retour de Bretagne
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Alain REDON
- Liseron du clavier
- Messages : 2277
- Inscription : sam. 06 août 2005 19:55
- Région : Centre
retour de Bretagne
Bonjour Ă tous ...
De retour de 15 jours de vacances en Bretagne Nord ( (Perros Guirrec , Tregastel, Trebeurden )
J'ai, bien sur, été regulierement sur les marchés, discuté avec les producteurs et beaucoup observé ...
J'ai été surpris de voir que les maraichers vendaient des tomates de collections : trouvé: Green Zebra , des petites tomates jaunes dont j'ai perdu le nom, des Coeur de Boeuf , des cornues de Andes, des Russes, des noires de Crimée, des Prune noires . Elles sont parfois vendues en mélange. Apparemment les clients s'y interessent ;
Les tomates de collections sont vendues aux alentours de 3 Euros le Kilo
Les tomates ordinaires : 1 a 1.50 le Kg.
A part les tomates , j'ai gouté ( et rapporté ) des oignons roses de Roscoff. J'ai trouvé ça excellent ; pas trop fort et assez fin de gout. Quelqu'un sait ou on peut trouver des semences ?
J'ai aussi trouvé une variete de Pommes de terres que je ne connaissais pas . Elle s'appelle : UTO . Forme ronde , chair blanche . On me l'a recommandée pour la purée, et c'est vrai que c'est excellent. Je n'ai rien trouvé sur Internet concernant cette variété . Qui en sait plus sur cette patate ?
_________________
Rien de bien sans passion
De retour de 15 jours de vacances en Bretagne Nord ( (Perros Guirrec , Tregastel, Trebeurden )
J'ai, bien sur, été regulierement sur les marchés, discuté avec les producteurs et beaucoup observé ...
J'ai été surpris de voir que les maraichers vendaient des tomates de collections : trouvé: Green Zebra , des petites tomates jaunes dont j'ai perdu le nom, des Coeur de Boeuf , des cornues de Andes, des Russes, des noires de Crimée, des Prune noires . Elles sont parfois vendues en mélange. Apparemment les clients s'y interessent ;
Les tomates de collections sont vendues aux alentours de 3 Euros le Kilo
Les tomates ordinaires : 1 a 1.50 le Kg.
A part les tomates , j'ai gouté ( et rapporté ) des oignons roses de Roscoff. J'ai trouvé ça excellent ; pas trop fort et assez fin de gout. Quelqu'un sait ou on peut trouver des semences ?
J'ai aussi trouvé une variete de Pommes de terres que je ne connaissais pas . Elle s'appelle : UTO . Forme ronde , chair blanche . On me l'a recommandée pour la purée, et c'est vrai que c'est excellent. Je n'ai rien trouvé sur Internet concernant cette variété . Qui en sait plus sur cette patate ?
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- christianne
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- Inscription : sam. 16 avr. 2005 0:49
- Région : Provence Alpes CÎte d'Azur
- Localisation : Vaucluse, VILLELAURE
Re: retour de Bretagne
[quote="Alain REDON"]Bonjour Ă tous ...
De retour de 15 jours de vacances en Bretagne Nord ( (Perros Guirrec , Tregastel, Trebeurden )
J'ai, bien sur, été regulierement sur les marchés, discuté avec les producteurs et beaucoup observé ...
A part les tomates , j'ai gouté ( et rapporté ) des oignons roses de Roscoff. J'ai trouvé ça excellent ; pas trop fort et assez fin de gout. Quelqu'un sait ou on peut trouver des semences ?
_________________
[/quote]
j'ai trouvé sur google cet article concernant cet oignon qui est produit en AOC, dc pas diffusé ailleurs. Il aurait fallu acheter des graines sur place!
