il y aura alors fort peu de chance que vous vous soyiez intéressé au sujet et encore moins pour m’avoir lu.
Dur d’être et de vivre “libère terre” de nos jours.
Ne pas lire le substantif mais le verbe
Qu’elle soit d’ occident ou d’orient, en septentrion ou méridionale, la majorité vit en cités. Elle vit de plus en plus mal. Les crises économiques et immobilières amaigrissent l’emploi et libèrent de l’espace. Comment y vivre à présent dans ces cités, sans pouvoir rien.

En villes les espaces existent ou se libérent. Les terrains non constructibles d’abord. Ils sont le long des voies fluviales, ferroviaires, autoroutières, les zones inondables et pourquoi pas celles proches des aéroports rendues inhabitables à cause du bruit.
Il y a toutes les bandes et tampons entre les zones industrielles et résidentielles. Et maintenant il y a les friches industrielles. Il faut considérer tous les lots libres ou pas encore construits. Avec la crise immobilière les reports à l’édification se multiplient. Ces attentes ouvrent une utilisabilité passagère des parcelles concernées. Alors que tout en dehors la cité mange du terrain à l’agricole et au maraîchage.

Une fois l’inventaire de la ville fait, les terrains potentiels trouvés et choisis, se pose la question du comment, quel usus, de quel droit. Chercher le ou les propriétaires. Ils peuvent trouver intéressant de ne pas voir leur terrain en friche ou de pouvoir rendre service (eh oui cela peut exister) ou se donner bonne conscience à peu cher ou pouvoir trouver intérêt à une source de légumes frais et bio. Les municipalités peuvent aider, surtout qu’à présent elles se disent beaucoup de gauche.
Il y a le squat si l’accord est difficile à trouver, ou si c’est le propriétaire difficile à contacter. Les fiches cadastrales par propriétaires sont tenues mais les adresses pas toujours. Le squat aussi si c’est un spéculateur ou une SCI caché dans une république au chaud ou un administrateur-liquidateur judiciaire.

Et puis enfin il y a tout bêtement la location en précaire en black ou en white.
Mais, mais, … qui occupera ? se grouper est le mieux. Une association encore mieux. Si l’on songe à faire dans le légal et dans la durée. Statuts simples précis et clairs. Les propriétaires-bailleurs, les maires et vos membres ne sont pas tous érudits et juristes, ni beaucoup de temps pour éplucher les alinéas. Le principal, ils aiment avoir à faire à un responsable, bonne présentation et un peu de respectabilité sont l’atout gagnant. Atout cœur.
Je passerai sur le quoi potager. A droite, à gauche, ici, il y a suffisamment pour savoir et trouver des idées.
Le plus difficile. Ce sera de récolter sans se faire piller. Là, intervient le comment vous vous y êtes pris et surtout avec qui. L’intérêt de s’être groupé ou mis en association ou de faire participer le voisinage. C’ est vrai que de nos jours en Europe, en France en particulier le respect d’autrui, des choses d’autrui n’ont plus guère de sens. Le vandalisme, le vol et la rapine sont plus le sport national.
Pour contrer cela il peut y avoir la manière forte, avec quelque efficacité quoique très douteuse sur le terme. Vous pouvez même être un pro là-dedans. Mais à vrai dire si vous l’êtes il y aura alors fort peu de chance que vous vous soyiez intéressé au sujet et encore moins pour m’avoir lu.
Dur d’être et de vivre “libère terre” de nos jours.
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Re: POTAGER URBAIN, EXPERIENCES & SUBJECTIONS
essai de 6 varietes de feves semees la semaine passee
certaines germent deja. Premieres recoltes attendues, debut mars.






certaines germent deja. Premieres recoltes attendues, debut mars.






