Laurier rose bien mal en point ...
-
- Graine de timide
- Messages : 2
- Inscription : dim. 14 août 2011 15:53
- Région : Ile de France
Laurier rose bien mal en point ...
Bonjour à tous,
J'ai pas bien eu le temps de m'occuper de mon laurier Rose ces temps-ci et le pauvre ne va pas bien du tout ... Je me demande si ce ne sont pas des cochenilles qui prennent soin de lui ? A ce point il faut mieux que je le taille sévèrement non ?
Merci pour vos conseils avisés
J'ai pas bien eu le temps de m'occuper de mon laurier Rose ces temps-ci et le pauvre ne va pas bien du tout ... Je me demande si ce ne sont pas des cochenilles qui prennent soin de lui ? A ce point il faut mieux que je le taille sévèrement non ?
Merci pour vos conseils avisés
- Meritaton
- Seigneur des paquerettes
- Messages : 7204
- Inscription : dim. 11 mai 2008 21:40
- Région : Centre
- Localisation : Touraine Indre et Loire
Re: Laurier rose bien mal en point ...
Bonjour
Moi je pencherais plutôt pour des tétranyques c'est une saloperie ces trucs là elles m'ont presque destroyé un bananier nain entre autre j'ai même collé mes brugmansias à la benne à ordure à cause de ça. Les cochenilles ne font pas de toiles comme ça.
d'autres avis vont sûrement arriver
en attendant voilà la description des tétranyques :
Nom : Tétranyque à deux points - Tétranyques tisserants
Nom latin : Tetranychus urticae
Nom commun anglais : Two-Spotted Spider Mite
Les tétranyques à deux points ne sont pas de véritables insectes mais des acariens, tout comme les mites et les tiques. Avec leurs quatre paires de pattes, ils ressemblent à de minuscules araignées. Leur taille microscopique les rend difficiles à dépister mais ils tissent de fines toiles blanchâtres qui révèlent leur présence. Ces petits parasites peuvent nuire considérablement à une multitude de plantes ornementales et fruitières. Une infestation sévère non contrôlée peut entraîner la chute des feuilles et le dépérissement rapide des végétaux, surtout par temps chaud et sec.
Plantes hôtes : Plusieurs plantes ligneuses ornementales et fruitières : aubépine, caraganier, cerisier, érable, févier, frêne, gadelier, genévrier, hydrangée, orme, peuplier, pommetier, pommier, potentille, prunier, laurier, rosier, saule, sureau, tilleul, vigne,etc...
Plusieurs plantes herbacées ornementales : achillée, aconit, capucine, célosie, centaurée, clématite, cosmos, chrysanthème, dahlia, dicentre, digitale, heuchère, hibiscus, lavande, œillet, pensée, pied d’alouette, phlox, ricin, rose trémière, verveine et violette, etc.....
Signes et symptômes : -
À peine visibles à l’œil nu, les tétranyques à deux points sont difficiles à détecter, mais certains signes révèlent leur présence.- Les dommages se manifestent d’abord sur les jeunes pousses tendres gorgées de sève ; à l'aide de leurs pièces buccales, les tétranyques aspirent le contenu des cellules végétales.- Lors d'une infestation bénigne, des petits points jaunâtres puis des taches pâles marquent le dessus des feuilles.- Lors d'une attaque sévère, les feuilles jaunissent complètement ou prennent un reflet bronzé ou argenté ; on peut voir de très fines toiles blanchâtres tissées sous les feuilles et entre les rameaux des nouvelles pousses ; les feuilles trop atteintes sèchent et tombent prématurément.- Les plantes infestées manifestent un retard de croissance ; les fruits sont plus petits et tombent avant d'atteindre la maturité ; une forte infestation peut nuire à la nouaison des fruits de l'année ainsi qu'à la formation des bourgeons à fruits de l'année suivante.
