déplacer un céanothe
- soso56
- Graine de timide
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déplacer un céanothe
bonjour à toutes et tous,
Quelle mine d'info sur ce forum !! BRAVO.
Du coup, j'en profite car j'ai un souci pour déplacer un céanothe rempant bien installé depuis 3 ans. Il est rempli de bourgeons et j'ai peur qu'en le déplaçant maintenant, il ne fasse pas ses fleurs.
Merci à tous ceux qui pourront me renseigner.
Quelle mine d'info sur ce forum !! BRAVO.
Du coup, j'en profite car j'ai un souci pour déplacer un céanothe rempant bien installé depuis 3 ans. Il est rempli de bourgeons et j'ai peur qu'en le déplaçant maintenant, il ne fasse pas ses fleurs.
Merci à tous ceux qui pourront me renseigner.
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- Grossiste en parlotte
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- Localisation : Nord de la Loire, climat océanique atténué, zone (7) 8
Sachant que que d'une part, c'est un arbuste qui ne vit pas très longtemps et que d'autre part, 3 ans, c'est beaucoup (la motte doit être importante et difficilement transplantable intacte), je me demande s'il ne serait pas plus judicieux d'en planter un nouveau à l'emplacement choisi et de laisser celui-là tranquille.
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- Grossiste en parlotte
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Chaque plante est un cas particulier. Je disais que le céanothe rampant (Ceanothus thyrsiflorus var. repens) ne vivait pas longtemps mais un fusain (Euonymus sp.) n'est pas un céanothe.
Alors ça dépend de quel fusain il s'agit (notamment persistant ou caduc), de son âge et de la date de sa première plantation, de la taille de la motte qu'on peut faire, etc.
S'il s'agit d'un fusain caduc (Euonymus europaeus, E. alatus, E. planipes...), qu'il est de taille "transplantable" et qu'il n'est pas encore en feuilles, je tenterais (mais en me dépéchant). S'il s'agit d'un fusain persistant (Euonymus japonicus, E. fortunei, E. myrianthus...), je tenterais aussi mais en attendant peut-être quelques jours, après la énième vague de froid de cette fin d'hiver.
Alors ça dépend de quel fusain il s'agit (notamment persistant ou caduc), de son âge et de la date de sa première plantation, de la taille de la motte qu'on peut faire, etc.
S'il s'agit d'un fusain caduc (Euonymus europaeus, E. alatus, E. planipes...), qu'il est de taille "transplantable" et qu'il n'est pas encore en feuilles, je tenterais (mais en me dépéchant). S'il s'agit d'un fusain persistant (Euonymus japonicus, E. fortunei, E. myrianthus...), je tenterais aussi mais en attendant peut-être quelques jours, après la énième vague de froid de cette fin d'hiver.
- jeannotin
- Roi du massif
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bonjour à tous
pour le ceanothus je suis un peu de l'avis de Sylvain....mais il y a une question que je me pose toujours pourquoi penser a déplacer au printemps alors que l'on peut le faire avec moins de risques à l'automne.... il y a des cas d'absolue nécessité c'est vrai !mais dans les autres cas.....déplacer à cette période condamne a arroser comme une plante nouvellement plantée il faut y penser
pour le ceanothus je suis un peu de l'avis de Sylvain....mais il y a une question que je me pose toujours pourquoi penser a déplacer au printemps alors que l'on peut le faire avec moins de risques à l'automne.... il y a des cas d'absolue nécessité c'est vrai !mais dans les autres cas.....déplacer à cette période condamne a arroser comme une plante nouvellement plantée il faut y penser

Un jardin c'est comme une partition de musique ça se pense, ça se couche sur le papier, ça se joue et ça s'écoute!
Josy
http://josy-jardin-eden.space-blogs.com/
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- Grossiste en parlotte
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- Localisation : Nord de la Loire, climat océanique atténué, zone (7) 8
Dans ta région, oui, parce que les hivers sont rarement longs et rigoureux. Mais plus au nord, déplacer un persistant en limite de rusticité* en automne est parfois un risque à prendre. Pour les caducs, je suis d'accord, l'automne (ou l'hiver) est presque toujours préférable.jeannotin a écrit :...mais il y a une question que je me pose toujours pourquoi penser a déplacer au printemps alors que l'on peut le faire avec moins de risques à l'automne...
* au nord de Paris, j'appelle "persistant en limite de rusticité" des arbustes comme Viburnum tinus, Choisya ternata, Escallonia sp., Osmanthus delavayi, Phillyrea angustifolia, Olearia x haastii... qui, certes, peuvent traverser plusieurs hivers sans dommage mais être fortement mis à mal, voire détruits, par UN hiver particulièrement rude.