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Re: POTAGER URBAIN, EXPERIENCES & SUBJECTIONS
pour savoir bien comment faire
http://el-mag.biofutur.org/2010/01/planche-de-feves/
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- aygues31
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Re: POTAGER URBAIN, pourquoi pas
Bonjour biofutur,biofutur a écrit : Encore une fois cela vient du nouveau monde.
Faudra t'il attendre, comme d'habitude 10 ans ou 20 ans afin que l'on commence à se l'approprier ici dans ce bas vieux monde où l'on aime se gaver de mots plus que d'action.
Tes images sont intéressantes, ainsi que les commentaires qui y sont attachés toutefois, ton dernier commentaire est superflu et assez déplacé à l'égard des vieilles habitudes du Pays.
<< Il y a 100 ans, sous l'impulsion d'un curé, se développaient les jardins ouvriers, des petits lopins de terre, loués à bas prix aux ouvriers pour éviter qu'ils ne tombent dans l'alcoolisme ... >>
La France n'a donc pas attendu les USA pour réaliser ce genre d'activité au service des urbains qui n'ont pas de terre et voudraient cultiver un petit potager.
En France, cela se nomme "jardins ouvriers", "jardins familiaux" ou encore "jardins collectifs" ... Beaucoup de villes disposent de ces espaces et la liste d'attente est très longue, à certains endroits, pour acquérir le droit d'aller gratter la terre.

Tu iras voir ici les 25 reportages sur ces espaces de convivialité qui permettent, comme tu le disais, de mettre un peu de beurre dans les épinards de certaines familles désargentées.
Un peu partout en France << Ces jardins en milieu urbain sont considérés comme des éléments à part entière dans les politiques de la ville, d'urbanisme et d'environnement. >>
Tu pourras aller lire ici les difficultés rencontrées par l'abbé Lemire qui lance, en 1912. "la Ligue du Coin de Terre" qui deviendront en 1978 les "Jardins Familiaux de France" organisés aujourd'hui en associations locales.
à+
la bonne excuse des mauvais jardiniers ? ... la lune!
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Re: POTAGER URBAIN, EXPERIENCES & SUBJECTIONS
Bonsoir et merci de tes avis et réaction.
Tu as raison bien évidement. Bien évidement il y a tous ces jardins dit ouvriers, qui se réduisent comme peau de chagrin sous la pression immobilière. Ce que je voulais dire, c'est que des espaces doivent être réappropriés ou réoccupés, sans forcement passer par tout un tintoin Comité d'entreprise-association-syndicat-collectivité-paroisse. C'est trop lourd ou trop parfois tinté politiquement pour avoir quelque chance de succés ou de pérennité. Ce que je voulais dire, c'est que cette démarche doit sortir de ces sentiers par trop rabattus et être un engagement personnel sans rien attendre d'un quelconque systême, en le refusant même. S'assumer. Oui c'est le mot. Et cela tout le monde peut le faire quelque soit les moyens dont on peut disposer. Et cela je ne suis du sûr que ce soit encore beaucoup cultivé. Les semences ont peut être dépassé la date de faisabilité, je le crains.
A te lire
Tu as raison bien évidement. Bien évidement il y a tous ces jardins dit ouvriers, qui se réduisent comme peau de chagrin sous la pression immobilière. Ce que je voulais dire, c'est que des espaces doivent être réappropriés ou réoccupés, sans forcement passer par tout un tintoin Comité d'entreprise-association-syndicat-collectivité-paroisse. C'est trop lourd ou trop parfois tinté politiquement pour avoir quelque chance de succés ou de pérennité. Ce que je voulais dire, c'est que cette démarche doit sortir de ces sentiers par trop rabattus et être un engagement personnel sans rien attendre d'un quelconque systême, en le refusant même. S'assumer. Oui c'est le mot. Et cela tout le monde peut le faire quelque soit les moyens dont on peut disposer. Et cela je ne suis du sûr que ce soit encore beaucoup cultivé. Les semences ont peut être dépassé la date de faisabilité, je le crains.
A te lire
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- biofutur
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Re: POTAGER URBAIN, EXPERIENCES & SUBJECTIONS
Dernière modification par biofutur le lun. 10 janv. 2011 19:55, modifié 1 fois.
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- aygues31
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Re: POTAGER URBAIN, EXPERIENCES & SUBJECTIONS
Vision idéaliste et ne reposant sur pas grand chose !biofutur a écrit : Et cela tout le monde peut le faire quelque soit les moyens dont on peut disposer.
Quand tu vis dans un appartement de ceinture de ville et que tu n'as pas de jardin, comment cultiver un potager ?
Les associations qui se battent pour récupérer un morceau de terre à mettre à la disposition des gens, ont beaucoup de mérite, sans être politiquement "colorées".
Les bénévoles qui s'en occupent ont beaucoup plus de générosité que tu ne l'imagines, en organisant des moments d'information, des achats en collectif de matériels et des journées festives qui aident les jardiniers et leur famille à trouver la vie un peu moins dure à vivre.
Tes photos de l'autre bout du Monde ne peuvent occulter la vie d'associations françaises que tu n'as pas l'air de bien connaître.
Ton << tintoin de comité d'entreprise-association-syndicat-collectivité-paroisse >> sont des allégations de compromission dédaigneuses, complètement ridicules et insultantes pour les animateurs de ces groupements de jardiniers que, visiblement, tu n'as jamais fréquentés.
à+
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Re: POTAGER URBAIN, EXPERIENCES & SUBJECTIONS
Quel bel article Biofutur et coup de chapeau pour ton travail de mise en page!!

