Nouveau jardinier havrais
Publié : jeu. 04 juin 2009 16:52
En recherche de renseignements sur l'habitat d'insectes assistants, je suis arrivé ici, j'ai parcouru rapidement et ai découvert pas mal de choses qui m'ont incité à m'inscrire.
Présentation rapide : Julien, 26 ans, papa d'une petite Adèle de deux mois. On a récemment emménager dans une chouette maison (avec quelques petits travaux...) et une belle surface de jardin, surtout que nous sommes en ville. Bon, le jardin, ce n'est pas de la tarte car il a du être abandonné quelque mois (années ?), avec pelouse d'un mètre de haut mais surtout envahissement du lierre et de la ronce.
Actuellement au chômage (demande d'agrément assistant maternel en cours), mais finalement papa à plein temps, j'ai commencé à conquérir cette flore sauvage. La belle situation du jardin en vaut la peine.
Pour ceux qui connaissent un peu le coin, nous sommes sur le coteau, entre ville haute et ville basse. Parfaitement protégé du nord, le jardin offre une large exposition ouvert vers le sud, légèrement en pente (nord vers sud). Les anciens occupants semblaient préférer les fleurs. Néanmoins, ils laissent un très beau cerisier, ainsi qu'un pommier en plein vent. De même, il y a de la mûre et des groseilles. Le laurier-sauce sera à largement réduire ! Il y a aussi un prunier et un noisetier mais je ne sais pas s'ils produiront (le premier présente actuellement maximum cinq prunes, quant aux noisetiers, je ne connais pas leur cycle). Lilas, forsythias, sapins, cerisiers japonais, "plumeau" (bientôt ratiboisé), glycine, camélias, hortensias, iris, rosiers et de nombreuses autres plantes inconnues complètent le paysage.
Un tel terrain m'a encouragé à débuter un potager. Séduit en premier lieu par le potager en carré, j'ai été déçu par les rendements pour les légumes tels radis ou carottes (peu à la fois). Et le fait que mes pois mangetout ne soient toujours pas à maturité a été le déclencheur pour inaugurer une parcelle "traditionnelle" afin de planter les tomates. Cette parcelle fera (je retourne encore la terre !) environ 150x200cm. J'y tenterai, outre des radis et des carottes, diverses salades, des poireaux, des haricots à rames et je viens de planter un poivron. Je n'abandonne pour autant toujours pas mes carrés où j'expérimente divers choux, haricots nains, concombre et diverses salades. Enfin, outre quelques pommes de terre et un chou-fleur, j'ai aussi planté fraisiers, framboisiers, persil, ciboulette, menthe, romarin et thym.
Vous l'aurez compris, j'apprivoise actuellement mon nouveau jardin (certaines parties sont encore totalement envahies de ronces et de lierres tellement il y a du boulot !). Et cela d'autant plus que je ne connais pas la qualité de ma terre, qui me semble plutôt pauvre, différente d'un point à un autre (de l'argileuse à la sableuse). J'espère que mes apports ponctuels de terre, mes paillages puis le compost qui se forme actuellement, nourrira cette terre au fil du temps.
Je terminerai, car je suis finalement très bavard, en disant que c'est un peu par hasard que je m'intéresse depuis quelques mois au jardin. Héritage de l'enfance, cela rimait plutôt au fastidieux arrachage des mauvaises herbes. Il faut finalement une occasion pour se découvrir une passion !
Présentation rapide : Julien, 26 ans, papa d'une petite Adèle de deux mois. On a récemment emménager dans une chouette maison (avec quelques petits travaux...) et une belle surface de jardin, surtout que nous sommes en ville. Bon, le jardin, ce n'est pas de la tarte car il a du être abandonné quelque mois (années ?), avec pelouse d'un mètre de haut mais surtout envahissement du lierre et de la ronce.
Actuellement au chômage (demande d'agrément assistant maternel en cours), mais finalement papa à plein temps, j'ai commencé à conquérir cette flore sauvage. La belle situation du jardin en vaut la peine.
Pour ceux qui connaissent un peu le coin, nous sommes sur le coteau, entre ville haute et ville basse. Parfaitement protégé du nord, le jardin offre une large exposition ouvert vers le sud, légèrement en pente (nord vers sud). Les anciens occupants semblaient préférer les fleurs. Néanmoins, ils laissent un très beau cerisier, ainsi qu'un pommier en plein vent. De même, il y a de la mûre et des groseilles. Le laurier-sauce sera à largement réduire ! Il y a aussi un prunier et un noisetier mais je ne sais pas s'ils produiront (le premier présente actuellement maximum cinq prunes, quant aux noisetiers, je ne connais pas leur cycle). Lilas, forsythias, sapins, cerisiers japonais, "plumeau" (bientôt ratiboisé), glycine, camélias, hortensias, iris, rosiers et de nombreuses autres plantes inconnues complètent le paysage.
Un tel terrain m'a encouragé à débuter un potager. Séduit en premier lieu par le potager en carré, j'ai été déçu par les rendements pour les légumes tels radis ou carottes (peu à la fois). Et le fait que mes pois mangetout ne soient toujours pas à maturité a été le déclencheur pour inaugurer une parcelle "traditionnelle" afin de planter les tomates. Cette parcelle fera (je retourne encore la terre !) environ 150x200cm. J'y tenterai, outre des radis et des carottes, diverses salades, des poireaux, des haricots à rames et je viens de planter un poivron. Je n'abandonne pour autant toujours pas mes carrés où j'expérimente divers choux, haricots nains, concombre et diverses salades. Enfin, outre quelques pommes de terre et un chou-fleur, j'ai aussi planté fraisiers, framboisiers, persil, ciboulette, menthe, romarin et thym.
Vous l'aurez compris, j'apprivoise actuellement mon nouveau jardin (certaines parties sont encore totalement envahies de ronces et de lierres tellement il y a du boulot !). Et cela d'autant plus que je ne connais pas la qualité de ma terre, qui me semble plutôt pauvre, différente d'un point à un autre (de l'argileuse à la sableuse). J'espère que mes apports ponctuels de terre, mes paillages puis le compost qui se forme actuellement, nourrira cette terre au fil du temps.
Je terminerai, car je suis finalement très bavard, en disant que c'est un peu par hasard que je m'intéresse depuis quelques mois au jardin. Héritage de l'enfance, cela rimait plutôt au fastidieux arrachage des mauvaises herbes. Il faut finalement une occasion pour se découvrir une passion !