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rosier malade

Publié : lun. 30 mai 2005 11:46
par DELYNE
:cry: mon rosier grimpant est en fleurs et elles sont belles mais pour la première fois, les feuilles sont recouvertes d'une sorte de moisissure que je pense être de l'oïdium - Comment soigner d'une façon non chimique ?

MERCI par avance pour votre aide

DELYNE

Publié : lun. 30 mai 2005 12:24
par cauchois
Une solution de souffre

Publié : mar. 31 mai 2005 18:00
par DELYNE
:D Merci, je vais essayer !

Publié : mar. 31 mai 2005 22:21
par vanzetti
Tu peux aussi mettre de l'anti-oÏdium systémique liquide.
Mais de toute façon, il faut te résoudre à passer par le chimique de temps en temps. 8)

Publié : jeu. 02 juin 2005 12:02
par DELYNE
Merci vanzetti, je vais faire pour le mieux !!!

Publié : jeu. 02 juin 2005 12:20
par Sylvain
vanzetti a écrit :(...) il faut te résoudre à passer par le chimique de temps en temps.
Non. Personne n'est obligé de "se résoudre à passer par le chimique de temps en temps".

Si on accordait plus d'importance au choix des plantes et aux conditions de culture qu'on est en mesure de leur proposer, si on laissait aux auxiliaires le temps (et la possibilité !) de s'installer et qu'on ne sortait pas l'artillerie lourde dès qu'on voit 3 pucerons ou un peu d'oïdium, si on s'intéressait davantage aux causes qu'aux conséquences des maladies, on pourrait parfaitement se passer de la chimie de synthèse.

Publié : jeu. 02 juin 2005 12:48
par cauchois
Il me semble que le souffre est "considéré" comme un produit bio tout comme la bouillie bordelaise... Quoi que.
Chez moi mes rosiers sont suffisament espacés et aérés, je n'arrose jamais les feuilles, je ramasse les feuilles malades et je les brûle il y a une chose que je ne maitrise pas, c'est la météo, alors quand il fait chaud et humide, malgré tous mes soins, mes rosiers chopent l'oîdium, alors je les traite parceque je ne veux pas les voire crever.
Quel est ce précieux auxiliaire qui s'attaque a l'oîdium?

Publié : jeu. 02 juin 2005 13:11
par Sylvain
cauchois a écrit :Il me semble que le souffre est "considéré" comme un produit bio tout comme la bouillie bordelaise... Quoi que.
Tout est chimie(/que), il convient simplement de différencier chimie "naturelle" et chimie de synthèse. La bouillie bordelaise, par exemple, a beau être considérée comme "bio", il n'empêche qu'à fortes doses et/ou traitements répétés, elle n'est pas sans conséquence pour l'environnement.
Chez moi mes rosiers sont suffisament espacés et aérés, je n'arrose jamais les feuilles, je ramasse les feuilles malades et je les brûle il y a une chose que je ne maitrise pas, c'est la météo, alors quand il fait chaud et humide, malgré tous mes soins, mes rosiers chopent l'oîdium, alors je les traite parceque je ne veux pas les voire crever.
Eh oui. Mais un jardin n'est pas un musée où chaque plante se doit d'être tirée à quatre épingles. Les plantes vivent, les plantes meurent, certaines sont en bonne santé, d'autres malades, c'est comme ça, c'est la vie.
Quel est ce précieux auxiliaire qui s'attaque a l'oîdium?
Aucun, bien évidemment. C'est pour cette raison que je parlais de choix de plantes et de conditions de culture. Certains rosiers sont plus sensibles que d'autres, une plante en pot (même si ce n'est pas le cas pour Delyne apparemment) est fatalement plus fragile, etc., etc.

Si tu plantes un rosier que systématiquement, chaque année, tu dois traiter contre l'oïdium, ou lui mettre un parapluie quand il pleut, je n'appelle pas ça guérir une maladie mais de l'acharnement thérapeutique. Il me semble plus judicieux de planter un autre rosier mieux adapté au lieu.

Publié : jeu. 02 juin 2005 15:18
par cauchois
Voilà! il fallait commencer par là, bio est # d'écolo. Là nous sommes d'accord.

merci à tous de la part de Delyne

Publié : mar. 07 juin 2005 1:09
par DELYNE
:D J'ai apprécié tous vos échanges au sujet de mon rosier "oïdiumé" - Je ne l'ai toujours pas traité mais je dois reçevoir d'un jour à l'autre un truc à base de soufre de chez Magellan - En tous les cas, l'oïdium ne semble pas l'affecter pour fleurir, il déborde même de fleurs et de boutons.
Si ce n'était pas la crainte que cet oïdium le fasse crever d'épuisement en fin de saison, je serais tentée de ne rien faire.
Il a eu de la bouillie bordelaise en temps voulu et des vaporisation de purin d'ortie.
Comme il était dans ce jardin bien avant que j'y arrive, je ne connais rien de lui.
Par contre, tous ceux que j'ai planté moi-même sont en pleine forme...