Le plus beau cadeau du jardin est la restauration des cinq sens
- lamouche
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Re: POTAGER URBAIN, EXPERIENCES & SUBJECTIONS
les américains viennent de très loin ,j'ai vu l'autre jour un reportage sur détroit ou les gens n'avaient jamais vu un légume de leur vie
- biofutur
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Re: POTAGER URBAIN, EXPERIENCES & SUBJECTIONS
aygues31 a écrit :Vision idéaliste et ne reposant sur pas grand chose !biofutur a écrit : Et cela tout le monde peut le faire quelque soit les moyens dont on peut disposer.
Ton << tintoin de comité d'entreprise-association-syndicat-collectivité-paroisse >> sont des allégations de compromission dédaigneuses, complètement ridicules et insultantes pour les animateurs de ces groupements de jardiniers que, visiblement, tu n'as jamais fréquentés.
à+
Je me répète tout arrive par une démarche personnelle. Et tout changera par l’ensemble des démarches individuelles. Alors le titre du sujet « urban garden – potager urbain ». Mais c’est quelque chose de tout à fait ouvert, riche en possibilités, ramenant l’écologie en la cité, avec la seule limite, l’imagination.
Mon grand regret c’est tout le gâchis du gros mot «l’ Ecologie » depuis qu’elle est accaparée par la politique - de gauche il faut bien le dire, sous traitée aux verts par un parti plus gros qui ne sait pas s’engager ou bien dévoyée et pastèquisée par des extrémistes pour sortir des limbes où ils se marginalisaient - la privant immédiatement par ces faits d’une bonne partie de gens qui ne peuvent s’y retrouver.
Pourquoi donc autant d’agressivité, mon ami. C’est curieux cette attitude de la nouvelle gauche - plus de discussions, plus de tolérance, plus d’ouverture – le dogme et la raison qu’elle peut seule dispenser dans sa grande sagesse.
Pourquoi donc attendre tout d’une association ? On peut très bien faire beaucoup tout seul ou en groupe de potes ou en groupe de voisins, et en centre ville ou en ceinture, il y a les balcons, il y a les toits jamais utilisés. Les petits élevages peuvent se faire sur très peu de place. Une copro. serait ravie de réduire ses coûts par la location de ses terrasses. Sors de l’hexagone et tu verras tout ce qui se fait ailleurs et pas en France. Ne serait-ce que l’Espagne tout à côté, en villes c’est inimaginable toutes les cultures qui se font sur les balcons, tous les petits élevages qui se font dans les greniers. Sans honte l’on attend les fins de marchés pour nourrir à bons comptes ses lapins. On se met d’accord avec les boulangers, les restaurants pour venir prendre les invendus et restes et nourrir à bons comptes ses poules. En Malaisie ou en Indonésie, que je connais bien, aucun terrain périurbain ne reste en friche. Aucun. J’en citerais plus que la page, des exemples.
Je ne connaîtrais pas les associations ? Oh que si. Je les fuis même. Il y avait un courant né il y a une quarantaine d’année déjà qui était cette voie pleine de promesse mais trop d’utopies car les temps ne s’y prêtaient encore. C’est ce que l’on peut appeler la contre culture. Pourquoi vous déplait elle autant ? Cela vous fait donc tant peur, à vous, grossistes en parlotte, gens de cette nouvelle gauche, que l’on sorte des voies que dictez ?
--------------------------------------------------------------------------------
merci à vous Mouche et Marie et les Autres. Bonne Fêtes
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Re: POTAGER URBAIN, EXPERIENCES & SUBJECTIONS
le souci ,Biofutur,c'est qu'en France une majorité de gens est incapable de prendre la moindre initiative et attend que l'état lui donne le feu vert
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Re: POTAGER URBAIN, EXPERIENCES & SUBJECTIONS
Bonsoir,lamouche a écrit :le souci ,Biofutur, c'est qu'en France une majorité de gens est incapable de prendre la moindre initiative et attend que l'état lui donne le feu vert
Oui en effet, c'est bien pour cela que je fais ce "post" - pouvoir donner quelque idée et envie. Oui malheureusement je crains que tu n'ais que trop raison - Et c'est bien pour cela que ce "post" est mal compris ou mal perçu.
Hélas. Mille fois.