L'oignon rosé, fierté du pays de Roscoff
Des tuniques externes rosées à rosé-cuivré, des écailles en interne blanches à rosées, une bordure rosée⊠C'est d'oignon rosé dont il s'agit. Bien reconnaissable, l'oignon rosé de Roscoff est cultivé dans le secteur roscovite depuis le 17e siÚcle. Un long passé qui le lie à la région et à ses habitants, dont les fameux "Johnnies", ces producteurs qui partirent vendre leurs oignons en Angleterre à partir des années 1820.
"Dans ma famille, c'est une passion qui se transmet de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration", tĂ©moigne Alain Cabioch. Producteur Ă Roscoff, il cultive du choux-fleur, de l'artichaut, des pommes de terre primeurs, et de l'oignon rosĂ© pour 10 % de la SAU. Une derniĂšre culture qui lui "tient plus Ă cĆur", et qui lui demande aussi plus de surveillance des parcelles en cours de production.
Des exigences
"La mise en place de la culture nécessite un sol profond, pas trop séchant, et une bonne structure du sol, détaille Alain Cabioch. J'utilise deux techniques de mise en place : en semis direct en sol nu, courant mars à la densité de 4 kg/ha environ, et en mottes, en avril à la densité de 100 000 mottes/ha avec 5 à 6 plants par motte."
Un tiers de ses oignons est semĂ© en mottes. Cette derniĂšre technique lui garantit une assurance de peuplement car les oignons, plantĂ©s au stade 3 feuilles, sont moins sensibles aux averses de grĂȘle. "La technique est plus coĂ»teuse, mais elle garantit des oignons plus prĂ©coces et de calibre plus rĂ©gulier. En semis direct, le dĂ©sherbage est plus difficile."
Le suivi sanitaire, plus compliqué pour les oignons semés en motte, consiste à guetter le moindre signe de maladie, dont les principales sont le mildiou et la pourriture blanche. "Lutter contre le mildiou sur l'oignon, c'est une autre paire de manche que sur la pomme de terre."
Des mois plus tard, la récolte s'effectue fin juillet-début août pour les oignons en motte et la deuxiÚme quinzaine d'août pour ceux issus de semis direct. Chez Alain, elle est manuelle et s'opÚre en deux temps : d'abord le "soulevage", à l'aide d'une lame passant dans la planche pour couper les racines et soulever les oignons, puis le ramassage, à la main, une fois les bulbes bien secs. Là encore, respecter le stade de l'oignon est fondamental. Ses qualités de conservation sont en jeu.
Alain livre sa rĂ©colte Ă deux stations de la Sica de Saint-Pol-de-LĂ©on : l'une pour le vrac, l'autre pour le tressage. Environ 30 % de ses oignons sont en effet tressĂ©s, pendant les mois d'hiver. "C'est un coup Ă prendre. Je tresse les queues pour former des grappes de 500 grammes avec 7 oignons de calibre 45-55 mm, ou d'1 kg avec 10 tĂȘtes de calibre 50-70 mm. Le tressage permet de mieux valoriser l'oignon, qui se conserve plus longtemps car on empĂȘche son oxygĂ©nation", explique Alain.
Du résultat
De bonnes qualitĂ©s de conservation, d'accord. Mais qu'est-ce qui distingue encore l'oignon rosĂ© de Roscoff des autres oignons ? "Sa couleur, sa saveur, son trĂšs bon comportement Ă la cuissonâŠ" Alain Cabioch pourrait ĂȘtre un Johnny, tellement il sait parler de son produit.
FidÚle à la variété, il n'a jamais essayé de cultiver de l'oignon jaune, le principal concurrent, dont les rendements sont presque deux fois supérieurs. Dans le secteur, des essais ont été réalisés par le passé, mais se sont soldés d'un échec. L'oignon rosé est le seul à convenir au climat de la région.
"C'est un produit de saison, poursuit Alain. On ne peut pas en fournir 12 mois sur 12. Il faut l'attendre et ne pas le banaliser. C'est tout l'intĂ©rĂȘt de la dĂ©marche AOC en cours, qui permettra de le faire connaĂźtre et de protĂ©ger les terres Ă oignons."
