une toute petite mésange bleue
Publié : mar. 18 mai 2010 20:27
Bonsoir,
Les petites mésanges bleues occupant un nichoir que nous avons installé sur notre balcon en ville, sont sorties ce matin. Nous avons vérifié le nid et y avons trouvé un petit cadavre et un œuf non fécondé. Les autres oisillons ont eu la chance s’envoler. Une heure plus tard, nous entendons de petits tit tit tit sur le balcon. Bizarre….. un doute nous vient à l’esprit, nous débarrassons quelques jardinières et autres objets encombrant le balcon et y découvrons le petit mimi que voici.

Nous le mettons dans un grand carton que nous posons à côté d’une mangeoire garnie de poudre d’amandes que depuis des années nous n’enlevons jamais avant l’envol des oisillons. Les parents venaient littéralement « paner » leurs asticots avant de les donner à la couvée.
Le miracle est que la maman vient nourrir son petit dans le carton.
J’espère que d’ici deux jours ou trois ce petit aura pris les forces nécessaires pour voler de ses propres ailes.
En attendant je surveille discrètement les allées et venues de la maman, qui doit se partager entre le petit retardataire et les autres oisillons qu’elle a emmené je ne sais où. Si celle-ci ne venait plus, le petit oisillon irait au centre de soins de la LPO avec lequel je suis en contact.
Voilà mon petit bonheur du jour, mon bonheur sera complet lorsque ce petit oisillon aura quitté mon balcon.
Les petites mésanges bleues occupant un nichoir que nous avons installé sur notre balcon en ville, sont sorties ce matin. Nous avons vérifié le nid et y avons trouvé un petit cadavre et un œuf non fécondé. Les autres oisillons ont eu la chance s’envoler. Une heure plus tard, nous entendons de petits tit tit tit sur le balcon. Bizarre….. un doute nous vient à l’esprit, nous débarrassons quelques jardinières et autres objets encombrant le balcon et y découvrons le petit mimi que voici.

Nous le mettons dans un grand carton que nous posons à côté d’une mangeoire garnie de poudre d’amandes que depuis des années nous n’enlevons jamais avant l’envol des oisillons. Les parents venaient littéralement « paner » leurs asticots avant de les donner à la couvée.
Le miracle est que la maman vient nourrir son petit dans le carton.
J’espère que d’ici deux jours ou trois ce petit aura pris les forces nécessaires pour voler de ses propres ailes.
En attendant je surveille discrètement les allées et venues de la maman, qui doit se partager entre le petit retardataire et les autres oisillons qu’elle a emmené je ne sais où. Si celle-ci ne venait plus, le petit oisillon irait au centre de soins de la LPO avec lequel je suis en contact.
Voilà mon petit bonheur du jour, mon bonheur sera complet lorsque ce petit oisillon aura quitté mon balcon.