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Re: POTAGER URBAIN, EXPERIENCES & SUBJECTIONS
mais un exemple qu'en France ,la liberté est limité
http://www.rue89.com/2010/12/28/la-your ... psi-182623
http://www.rue89.com/2010/12/28/la-your ... psi-182623
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Re: POTAGER URBAIN, EXPERIENCES & SUBJECTIONS
C'est tout à fait cela la contre culture. Et ils ont raison. Mille fois.Myriam et Gilles espèrent eux « pouvoir au moins rester un an dans [leur] yourte, voir arriver le printemps » :
« Nous travaillons, nous sommes socialisés, nous ne faisons pas de fête ni de bruit, nous voulons juste vivre tranquillement. Sans créer de scandale dans le village. »
En attendant, les deux n'ont pas l'intention de bouger. Ils savent que le frêne, dans le langage des arbres, symbolise la persévérance.
Merci du lien, c'est intéressant
______________________________________________________________
dans l'ordre des mêmes idées, si ce n'est fait déjà, on peut aller ici
http://www.delaservitudemoderne.org/francais1.html
et voir les videos sur dailymotion (en 3 parties)
______________________________________________________________
http://www.dailymotion.com/video/xa2c34 ... shortfilms
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Re: POTAGER URBAIN, EXPERIENCES & SUBJECTIONS
La crise qui sévit ou s'annonce en Europe risque de bouger les choses comme on peut le lire sur ce sujet sur l'Argentine
http://www.bastamag.net/article1284.html
http://www.bastamag.net/article1284.html
- aygues31
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Re: POTAGER URBAIN, EXPERIENCES & SUBJECTIONS
C'est toujours plus beau ailleurslamouche a écrit :le souci ,Biofutur,c'est qu'en France une majorité de gens est incapable de prendre la moindre initiative et attend que l'état lui donne le feu vert

Ici, on est simplement en France et il y a des milliers de reportages pour qui veut bien se renseigner.