Anne-Laure Lussou
En route vers l'AOC
16 ans⊠L'idĂ©e de crĂ©er une AOC pour l'oignon rosĂ© de Roscoff date de 1989. Si le dossier n'est pas encore finalisĂ©, de grands pas ont dĂ©jĂ Ă©tĂ© franchis. "Ă l'heure actuelle, le syndicat de dĂ©fense de l'oignon rosĂ© a fait une proposition de dĂ©limitation de zone de l'AOC, qui a Ă©tĂ© validĂ©e par la commission d'enquĂȘte. Le dossier a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© au comitĂ© national, mais les dĂ©crets ne seront signĂ©s qu'aprĂšs enquĂȘte publique", explique Robert JĂ©zĂ©quel, prĂ©sident du syndicat.
« Les pluies de juillet ont corrigé les calibres »
"Cette année, l'oignon rosé cultivé en semis direct a souffert de la sécheresse. Les pluies de juillet ont cependant permis de corriger les calibres. On devrait obtenir une récolte 2005 de bonne qualité avec des rendements corrects.
L'oignon rosĂ© est une culture difficile car de nombreux facteurs techniques doivent ĂȘtre maĂźtrisĂ©s. Le dĂ©sherbage, la fertilisation et la protection sanitaire ne sont pas Ă©videntes. Une fois ramassĂ©, l'oignon doit ĂȘtre manipulĂ© avec prĂ©caution car il est fragile. C'est pourquoi les producteurs choisissent, assez souvent, de le ramasser Ă la main. NĂ©anmoins il est possible de ramasser les bulbes Ă la machine, en ayant pris soin d'adapter la vitesse d'avancement du tracteur Ă la rotation des tapis, pour une bonne circulation des bulbes sur la machine. De plus, il faut attĂ©nuer au maximum les hauteurs de chute et rĂ©duire les impacts, en plaçant des tapis de caoutchouc Ă la rĂ©ception des bulbes."
Claire Gouez,
conseillÚre agricole spécialisée en légumes à la chambre d'agriculture de Saint-Pol-de-Léon
De retour de 15 jours de vacances en Bretagne Nord ( (Perros Guirrec , Tregastel, Trebeurden )
J'ai, bien sur, été regulierement sur les marchés, discuté avec les producteurs et beaucoup observé ...
A part les tomates , j'ai gouté ( et rapporté ) des oignons roses de Roscoff. J'ai trouvé ça excellent ; pas trop fort et assez fin de gout. Quelqu'un sait ou on peut trouver des semences ?
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[/quote]
j'ai trouvé sur google cet article concernant cet oignon qui est produit en AOC, dc pas diffusé ailleurs. Il aurait fallu acheter des graines sur place!
L'oignon rosé, fierté du pays de Roscoff
Des tuniques externes rosées à rosé-cuivré, des écailles en interne blanches à rosées, une bordure rosée⊠C'est d'oignon rosé dont il s'agit. Bien reconnaissable, l'oignon rosé de Roscoff est cultivé dans le secteur roscovite depuis le 17e siÚcle. Un long passé qui le lie à la région et à ses habitants, dont les fameux "Johnnies", ces producteurs qui partirent vendre leurs oignons en Angleterre à partir des années 1820.
"Dans ma famille, c'est une passion qui se transmet de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration", tĂ©moigne Alain Cabioch. Producteur Ă Roscoff, il cultive du choux-fleur, de l'artichaut, des pommes de terre primeurs, et de l'oignon rosĂ© pour 10 % de la SAU. Une derniĂšre culture qui lui "tient plus Ă cĆur", et qui lui demande aussi plus de surveillance des parcelles en cours de production.
Des exigences
"La mise en place de la culture nécessite un sol profond, pas trop séchant, et une bonne structure du sol, détaille Alain Cabioch. J'utilise deux techniques de mise en place : en semis direct en sol nu, courant mars à la densité de 4 kg/ha environ, et en mottes, en avril à la densité de 100 000 mottes/ha avec 5 à 6 plants par motte."
