jardin humide
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Daniel d'Aillon
- Grossiste en parlotte
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- Région : Bourgogne
jardin humide
S’agit il d’un état passager ou durable ?
Il faut observer cela sur au moins une année. Il faut aussi vérifier que cet état n’est pas du à un remue ménage qui ne doit rien à la nature. Une route sur remblai peut priver un vallon d son écoulement naturel même si en principe aujourd’hui cela est pris en compte. Le sol en place peut ne pas correspondre encore à l’inondation qu’il reçoit désormais et dans ce cas il faudrait mieux chercher à rétablir l’équilibre initial.
Les fonds de vallon, et les abords d’un cours d’eau, à l’accumulation de déchets végétaux d’origine alluviale, avec la nappe phréatique peu éloignée de la surface sont les terrains humides. Les abords d’une source, aussi.
Caractérisés par les typhas, roseaux, calthas, saules, aulnes, peupliers, iris d’eau, reine des près filipendula ulmaria. Des sols souvent acides.
La solution du drainage doit être soupesée. Un lever de plan déterminera l’ampleur des travaux nécessaire et le meilleur parti à prendre. En cas de drainage impossible, il faudra soit planter en conséquence, soit envisager de remonter le niveau du sol.
Par la culture sur « billons » qui se fait en creusant des fossés dont les déblais feront les parties surélevées. (Voir le post sur les labours).
En constituant des îlots surélevés.
En recouvrant la terre d’une couche de sable rapportée et de terre végétale.
D’une façon générale, prendre garde à la repousse de la végétation existante.
Au potager, si l’eau reste à moins 40 cm, c’est seulement l’acidité du sol qui posera problème auquel on répondra par un chaulage.
Pelouse : contrôler l’acidité du sol. Les repousses doivent avoir entièrement disparues avant de semer. Mélange de graines adaptées.
Verger : surveiller l’acidité du sol et veiller à ce que la nappe phréatique soit au moins 60 cm en dessous du niveau du sol. Le niveau de la nappe est un problème. I peut asphyxier les racines. Et quelques mois plus tard, le niveau trop bas peut priver les racines d’eau.
Arbres et arbustes.
Aulnes, peupliers, saules, amélanchiers, cléthras, sorbiers des oiseaux, sureaux, Nyssa, sassafra,
Pyllostachys, arundinaria, cyprès chauves, métaséquoias chinois,
Pour cornus florida et les rhododendrons, maintenir la nappe phréatique à moins 50 cm
Vivaces : iris de kaempfer, reine des près, arums, ligularia, hosta, primevères du japon ; meconopsis , fougères royales (osmunda regalis) gunnera.
Il faut observer cela sur au moins une année. Il faut aussi vérifier que cet état n’est pas du à un remue ménage qui ne doit rien à la nature. Une route sur remblai peut priver un vallon d son écoulement naturel même si en principe aujourd’hui cela est pris en compte. Le sol en place peut ne pas correspondre encore à l’inondation qu’il reçoit désormais et dans ce cas il faudrait mieux chercher à rétablir l’équilibre initial.
Les fonds de vallon, et les abords d’un cours d’eau, à l’accumulation de déchets végétaux d’origine alluviale, avec la nappe phréatique peu éloignée de la surface sont les terrains humides. Les abords d’une source, aussi.
Caractérisés par les typhas, roseaux, calthas, saules, aulnes, peupliers, iris d’eau, reine des près filipendula ulmaria. Des sols souvent acides.
La solution du drainage doit être soupesée. Un lever de plan déterminera l’ampleur des travaux nécessaire et le meilleur parti à prendre. En cas de drainage impossible, il faudra soit planter en conséquence, soit envisager de remonter le niveau du sol.
Par la culture sur « billons » qui se fait en creusant des fossés dont les déblais feront les parties surélevées. (Voir le post sur les labours).
En constituant des îlots surélevés.
En recouvrant la terre d’une couche de sable rapportée et de terre végétale.
D’une façon générale, prendre garde à la repousse de la végétation existante.
Au potager, si l’eau reste à moins 40 cm, c’est seulement l’acidité du sol qui posera problème auquel on répondra par un chaulage.
Pelouse : contrôler l’acidité du sol. Les repousses doivent avoir entièrement disparues avant de semer. Mélange de graines adaptées.
Verger : surveiller l’acidité du sol et veiller à ce que la nappe phréatique soit au moins 60 cm en dessous du niveau du sol. Le niveau de la nappe est un problème. I peut asphyxier les racines. Et quelques mois plus tard, le niveau trop bas peut priver les racines d’eau.
Arbres et arbustes.
Aulnes, peupliers, saules, amélanchiers, cléthras, sorbiers des oiseaux, sureaux, Nyssa, sassafra,
Pyllostachys, arundinaria, cyprès chauves, métaséquoias chinois,
Pour cornus florida et les rhododendrons, maintenir la nappe phréatique à moins 50 cm
Vivaces : iris de kaempfer, reine des près, arums, ligularia, hosta, primevères du japon ; meconopsis , fougères royales (osmunda regalis) gunnera.
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zephirine
- Pépinière à blabla
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- Inscription : jeu. 20 févr. 2003 11:23
- Région : Rhone Alpes
- Localisation : Nord-Isère
Tu en as oublié 2, très importantes pour le jardin humide : les serpillères et les éponges...
Incorrigible....je sais...t'énerve???j'espère que pas trop...
N'empêche, ce serait peut-être joli, un arbre à serpillières...et utile aussi ! Tu crois que c'est un persistant? Ou que les serpillères finissent par tomber toutes seules sur le sol...humide donc...ah...ça a ses avantages aussi...j'en mettrais bien un en pot dans ma cuisine...
Zéphirine...noooon...pas sur la tête !!!
Incorrigible....je sais...t'énerve???j'espère que pas trop...
N'empêche, ce serait peut-être joli, un arbre à serpillières...et utile aussi ! Tu crois que c'est un persistant? Ou que les serpillères finissent par tomber toutes seules sur le sol...humide donc...ah...ça a ses avantages aussi...j'en mettrais bien un en pot dans ma cuisine...
Zéphirine...noooon...pas sur la tête !!!