Des centaines de bénévoles qui animent et s'occupent des autres ICI et là et encore ici sur notre site, tout simplement ...
Les initiatives se prennent depuis longtemps en France sans avoir attendu que "l'état donne son feu vert"


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Re: POTAGER URBAIN, EXPERIENCES & SUBJECTIONS
en dehors des jardins ouvriers en place depuis de nombreuses années ,quid de nouvelles initiatives?
je fais parti d'un jardin ouvrier ,et vu la crise il devrait y avoir la queue pour y rentrer or4 ou 5 personnes attendent une place donc c'est pour cela que je dis que les gens attendent plus de l'état
je fais parti d'un jardin ouvrier ,et vu la crise il devrait y avoir la queue pour y rentrer or4 ou 5 personnes attendent une place donc c'est pour cela que je dis que les gens attendent plus de l'état
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Re: POTAGER URBAIN, EXPERIENCES & SUBJECTIONS
C'est fou comment cela donne envie d'aller chez toi ou chez vous. Au fait, cela se passe comment quand on n'est pas tout à fait d'accord avec vous ou quand on ne souhaite pas passer sous vos fourches caudines ? Y aurait il encore besoin d'apporter de l'eau au moulin d'une discussion qui se voulait au départ libre et détendue ?
Bravo Mec t'as tout bon.
Bravo Mec t'as tout bon.
aygues31 a écrit : C'est toujours plus beau ailleursIci, on est simplement en France et il y a des milliers de reportages pour qui veut bien se renseigner.
Les initiatives se prennent depuis longtemps en France sans avoir attendu que "l'état donne son feu vert"
![]()
ce sont des commentaires faciles qui montrent que beaucoup trop d'interventions critiques sont faites par des gens qui ne connaissent absolument pas le sujet dont ils parlent.
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Re: POTAGER URBAIN, EXPERIENCES & SUBJECTIONS
Merci Mouche pour cet article. Très intéressant et plein de promesses, bel exemple d'humanité. En Bolivie, à Bogota, au Bresil aussi se passent de memes
réalisations.
Et puis plus en occident, les toits comme au Canada ou le developpement de leur utilisation est foudroyante. C'est dans la meme revue BESTAMAG que tu viens de donner ---> http://www.bastamag.net/article1094.html
réalisations.
Et puis plus en occident, les toits comme au Canada ou le developpement de leur utilisation est foudroyante. C'est dans la meme revue BESTAMAG que tu viens de donner ---> http://www.bastamag.net/article1094.html
Ça,je espère bien, Ciaolamouche a écrit :La crise qui sévit ou s'annonce en Europe risque de bouger les choses comme on peut le lire sur ce sujet sur l'Argentine.
http://www.bastamag.net/article1284.html
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Re: POTAGER URBAIN, EXPERIENCES & SUBJECTIONS
Videos faisant suite aux initiatives de "huertas urbanas" à Rosario en Argentina
http://www.youtube.com/watch?v=Z-GoEZ7fv9k
http://www.youtube.com/watch?v=4ahG0WjQBeQ
http://www.youtube.com/watch?v=pYtJGi2Czf4
http://www.youtube.com/watch?v=EchePInyR18
http://www.youtube.com/watch?v=LEY_fwQEe28
http://www.youtube.com/watch?v=Z-GoEZ7fv9k
http://www.youtube.com/watch?v=4ahG0WjQBeQ
http://www.youtube.com/watch?v=pYtJGi2Czf4
http://www.youtube.com/watch?v=EchePInyR18
http://www.youtube.com/watch?v=LEY_fwQEe28
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Re: POTAGER URBAIN, EXPERIENCES & SUBJECTIONS
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Re: POTAGER URBAIN, EXPERIENCES & SUBJECTIONS
...
et puis pour ceux qui veulent se perfectionner en Espagnol, ce n'est pas mauvais, quoique. c'est de l'argentin. comme le canadien au français
...
et puis pour ceux qui veulent se perfectionner en Espagnol, ce n'est pas mauvais, quoique. c'est de l'argentin. comme le canadien au français
...
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