Un tiers de ses oignons est semĂ© en mottes. Cette derniĂšre technique lui garantit une assurance de peuplement car les oignons, plantĂ©s au stade 3 feuilles, sont moins sensibles aux averses de grĂȘle. "La technique est plus coĂ»teuse, mais elle garantit des oignons plus prĂ©coces et de calibre plus rĂ©gulier. En semis direct, le dĂ©sherbage est plus difficile."
Le suivi sanitaire, plus compliqué pour les oignons semés en motte, consiste à guetter le moindre signe de maladie, dont les principales sont le mildiou et la pourriture blanche. "Lutter contre le mildiou sur l'oignon, c'est une autre paire de manche que sur la pomme de terre."
Des mois plus tard, la récolte s'effectue fin juillet-début août pour les oignons en motte et la deuxiÚme quinzaine d'août pour ceux issus de semis direct. Chez Alain, elle est manuelle et s'opÚre en deux temps : d'abord le "soulevage", à l'aide d'une lame passant dans la planche pour couper les racines et soulever les oignons, puis le ramassage, à la main, une fois les bulbes bien secs. Là encore, respecter le stade de l'oignon est fondamental. Ses qualités de conservation sont en jeu.
Alain livre sa rĂ©colte Ă deux stations de la Sica de Saint-Pol-de-LĂ©on : l'une pour le vrac, l'autre pour le tressage. Environ 30 % de ses oignons sont en effet tressĂ©s, pendant les mois d'hiver. "C'est un coup Ă prendre. Je tresse les queues pour former des grappes de 500 grammes avec 7 oignons de calibre 45-55 mm, ou d'1 kg avec 10 tĂȘtes de calibre 50-70 mm. Le tressage permet de mieux valoriser l'oignon, qui se conserve plus longtemps car on empĂȘche son oxygĂ©nation", explique Alain.
Du résultat
De bonnes qualitĂ©s de conservation, d'accord. Mais qu'est-ce qui distingue encore l'oignon rosĂ© de Roscoff des autres oignons ? "Sa couleur, sa saveur, son trĂšs bon comportement Ă la cuissonâŠ" Alain Cabioch pourrait ĂȘtre un Johnny, tellement il sait parler de son produit.
FidÚle à la variété, il n'a jamais essayé de cultiver de l'oignon jaune, le principal concurrent, dont les rendements sont presque deux fois supérieurs. Dans le secteur, des essais ont été réalisés par le passé, mais se sont soldés d'un échec. L'oignon rosé est le seul à convenir au climat de la région.
"C'est un produit de saison, poursuit Alain. On ne peut pas en fournir 12 mois sur 12. Il faut l'attendre et ne pas le banaliser. C'est tout l'intĂ©rĂȘt de la dĂ©marche AOC en cours, qui permettra de le faire connaĂźtre et de protĂ©ger les terres Ă oignons."
Anne-Laure Lussou
En route vers l'AOC
16 ans⊠L'idĂ©e de crĂ©er une AOC pour l'oignon rosĂ© de Roscoff date de 1989. Si le dossier n'est pas encore finalisĂ©, de grands pas ont dĂ©jĂ Ă©tĂ© franchis. "Ă l'heure actuelle, le syndicat de dĂ©fense de l'oignon rosĂ© a fait une proposition de dĂ©limitation de zone de l'AOC, qui a Ă©tĂ© validĂ©e par la commission d'enquĂȘte. Le dossier a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© au comitĂ© national, mais les dĂ©crets ne seront signĂ©s qu'aprĂšs enquĂȘte publique", explique Robert JĂ©zĂ©quel, prĂ©sident du syndicat.
« Les pluies de juillet ont corrigé les calibres »
"Cette année, l'oignon rosé cultivé en semis direct a souffert de la sécheresse. Les pluies de juillet ont cependant permis de corriger les calibres. On devrait obtenir une récolte 2005 de bonne qualité avec des rendements corrects.