Description et cycle de développement :
Les tétranyques à deux points font partie de la classe des Arachnides, comme les araignées, et de l’ordre des Acariens, comme les mites et les tiques. Avant de devenir adultes, ils passent par le stade d’œufs, de larves et de nymphes.Œufs : Ils sont de forme globulaire et ont un diamètre d’environ 0,13 mm. Ils sont translucides à la ponte, mais deviennent jaune paille avant d’éclore. Larves et nymphes : Elles sont semblables aux adultes, mais elles sont plus petites. Les nymphes sont pourvues de huit pattes tandis que les larves en ont six, tout comme les insectes.Adultes : Ils possèdent un corps globuleux, plus ou moins translucide, de couleur verdâtre ou jaunâtre marqué de deux taches dorsales plus sombres. Ils ont 4 paires de pattes, mais sont dépourvus d’ailes et d’antennes. Les femelles mesurent environ 0,3 mm et les mâles sont un peu plus petits. Les femelles hivernantes prennent une couleur orangée avec des reflets verts. Les femelles adultes passent l'hiver sur les arbres, abritées entre les écailles des bourgeons et les fissures de l'écorce ou sur les débris végétaux tombés au sol.Au début du printemps, elles se réactivent. Au cours de leur courte vie (deux mois environ), elles peuvent pondre un total de cent à deux cent œufs qu'elles fixent sous les feuilles. L'incubation dure entre cinq et vingt jours, selon la température. Suite à l’éclosion des œufs, les jeunes larves migrent vers les nouvelles feuilles pour se nourrir et deviennent adultes en dix à vingt jours. Plus la température est élevée, plus le cycle biologique est rapide. Selon les conditions climatiques, il peut y avoir une succession de 5 à 9 générations par année. Généralement, les populations atteignent leur maximum vers la fin du mois de juillet et au début d’août.À l’automne, les femelles fécondées prennent une couleur orangée et se regroupent en colonies, sur les plantes ou au sol, pour passer l'hiver.
Conditions favorables :
Les tétranyques à deux points se multiplient plus rapidement par temps chaud et sec, dans les sites peu aérés. Les automnes et les hivers cléments les favorisent ainsi que toutes les interventions qui stimulent la croissance de pousses tendres comme les tailles drastiques et les excès d’engrais riche en azote.
Dépistage :
À l’aide d’une loupe, examiner soigneusement le dessous des feuilles, particulièrement les jeunes pousses tendres. Vaporiser de l’eau sur le feuillage et les tiges pour mettre en évidence les fines toiles.
Mesures préventives : -
Maintenir les plantes vigoureuses en les fertilisant de façon équilibrée, en les taillant adéquatement et en les arrosant en période de sécheresse.- Éviter les excès d’engrais azotés et les tailles trop sévères qui favorisent la prolifération de nouvelles pousses tendres, plus vulnérables.- Maintenir le site exempt de débris végétaux.
Méthodes d'intervention :
Contrôle physique :
- Durant la saison de croissance, ratisser les feuilles et les fruits à mesure qu'ils tombent au sol pour réduire les infestations secondaires. - Tailler et détruire les pousses trop infestées.- Arroser copieusement le feuillage, le tronc et les branches avec un jet d’eau puissant pour déloger les tétranyques et augmenter le taux d’humidité.- En période de canicule, asperger régulièrement le feuillage des plantes sensibles pour maintenir le taux d’humidité élevé. - Faire les arrosages tôt le matin pour permettre au feuillage de sécher durant le jour ; éviter toutefois les excès d’eau car cette pratique peut aussi contribuer à augmenter l’incidence des maladies fongiques. - À l'automne, ramasser tous les débris végétaux pour réduire la population hivernante, la première source d'infestation au printemps ; éviter de composter des résidus infestés.
Contrôle biologique :
-Favoriser la présence de prédateurs naturels (punaises, coccinelles, larves de syrphes, acariens prédateurs) en augmentant la diversité des plantes au jardin.
Contrôle chimique :
-En dernier recours, utiliser un pesticide à faible impact dont l’ingrédient actif est le savon insecticide ou l’huile minérale (huile horticole). Lire attentivement l’étiquette du produit et suivre les recommandations du fabricant.
Lutte curative
Des moyens efficaces pour combattre la maladie ou le nuisible qui ronge votre plante.
