rosier malade
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MERCI par avance pour votre aide
DELYNE
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- Grossiste en parlotte
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Non. Personne n'est obligé de "se résoudre à passer par le chimique de temps en temps".vanzetti a écrit :(...) il faut te résoudre à passer par le chimique de temps en temps.
Si on accordait plus d'importance au choix des plantes et aux conditions de culture qu'on est en mesure de leur proposer, si on laissait aux auxiliaires le temps (et la possibilité !) de s'installer et qu'on ne sortait pas l'artillerie lourde dès qu'on voit 3 pucerons ou un peu d'oïdium, si on s'intéressait davantage aux causes qu'aux conséquences des maladies, on pourrait parfaitement se passer de la chimie de synthèse.
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- Fleur de pipelette
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Il me semble que le souffre est "considéré" comme un produit bio tout comme la bouillie bordelaise... Quoi que.
Chez moi mes rosiers sont suffisament espacés et aérés, je n'arrose jamais les feuilles, je ramasse les feuilles malades et je les brûle il y a une chose que je ne maitrise pas, c'est la météo, alors quand il fait chaud et humide, malgré tous mes soins, mes rosiers chopent l'oîdium, alors je les traite parceque je ne veux pas les voire crever.
Quel est ce précieux auxiliaire qui s'attaque a l'oîdium?
Chez moi mes rosiers sont suffisament espacés et aérés, je n'arrose jamais les feuilles, je ramasse les feuilles malades et je les brûle il y a une chose que je ne maitrise pas, c'est la météo, alors quand il fait chaud et humide, malgré tous mes soins, mes rosiers chopent l'oîdium, alors je les traite parceque je ne veux pas les voire crever.
Quel est ce précieux auxiliaire qui s'attaque a l'oîdium?
Rien ne vit qui n'ait germé
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- Grossiste en parlotte
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Tout est chimie(/que), il convient simplement de différencier chimie "naturelle" et chimie de synthèse. La bouillie bordelaise, par exemple, a beau être considérée comme "bio", il n'empêche qu'à fortes doses et/ou traitements répétés, elle n'est pas sans conséquence pour l'environnement.cauchois a écrit :Il me semble que le souffre est "considéré" comme un produit bio tout comme la bouillie bordelaise... Quoi que.
Eh oui. Mais un jardin n'est pas un musée où chaque plante se doit d'être tirée à quatre épingles. Les plantes vivent, les plantes meurent, certaines sont en bonne santé, d'autres malades, c'est comme ça, c'est la vie.Chez moi mes rosiers sont suffisament espacés et aérés, je n'arrose jamais les feuilles, je ramasse les feuilles malades et je les brûle il y a une chose que je ne maitrise pas, c'est la météo, alors quand il fait chaud et humide, malgré tous mes soins, mes rosiers chopent l'oîdium, alors je les traite parceque je ne veux pas les voire crever.
Aucun, bien évidemment. C'est pour cette raison que je parlais de choix de plantes et de conditions de culture. Certains rosiers sont plus sensibles que d'autres, une plante en pot (même si ce n'est pas le cas pour Delyne apparemment) est fatalement plus fragile, etc., etc.Quel est ce précieux auxiliaire qui s'attaque a l'oîdium?
Si tu plantes un rosier que systématiquement, chaque année, tu dois traiter contre l'oïdium, ou lui mettre un parapluie quand il pleut, je n'appelle pas ça guérir une maladie mais de l'acharnement thérapeutique. Il me semble plus judicieux de planter un autre rosier mieux adapté au lieu.
merci à tous de la part de Delyne

Si ce n'était pas la crainte que cet oïdium le fasse crever d'épuisement en fin de saison, je serais tentée de ne rien faire.
Il a eu de la bouillie bordelaise en temps voulu et des vaporisation de purin d'ortie.
Comme il était dans ce jardin bien avant que j'y arrive, je ne connais rien de lui.
Par contre, tous ceux que j'ai planté moi-même sont en pleine forme...