L'oignon rosĂ© est une culture difficile car de nombreux facteurs techniques doivent ĂȘtre maĂźtrisĂ©s. Le dĂ©sherbage, la fertilisation et la protection sanitaire ne sont pas Ă©videntes. Une fois ramassĂ©, l'oignon doit ĂȘtre manipulĂ© avec prĂ©caution car il est fragile. C'est pourquoi les producteurs choisissent, assez souvent, de le ramasser Ă la main. NĂ©anmoins il est possible de ramasser les bulbes Ă la machine, en ayant pris soin d'adapter la vitesse d'avancement du tracteur Ă la rotation des tapis, pour une bonne circulation des bulbes sur la machine. De plus, il faut attĂ©nuer au maximum les hauteurs de chute et rĂ©duire les impacts, en plaçant des tapis de caoutchouc Ă la rĂ©ception des bulbes."
Claire Gouez,
conseillÚre agricole spécialisée en légumes à la chambre d'agriculture de Saint-Pol-de-Léon
- moustache
- Grossiste en parlotte
- Messages : 4464
- Inscription : ven. 25 juin 2004 9:34
- Localisation : Ramatuelle Var France
Re: retour de Bretagne
Je crois que le nom n'est pas correct. Je ne le trouve pas non plus chez les spécialistes (il n'y a aucune P d T dont le nom commence par "U" ) :Alain REDON a écrit : J'ai aussi trouvé une variete de Pommes de terres que je ne connaissais pas . Elle s'appelle : UTO . Forme ronde , chair blanche . On me l'a recommandée pour la purée, et c'est vrai que c'est excellent. Je n'ai rien trouvé sur Internet concernant cette variété . Qui en sait plus sur cette patate ?
http://www.plantdepommedeterre.org/pages/plan.htm
Patience et longueur de temps font mieux que force ni que rage...
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evelien
- Fleur de pipelette
- Messages : 514
- Inscription : mer. 16 juil. 2003 20:19
- Localisation : Belgique
un copain à nous possÚde une énorme quantité de PDT anciennes
125 cette saison
il est hospitalisé actuellement mais je lui demanderai par téléphone ce soir.
As-tu demandé si la PDT est d'origine française
hollandaise
allemande? etc
faudra me dire aussi combien dans un kilo
125 cette saison
il est hospitalisé actuellement mais je lui demanderai par téléphone ce soir.
As-tu demandé si la PDT est d'origine française
hollandaise
allemande? etc
faudra me dire aussi combien dans un kilo
Evelien
http://www.lacegarden.be
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Alain REDON
- Liseron du clavier
- Messages : 2277
- Inscription : sam. 06 août 2005 19:55
- Région : Centre
Elle est couramment vendue sur les marchés entre St Brieuc et Morlaix D'apres le paysan breton qui les vendait sur le marché, c'est une vieille variété locale que les gens du coin mangent en purée. Pas recommandée sautée.
Et c'est vrai que c'est bon en purée !!
Pomme de terre plutot ronde, chair tres blanche, assez dure, environ 12 a 15 au kilo. Grosse comme une mandarine ou une peche pas trop grosse
Et c'est vrai que c'est bon en purée !!
Pomme de terre plutot ronde, chair tres blanche, assez dure, environ 12 a 15 au kilo. Grosse comme une mandarine ou une peche pas trop grosse
Rien de bien sans passion
-
Alain REDON
- Liseron du clavier
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- Inscription : sam. 06 août 2005 19:55
- Région : Centre
Pd Terre UTO
evelien a écrit :un copain à nous possÚde une énorme quantité de PDT anciennes
125 cette saison
il est hospitalisé actuellement mais je lui demanderai par téléphone ce soir.
As-tu demandé si la PDT est d'origine française
hollandaise
allemande? etc
faudra me dire aussi combien dans un kilo
Voila a quoi ressemble la PdT Bretonne UTO
Rien de bien sans passion