Lutte préventive
Des moyens efficaces pour prévenir toute nouvelle attaque de la maladie ou des nuisibles qui se sont déjà attaqué à vos plantes ou qui risquent de recommencer.
Gestes de culture
Vous pouvez vaporiser de l'eau et de la tisane froide sur la plante. N'oubliez pas d'aérer les lieux clos. Appliquez une solution à base de purin d'ortie, de purin de consoude, de purin d'absynthe ou de décoction de tabac.
Méthodes douces
Introduire d'autres acariens prédateurs comme l'amblyseius californicus ou le phytoseiulus persimilis ( araignées rouges ) notamment dans les serres et les vérandas. Vous pouvez vaporiser de l'eau et de la tisane froide sur la plante. N'oubliez pas d'aérer les lieux clos. Appliquez une solution à base de purin d'ortie, de purin de consoude, de purin
Moi je pencherais plutôt pour des tétranyques c'est une saloperie ces trucs là elles m'ont presque destroyé un bananier nain entre autre j'ai même collé mes brugmansias à la benne à ordure à cause de ça. Les cochenilles ne font pas de toiles comme ça.
d'autres avis vont sûrement arriver


en attendant voilà la description des tétranyques :
Nom : Tétranyque à deux points - Tétranyques tisserants
Nom latin : Tetranychus urticae
Nom commun anglais : Two-Spotted Spider Mite
Les tétranyques à deux points ne sont pas de véritables insectes mais des acariens, tout comme les mites et les tiques. Avec leurs quatre paires de pattes, ils ressemblent à de minuscules araignées. Leur taille microscopique les rend difficiles à dépister mais ils tissent de fines toiles blanchâtres qui révèlent leur présence. Ces petits parasites peuvent nuire considérablement à une multitude de plantes ornementales et fruitières. Une infestation sévère non contrôlée peut entraîner la chute des feuilles et le dépérissement rapide des végétaux, surtout par temps chaud et sec.
Plantes hôtes : Plusieurs plantes ligneuses ornementales et fruitières : aubépine, caraganier, cerisier, érable, févier, frêne, gadelier, genévrier, hydrangée, orme, peuplier, pommetier, pommier, potentille, prunier, laurier, rosier, saule, sureau, tilleul, vigne,etc...
Plusieurs plantes herbacées ornementales : achillée, aconit, capucine, célosie, centaurée, clématite, cosmos, chrysanthème, dahlia, dicentre, digitale, heuchère, hibiscus, lavande, œillet, pensée, pied d’alouette, phlox, ricin, rose trémière, verveine et violette, etc.....
Signes et symptômes : -
À peine visibles à l’œil nu, les tétranyques à deux points sont difficiles à détecter, mais certains signes révèlent leur présence.- Les dommages se manifestent d’abord sur les jeunes pousses tendres gorgées de sève ; à l'aide de leurs pièces buccales, les tétranyques aspirent le contenu des cellules végétales.- Lors d'une infestation bénigne, des petits points jaunâtres puis des taches pâles marquent le dessus des feuilles.- Lors d'une attaque sévère, les feuilles jaunissent complètement ou prennent un reflet bronzé ou argenté ; on peut voir de très fines toiles blanchâtres tissées sous les feuilles et entre les rameaux des nouvelles pousses ; les feuilles trop atteintes sèchent et tombent prématurément.- Les plantes infestées manifestent un retard de croissance ; les fruits sont plus petits et tombent avant d'atteindre la maturité ; une forte infestation peut nuire à la nouaison des fruits de l'année ainsi qu'à la formation des bourgeons à fruits de l'année suivante.
