les oiseaux du potager,
Publié : lun. 08 nov. 2004 0:24
Les oiseaux du potager,
Bonjour les amis,
Je ne peux m’empêcher de me mettre au clavier pour tenter d’attirer votre attention et vous faire part de mon étonnement de voir se multiplier les présentoirs de graines et produits en tout genre pour nourrir les oiseaux de la nature en hiver.
Les oiseaux n’ont semble t il pas attendu l’homme dit moderne pour arriver jusqu’à nous. Il ne me semble pas que leurs conditions soient devenus plus difficiles sauf évidemment pour certaines espèces qui se voient privées de leur biotope naturel ou ingurgitant trop régulièrement des pesticides (ou des insectes empoisonnés).
Je suis un adorateur des oiseaux, j’en possède depuis presque 30 années maintenant, leur nombre variant de 1 à 30 suivant les années. Les chats des voisins ont fait récemment un travail de « prédation » super efficace, en ce moment je n’ai plus qu’un canari mais qui m’enchante de ses notes mélodieuses.
Au début j’ai balbutié pour tenter d’obtenir de la reproduction, multipliant les achats de livres, Internet n’existant pas à l’époque. Il a fallu quelques années, pour que je m’aperçoive que hormis les soins de base, la chose la plus importante était de faire « hiverner » les oiseaux dans un local non (ou très peu) chauffé. Dans ces conditions difficiles les femelles pour résister au froid se nourrissent goulûment, prenant des formes rondelettes qui leur permettra d’avoir les réserves suffisantes pour mener à bien de belles et joyeuses nichées. De plus les oiseaux fragiles se trouvent « sélectionnés génétiquement » par dame nature.
Il m’est arrivé souvent de vouloir en « surprotéger » quelques uns » m’apercevant ensuite qu’ils étaient souvent incapable de mener à bien l’épreuve de pontes et de couvaison.
L’oiseau dans la nature fait partie d’un cycle, se nourrissant de graines et d’insectes qu’il « régule ». L’oiseau qui ne sait se débrouiller seul ou qui est trop faible pour le faire si il est assisté contribuera à donner de mauvaises souches dans l’espèce.
Les « gaveurs » d’oiseaux sont souvent les mêmes qui sont obligés ensuite pour réguler les insectes devenus envahissants d’employer les granulés de la mort qui tuent 10 limaces en moins de temps qu’il n’en faudrait à un homme politique (tout bord confondu) pour retourner sa superbe veste.
Ce n’est une fois de plus qu’une action commerciale pour augmenter un peu quelques chiffres d’affaires pourtant parfois déjà obèses.
Il est bien sûr toujours possible de nourrir les oiseaux épisodiquement pour les observer. Ou encore en période de grands froids, neige notamment où là effectivement je pense qu’il ont besoin d’un petit coup de main. Pour observer, attirer voire les fidéliser dans votre jardin un point d’eau où ils peuvent se baigner et boire quotidiennement semble préférable. En période de gel, quelques pincées de sel évitera la prise en glace de ce point d’eau.
J’invite tous les amis des oiseaux à insérer à la suite de ce message leurs éventuels précieux conseils concernant nos amis et tenter jour après jour d’aller vers une nature plus propre afin que les générations futures ait une chance d’entendre chanter le merle.

Bonjour les amis,


Je ne peux m’empêcher de me mettre au clavier pour tenter d’attirer votre attention et vous faire part de mon étonnement de voir se multiplier les présentoirs de graines et produits en tout genre pour nourrir les oiseaux de la nature en hiver.

Les oiseaux n’ont semble t il pas attendu l’homme dit moderne pour arriver jusqu’à nous. Il ne me semble pas que leurs conditions soient devenus plus difficiles sauf évidemment pour certaines espèces qui se voient privées de leur biotope naturel ou ingurgitant trop régulièrement des pesticides (ou des insectes empoisonnés).
Je suis un adorateur des oiseaux, j’en possède depuis presque 30 années maintenant, leur nombre variant de 1 à 30 suivant les années. Les chats des voisins ont fait récemment un travail de « prédation » super efficace, en ce moment je n’ai plus qu’un canari mais qui m’enchante de ses notes mélodieuses.
Au début j’ai balbutié pour tenter d’obtenir de la reproduction, multipliant les achats de livres, Internet n’existant pas à l’époque. Il a fallu quelques années, pour que je m’aperçoive que hormis les soins de base, la chose la plus importante était de faire « hiverner » les oiseaux dans un local non (ou très peu) chauffé. Dans ces conditions difficiles les femelles pour résister au froid se nourrissent goulûment, prenant des formes rondelettes qui leur permettra d’avoir les réserves suffisantes pour mener à bien de belles et joyeuses nichées. De plus les oiseaux fragiles se trouvent « sélectionnés génétiquement » par dame nature.
Il m’est arrivé souvent de vouloir en « surprotéger » quelques uns » m’apercevant ensuite qu’ils étaient souvent incapable de mener à bien l’épreuve de pontes et de couvaison.
L’oiseau dans la nature fait partie d’un cycle, se nourrissant de graines et d’insectes qu’il « régule ». L’oiseau qui ne sait se débrouiller seul ou qui est trop faible pour le faire si il est assisté contribuera à donner de mauvaises souches dans l’espèce.
Les « gaveurs » d’oiseaux sont souvent les mêmes qui sont obligés ensuite pour réguler les insectes devenus envahissants d’employer les granulés de la mort qui tuent 10 limaces en moins de temps qu’il n’en faudrait à un homme politique (tout bord confondu) pour retourner sa superbe veste.

Ce n’est une fois de plus qu’une action commerciale pour augmenter un peu quelques chiffres d’affaires pourtant parfois déjà obèses.

Il est bien sûr toujours possible de nourrir les oiseaux épisodiquement pour les observer. Ou encore en période de grands froids, neige notamment où là effectivement je pense qu’il ont besoin d’un petit coup de main. Pour observer, attirer voire les fidéliser dans votre jardin un point d’eau où ils peuvent se baigner et boire quotidiennement semble préférable. En période de gel, quelques pincées de sel évitera la prise en glace de ce point d’eau.

J’invite tous les amis des oiseaux à insérer à la suite de ce message leurs éventuels précieux conseils concernant nos amis et tenter jour après jour d’aller vers une nature plus propre afin que les générations futures ait une chance d’entendre chanter le merle.