Description et cycle de développement :
Les tétranyques à deux points font partie de la classe des Arachnides, comme les araignées, et de l’ordre des Acariens, comme les mites et les tiques. Avant de devenir adultes, ils passent par le stade d’œufs, de larves et de nymphes.Œufs : Ils sont de forme globulaire et ont un diamètre d’environ 0,13 mm. Ils sont translucides à la ponte, mais deviennent jaune paille avant d’éclore. Larves et nymphes : Elles sont semblables aux adultes, mais elles sont plus petites. Les nymphes sont pourvues de huit pattes tandis que les larves en ont six, tout comme les insectes.Adultes : Ils possèdent un corps globuleux, plus ou moins translucide, de couleur verdâtre ou jaunâtre marqué de deux taches dorsales plus sombres. Ils ont 4 paires de pattes, mais sont dépourvus d’ailes et d’antennes. Les femelles mesurent environ 0,3 mm et les mâles sont un peu plus petits. Les femelles hivernantes prennent une couleur orangée avec des reflets verts. Les femelles adultes passent l'hiver sur les arbres, abritées entre les écailles des bourgeons et les fissures de l'écorce ou sur les débris végétaux tombés au sol.Au début du printemps, elles se réactivent. Au cours de leur courte vie (deux mois environ), elles peuvent pondre un total de cent à deux cent œufs qu'elles fixent sous les feuilles. L'incubation dure entre cinq et vingt jours, selon la température. Suite à l’éclosion des œufs, les jeunes larves migrent vers les nouvelles feuilles pour se nourrir et deviennent adultes en dix à vingt jours. Plus la température est élevée, plus le cycle biologique est rapide. Selon les conditions climatiques, il peut y avoir une succession de 5 à 9 générations par année. Généralement, les populations atteignent leur maximum vers la fin du mois de juillet et au début d’août.À l’automne, les femelles fécondées prennent une couleur orangée et se regroupent en colonies, sur les plantes ou au sol, pour passer l'hiver.
Conditions favorables :
Les tétranyques à deux points se multiplient plus rapidement par temps chaud et sec, dans les sites peu aérés. Les automnes et les hivers cléments les favorisent ainsi que toutes les interventions qui stimulent la croissance de pousses tendres comme les tailles drastiques et les excès d’engrais riche en azote.
Dépistage :
À l’aide d’une loupe, examiner soigneusement le dessous des feuilles, particulièrement les jeunes pousses tendres. Vaporiser de l’eau sur le feuillage et les tiges pour mettre en évidence les fines toiles.
Mesures préventives : -
Maintenir les plantes vigoureuses en les fertilisant de façon équilibrée, en les taillant adéquatement et en les arrosant en période de sécheresse.- Éviter les excès d’engrais azotés et les tailles trop sévères qui favorisent la prolifération de nouvelles pousses tendres, plus vulnérables.- Maintenir le site exempt de débris végétaux.
Méthodes d'intervention :
Contrôle physique :
- Durant la saison de croissance, ratisser les feuilles et les fruits à mesure qu'ils tombent au sol pour réduire les infestations secondaires. - Tailler et détruire les pousses trop infestées.- Arroser copieusement le feuillage, le tronc et les branches avec un jet d’eau puissant pour déloger les tétranyques et augmenter le taux d’humidité.- En période de canicule, asperger régulièrement le feuillage des plantes sensibles pour maintenir le taux d’humidité élevé. - Faire les arrosages tôt le matin pour permettre au feuillage de sécher durant le jour ; éviter toutefois les excès d’eau car cette pratique peut aussi contribuer à augmenter l’incidence des maladies fongiques. - À l'automne, ramasser tous les débris végétaux pour réduire la population hivernante, la première source d'infestation au printemps ; éviter de composter des résidus infestés.
Contrôle biologique :
-Favoriser la présence de prédateurs naturels (punaises, coccinelles, larves de syrphes, acariens prédateurs) en augmentant la diversité des plantes au jardin.
Contrôle chimique :
-En dernier recours, utiliser un pesticide à faible impact dont l’ingrédient actif est le savon insecticide ou l’huile minérale (huile horticole). Lire attentivement l’étiquette du produit et suivre les recommandations du fabricant.
Lutte curative
Des moyens efficaces pour combattre la maladie ou le nuisible qui ronge votre plante.
Lutte préventive
Des moyens efficaces pour prévenir toute nouvelle attaque de la maladie ou des nuisibles qui se sont déjà attaqué à vos plantes ou qui risquent de recommencer.
Gestes de culture
Vous pouvez vaporiser de l'eau et de la tisane froide sur la plante. N'oubliez pas d'aérer les lieux clos. Appliquez une solution à base de purin d'ortie, de purin de consoude, de purin d'absynthe ou de décoction de tabac.
Méthodes douces
Introduire d'autres acariens prédateurs comme l'amblyseius californicus ou le phytoseiulus persimilis ( araignées rouges ) notamment dans les serres et les vérandas. Vous pouvez vaporiser de l'eau et de la tisane froide sur la plante. N'oubliez pas d'aérer les lieux clos. Appliquez une solution à base de purin d'ortie, de purin de consoude, de purin
La Nature ne fait jamais rien en vain " Aristote"
-
- Graine de timide
- Messages : 2
- Inscription : dim. 14 août 2011 15:53
- Région : Ile de France
Re: Laurier rose bien mal en point ...
Effectivement la description semble bien correspondre à mon problème !! Toutes les feuilles sèches et tombent. Je vais commencer par vite les ramasser, tailler légèrement, et vaporiser de l'eau sur ma plante pour commencer !
Merci Méritaton, j'attends d'autres avis pour voir si ça se confirme.
Merci Méritaton, j'attends d'autres avis pour voir si ça se confirme.
- Landscaper 31
- Fruit de la jacasse
- Messages : 1404
- Inscription : jeu. 07 janv. 2010 16:30
- Région : Midi-Pyrénées
Re: Laurier rose bien mal en point ...
Bonjour,
Affirmatif c'est bien du tetranyque.
Amicalement.
Affirmatif c'est bien du tetranyque.
Amicalement.
Le bout du monde et le fond du jardin contiennent la même quantité de merveilles.
- Meritaton
- Seigneur des paquerettes
- Messages : 7204
- Inscription : dim. 11 mai 2008 21:40
- Région : Centre
- Localisation : Touraine Indre et Loire
Re: Laurier rose bien mal en point ...
C'est pas facile à éradiquer , j'ai toujours une ou deux plantes qui en "pêchent" c'est une saloperie, est-ce que quelqu'un connaît un moyen efficace de leur faire la peau
vaporiser c'est bien beau mais certaines plantes n'aiment pas ça.
Par contre je n'avais pas pensé à la décoction de tabac qui est mentionnée dans le document que j'ai mis, c'était la potion magique de ma grand-mère pour toutes les bestioles des plantes, et c'est vrai que ça fonctionait plutôt bien, en particulier pour les pucerons, mais bon.. faut se boucher le nez et être dehors quand on vaporise, ça pue un max. mais pour une fois que le tabac fait du bien à quelque chose
et puis quelquefois elle rajoutait 2 ou 3 gousses d'ail pilées quand les bestioles étaient très coriaces
ça agrémentait l'odeur
Pour ceux que ça intéresse c'est un paquet de tabac que l'on fait macérer dans un litre d'eau pendant 8/12 j.avant de l'utiliser et on vaporise la plante attaquée.
Et c'est pas trop la peine de fermer trop hermétiquement car ça fermente là -dedans et quand le bouchon saute et qu'on en prend plein le nez, c'est la douche vite fait pour ne pas empester tout l'entourage


Par contre je n'avais pas pensé à la décoction de tabac qui est mentionnée dans le document que j'ai mis, c'était la potion magique de ma grand-mère pour toutes les bestioles des plantes, et c'est vrai que ça fonctionait plutôt bien, en particulier pour les pucerons, mais bon.. faut se boucher le nez et être dehors quand on vaporise, ça pue un max. mais pour une fois que le tabac fait du bien à quelque chose




Pour ceux que ça intéresse c'est un paquet de tabac que l'on fait macérer dans un litre d'eau pendant 8/12 j.avant de l'utiliser et on vaporise la plante attaquée.
Et c'est pas trop la peine de fermer trop hermétiquement car ça fermente là -dedans et quand le bouchon saute et qu'on en prend plein le nez, c'est la douche vite fait pour ne pas empester tout l'entourage


La Nature ne fait jamais rien en vain " Aristote"